Un choc de voisins ! La Côte d’Ivoire affronte ce lundi 8 juillet 2019 le Mali pour les huitièmes de finale de la CAN Egypte 2019. Une équation assez compliquée pour le sélectionneur ivoirien au regard de la prestation des Eléphants lors des phases de poule. Kamara Ibrahim reste malgré tout confiant. Pour lui, ses poulains sont prêts pour ce choc. Interview :

-Préparez-vous particulièrement le duel avec le Mali, le choc de l’Afrique de l’ouest ?

On ne va pas faire une préparation spécifique pour le Mali, car nous avons des joueurs qui sont déjà préparés pour ce genre de match. Il y a juste que nous avons un travail qui souligne tous les aspects d'un match à élimination directe. Il va falloir beaucoup de concentration parce que la moindre erreur va coûter cher.

-Est-ce que l’historique des rencontres entre les deux pays à ce niveau de la compétition est une donnée qui pèse dans la préparation de ces huitièmes de finale ?

Le Mali est une belle équipe, avec un bon milieu de terrain et des joueurs offensifs qui sont très imposants. Nous sommes prévenus. Il ne faudra pas regarder l'historique des rencontres, ni les paris des Bookmakers. A voir l'affiche on dirait que la Côte d'Ivoire est favorite, alors que non. Lorsqu’on voit les résultats qui tombent au fur et à mesure, il faut savoir que nous n'avons pas la même génération que celle qui gagnait tout le temps. Vu ces récents résultats entre la Côte d'Ivoire et le Mali, le décalage se rapproche. A nous d'aller puiser dans ce qui fait notre force en ce moment, à savoir notre capacité à user de notre mental pour gagner le match. Rien ne sera facile, ça va être même très difficile. Le Mali perd moins de matchs,  y gagne beaucoup et encaisse peu de buts. L'équation on la connaît donc on cherchera à la résoudre.

-Vous avez apporté des changements lors du match avec la Namibie, doit-on en attendre encore plus face au Mali ?

Je ne change pas pour le plaisir de changer. Changer suppose apporter des solutions aux problèmes que l'équipe en face nous pose. Si nous avons apporté des changements, c'est parce que nous pensions que c'était nécessaire pour gagner le match. Il est possible qu'il y ait du changement, mais ne vous attendez pas à un renouvellement dans tous les sens.

-Est-ce que vos joueurs sont effectivement prêts à porter l’histoire de ce duel qui ressemble fort bien à un réel combat ?

Je pense franchement que les garçons sont prêts. Ce qu’il faut souligner c’est que sur les 23 joueurs que nous avons, il y en a 6 qui ont déjà joué un quart de finale de CAN. Cette seule perspective devrait suffire à les motiver. Après tout, c’est un match de football et pas la guerre, même s’il est vrai qu’il faudra aller au combat. Ils sont prêts pour le faire et c’est sûr qu’on fera tout pour gagner ce match.

Laurenzo Yapi avec sportivoire

La Côte d’Ivoire affronte le Mali ce lundi 08 Juillet 2019 pour le compte des huitièmes de finale de la 32è édition de la CAN. Une tâche qui ne sera pas de tout repos pour les Eléphants au regard de la première partie de cette compétition. Toutefois, l’attaquant ivoirien Jonhatan Kodjia respire la confiance et joue la carte de la prudence.

Les Eléphants affrontent dans quelques heures les Aigles du Mali. Avant cette rencontre, l’attaquant des Eléphants, Jonathan Kodjia alias Jimy Danger veut jouer la carte de la prudence. Pour lui les deux équipes sont en égalité de chance. « On ne peut pas faire de pronostic. C’est un match de football. On est capable de battre les Aigles et eux aussi le sont. Le plus important pour nous c’est de battre le Mali et rester dans la compétition », a souligné Jonathan Kodjia.

Face à des Maliens en pleine confiance, les hommes de Kamara Ibrahim devront bander les muscles, faire preuve de solidarité et de complémentarité pour sortir vainqueur de cette opposition.

