samedi 18 mai 2024
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Les Lions Indomptables du Cameroun avaient laissé planer le doute sur leur présence en terre égyptienne pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2019. Heureusement tout est rentré en ordre pour la beauté du spectacle.

L’équipe nationale du Cameroun qui refusait de se rendre en Egypte à quelques heures du coup d’envoi de la CAN sera finalement de la fête. Les champions en titre de la Coupe d'Afrique refusaient de se rendre en Égypte pour la CAN-2019 sans avoir perçu leurs primes de participation, estimées à 20 millions de francs CFA. Ils ont finalement