Notons que les Eléphants de Côte d’Ivoire restent invaincus face au Mali depuis 1696 et cette génération avec Wilfried Zaha, Maxwell Cornet, Wonlo Coulibaly et autres Jonathan Kodjia… n’entend pas déroger à la règle lors de ce huitième de finale de la Coupe d’Afrique des Nations édition 2019.

Laurenzo Yapi

On ne les attendait pas à ce stade de la compétition, mais c’était juste des erreurs de casting ! Les Malgaches ont prouvé que désormais le football africain devrait compter avec eux. Ils ont arraché avec brio leur ticket pour les ¼ de finale de la CAN 2019.

Première participation à une phase finale de Coupe d’Afrique des Nations (CAN) et les voilà qualifiés pour les ¼ de finale. L’équipe du  Madagascar a déjoué tous les pronostics depuis le début. Présentés comme outsider dès l’entame de la compétition, les Malgaches affichent aujourd’hui de grandes ambitions dans cette CAN 2019.

Sortis premier de leur poule pour leur première participation à la compétition, les Bareas ont réussi l’exploit de finir à la première place du groupe B avec 7 points devant le Nigeria qu’ils ont battu (2-0). Qualifiés pour les huitièmes, ils voulaient réaliser un nouvel exploit dans cette CAN 2019. Et cela a été fait.

Les Baréas ont écarté les Léopards sous les yeux de leur Président Andry Rajoelinan, qui a effectué le déplacement d’Alexandrie pour aller soutenir son équipe avec près de 500 supporters de la Grande Île.

Fiers de porter le maillot, ceux-ci ont réalisé un autre exploit en éliminant les Léopards de la RDC aux tirs au but (2-2, 4 tirs au but à 2), le dimanche 7 juillet au Stade d’Alexandrie. Ils figurent désormais au rang des équipes qui ont disputé un huitième de finale en Coupe d’Afrique des Nations.

Au regard de cette performance, il faudra compter avec cette équipe des Bareas qui affrontera ce jeudi 11 juillet en quart de finale le vainqueur de Ghana – Tunisie (ndlr : ce lundi 8 juillet).

Notons que dans l’autre huitième de finale du dimanche 7 juillet dernier, l’Algérie s’est imposé face à une équipe de la Guinée, un peu fébrile depuis le début de la compétition. L’Algérie affrontera en ¼ le vainqueur de Mali – Côte d’Ivoire (ndlr : ce lundi 8 juillet).

Laurenzo Yapi

La phase de poule terminée, les joueurs se préparent à retrouver la pelouse dès ce vendredi 5 juillet pour les huitièmes de finale.

Fini la récréation, les choses sérieuses débutent ce vendredi 5 juillet avec les huitièmes de finale de la 32^ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations. La phase à élimination directe qui a tendu la main aux Léopard de la République Démocratique du Congo, qualifiés grâce à leur positionnement parmi les meilleurs 3^èmes des phases de poule.

Les Eléphants (2^ème dans la poule D) qui se sont qualifiés avec une large victoire (4-1) face à la Namibie lundi dernier, affronteront le Mali (1^er dans la poule E) le lundi 8 juillet prochain. Toutefois, cette rencontre risque de ne pas avoir la même saveur que le 3^ème match de poule, car le capitaine des Eléphants, Serge Aurier, blessé lors du 2^ème match de poule face au Maroc a rejoint ses coéquipiers.

Serge Aurier qui avait quitté l’équipe pour des examens complémentaires en France a rejoint le groupe de Kamara, réduit à 22 depuis 2 juillet dernier. Victime d'un claquage lors de la défaite face au Maroc, le latéral droit des Eléphants est de nouveau de retour. Même si aucune information n’a été donnée sur son état physique, la présence de Serge Aurier pourrait donner une autre dimension à la défense ivoirienne, qui a connu beaucoup de difficulté face à la Namibie.

En entendant la rencontre des Eléphants lundi prochain, voici le programme des huitièmes de finale :

Ouganda - Sénégal / Maroc - Bénin, vendredi 5 juillet

Nigéria - Cameroun / Egypte - Afrique du Sud, samedi 6 juillet

Madagascar - RDC / Algérie - Guinée, dimanche 7 juillet

Mali - Côte d’Ivoire / Ghana - Tunisie, lundi 8 juillet

Laurenzo Yapi

Le président du mouvement  ‘’Sur les traces d’Houphouët Boigny ‘’ et porte-parole du RHDP  était à Yopougon à la place CP, ce mercredi 03 juillet 2019 dans le cadre de la célébration du premier  anniversaire marquant la naissance  de son mouvement. 

 ‘’ La transmission du pouvoir ne se  fait pas par des moyens de promesses (…) ’’, a  affirmé le ministre  Adjoumani  concernant le débat sur la succession de l’actuel chef de l’Etat ivoirien qui divise la classe politique ivoirienne.  

 ‘’ Si on transmet le pouvoir par des promesses pourquoi ce débat sur la réforme de la commission électorale indépendante ? ‘’, S’est-il interrogé. 

 ‘’ Alassane Ouattara nous indique la voie de la démocratie et non la voie de la monarchie et des promesses ‘’, a-t-il poursuivi.  Avant  d’exprimer sa joie d’avoir atteint son objectif en adhérant au RHDP  qui serait  devenu  selon lui la première force politique du pays.

 ‘’ Ma joie est grande, notre objectif a été atteint avec la création du RHDP ’’ dira t-il.   

  Le porte-parole du RHDP a invité toute la classe politique ivoirienne  à la paix et la cohésion. «  Nous devons aller  à l’apaisement et non à la confrontation », a plaidé le ministre Adjoumani .

 Cette cérémonie a vu la présence de plusieurs ministres  dont  Anne Ouloto Désiré, Amédé Kouakou , Siaka Ouattara et l’ex ministre,  Adama Bictogo, du maire de Yopougon, Koné Kafana . 

Zatté Albert

Considéré comme ‘’persona non grata’’, à la 45ème session de l’Assemblée parlementaire de la francophonie (Apf), qui se tiendra dans seulement trois jours, Guillaume Kigbafori Soro, ne compte pas en rester là !

L’ancien président du parlement ivoirien, Guillaume Soro, ne sera pas le bienvenu aux assises de l’Apf, prévues du 5 au 9 juillet 2019, à Abidjan. Ce sont les termes du député de Bouna, Dah Sansan. La semaine dernière, ce proche du président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Amadou Soumahoro, avait exprimé la volonté de sa délégation, d’empêcher le 1er Vice-président de l’Apf, de prendre part à ce rendez-vous qui se veut très important.

« Ce jour-là, ceux qui doivent participer aux assises se connaissent. Il n’y aura pas d’humiliation possible car chacun connaît sa place. Nous osons croire que Soro saura avoir la démarche élégante de savoir qu’il n’a pas sa place à la session qui se prépare. La position de Soro vis à vis de l’Apf est irrégulière car il n’est plus président de l’Assemblée nationale. Il perd de facto ce privilège », avait-il lancé.

 Mais il ne fallut pas longtemps à la « team Soro » pour réagir. Dans une note publiée le lundi 1er juillet, sur son twitter, Me Affoussiata Bamba Lamine, a révélé des actions en cours, en vue de défendre son patron. « La section ivoirienne de l'APF a désigné un collectif d'Avocats pour défendre ses droits et intérêts contre une décision illégale de l'actuel Président de l'Assemblée Nationale de Côte d'Ivoire devant le Tribunal de Première Instance d'Abidjan et la Cour de Justice de la CEDEAO », pouvait-on lire sur ladite note. C’est dire que le président du Comité politique (Cp), ne compte se laisser « stopper » à l’entrée Sofitel-Abidjan hôtel Ivoire, cadre qui abritera ces assises. Dame Affoussiata et son patron comptent bien « faire respecter la loi ».

Si hier, Soro Guillaume était adulé et aimé de tous, il faut dire que depuis sa démission à la tête de l’hémicycle ivoirien, l’objectif pour ses anciens alliés, le Rhdp, est plus que jamais clair : « l’assassiner politiquement ». Chose qui ne sera certainement pas aisée étant donné que Soro, lui, compte bien tout faire pour atteindre ses objectifs. Soro prendra-t-il part à ces assises ? On le saura dès ce vendredi 5 juillet…

Abou ZEID

 L’ancien maire du plateau a été jugé ce mardi  02 juillet 2019 par le Tribunal  du Plateau  dans le cadre de l’affaire  de détournement de deniers  de la mairie qu’il dirigeait    .

 Alors que ce cadre du PDCI-RDA  vit  actuellement en Europe, il  a été condamné par contumace   ce mardi 02 juillet 2019  par le Tribunal du plateau  à 20 ans de prison.  Avec  05  ans de privation  de droit,  le retrait  de son  passeport  et 5 ans d’interdiction de sortir du pays. Le tout couronné  par une amende d’une valeur de 10 milliards FCFA.

 Recevant récemment à Daoukro  les Chefs coutumiers du sud du pays,  le président du PDCI-RDA avait demandé aux chefs Ebrié  de peser de leur poids dans  cette  affaire   afin que les poursuites contre  leur fils  Akossi Bendjo  cessent et qu’il rentre au pays.  

1. Ehouo Jacques cadre du PDCI-RDA et député du plateau a été élu maire de ladite commune, lui aussi serait  dans le viseur du pouvoir dans le cadre de cette affaire.

Zatté Albert   

La Côte d’Ivoire a assuré sa qualification en huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Egypte 2019, ce lundi 1^er juillet au Caire.

Les Eléphants ont validé leur ticket pour le second tour de la CAN Egypte 2019, en s’imposant 4 buts à 1 face à la Namibie, ce lundi lors de la dernière journée dans la poule D. Grâce à cette victoire, les Ivoiriens finissent deuxième du groupe D. Ils affronteront au prochain tour, le 1^er du groupe E (Mali, Tunisie ou Angola), le lundi 8 juillet prochain à Suez.

Le sélectionneur ivoirien, Ibrahim Kamara avait annoncé des changements dans le 11 de départ, ce qui a été confirmé avec la titularisation de Wilfried Zaha sur l’aile gauche, Bony Wilfried en pointe et le positionnement de Max-Alain Gradel en soutien des deux attaquants. Ces réglages techniques ont porté du fruit. A la 39^ème minute, Franck Kessié d’une passe subtile en profondeur permet à Gradel d’ajuster le portier Lloydt Kazapua d’une reprise de demi-volée (0-1). Le score en restera là jusqu’à la pause.

A la reprise, une frappe lointaine du capitaine Geoffrey Serey Dié, déviée conforte l’avance (0-2, 58^e). Le match devient facile pour les Eléphants avec cette avance, lorsque le gardien de but Gbohouo Sylvain, sur une mauvaise relance permet à la Namibie de réduire le score (1-2, 71^e). La pression retombe sur les épaules des Eléphants, qui commencent à subir le jeu des Namibiens. Heureusement cette phase de flottement, confirmée par les ratés des deux attaquants sera maitrisée par les joueurs de Kamara Ibrahim.

Un léger doute plane alors dans le camp ivoirien, lorsque Wilfried Zaha vient soulager les siens avec un tir croisé (1-3, 84^e). La fête sera totale 5 minutes plus tard, avec le 4^ème but (89^e), signé Maxwel Cornet d’une frappe tendue.

1-4, au score final, avec la qualification des Éléphants, qui évitent le déshonneur à la Côte d’Ivoire. Les coéquipiers de Serge Aurier (forfait pour cette rencontre) terminent ainsi derrière les Marocains qui se sont imposés face aux Sud-Africains (1-0). Les Bafana Bafana occupent donc la troisième place de la poule D devant les Namibiens.

Laurenzo Yapi

Après la défaite face au Maroc, seule une victoire contre la Namibie permettra à la Côte d’Ivoire d’atteindre les huitièmes de finale. A quelques heures de ce duel dans la poule D, le sélectionneur ivoirien Kamara Ibrahim a annoncé des changements au micro de sportivoire.

 Vous avez été déjà battu par la Namibie mais c’était au CAHN 2018. Est-ce un match qui vous revient à quelques heures de rencontrer Ricardo Manetti ?

La compétition n’est pas la même, l’environnement n’est pas le même, les joueurs ne sont pas les mêmes. L’objectif c’est de sortir des poules. Il ne faut pas ressasser le passé, il faut se focaliser sur ce qui arrive.

Comment allez-vous aborder cette rencontre à quitte ou double face à une sélection qui n’a plus rien à perdre ?

Il n’y a pas 150 façons d’aborder le match face à la Namibie. Nous connaissons l’enjeu. D’abord nous allons apporter beaucoup de fraicheur à notre équipe et tout faire pour qu’on sorte vainqueur. Si on veut continuer l’aventure c’est la seule issue.

Va-t-il y avoir du changement au sein de votre équipe ?

Après deux matches intenses, du fait des conditions climatiques, on ne peut pas repartir avec la même équipe. Ça va être un combat, il faudra amener des hommes neufs. On ne va pas tout chambouler. Mais si nous voulons passer ce cap qui est important, il va falloir que les joueurs se remettent en question. Après toute défaite, il faut savoir tirer les leçons pour repartir.

A quel niveau allez-vous apporter cette fraicheur dont vous parlez ?

Le changement, on verra si on les apporte en attaque et au milieu. Je pense que nous avons des certitudes au niveau défensif. Après il va falloir aiguiser notre animation pour qu’elle soit meilleure par rapport aux dernières fois. Il faudra changer à ces niveaux, parce que la clé pour moi se trouvera là.

Sentez-vous la pression du peuple ivoirien à l’approche du duel avec la Namibie ?

Nous sentons la bonne pression du public ivoirien. Parce que les Eléphants, c’est un patrimoine national. Nous avons tous à cœur de faire les choses comme il le faut. Nous avons à cœur de faire plaisir aux Ivoiriens. C’est cet état d’esprit qui nous anime, à chaque fois. Nous sommes là pour apporter de la joie au peuple et nous allons tout faire pour passer d’abord ce tour et entrevoir l’avenir.

Laurenzo Yapi avec Sportivoire

La Côte d’Ivoire joue son dernier match dans la poule D ce lundi 1^er juillet 2019 contre la Namibie. Cependant, Les Eléphants aborderont cette dernière rencontre de poule sans leur capitaine Serge Aurier, sorti sur blessure face au Maroc vendredi dernier.

Avant le choc de la dernière journée dans la poule D prévu pour ce lundi 1^er juillet 2019 entre la Côte d’Ivoire et la Namibie, qui n’a plus rien à perdre, les nouvelles ne sont pas bonnes du côté des Eléphants. Sorti sur blessure face au Maroc, le capitaine ivoirien Serge Aurier est loin d’être prêt pour conduire ses coéquipiers.

Les médecins de la sélection sont à pied d’œuvre pour le remettre sur pied. Cependant, le défenseur de Tottenham est forfait pour la rencontre décisive de ce lundi.

Le sélectionneur ivoirien, Kamara Ibrahim a confirmé l’absence de son capitaine pour le duel du stade du 30 juin, tout en restant confiant pour la suite de compétition. « C’est vrai que Serge Aurier s’est blessé lors du dernier match. Pour le prochain match, il ne sera pas là (…) Les médecins sont en train de le traiter. Nous espérons le récupérer pour les prochains matches », a indiqué Kamara Ibrahim confiant.

Rentré en remplacement de Serge Aurier face au Maroc, l’ex-défenseur de l’Africa Sport, Mamadou Bagayoko pourrait connaitre sa première titularisation dans cette CAN, face à la Namibie cet après-midi dans le couloir droit de la défense ivoirienne.

Laurenzo Yapi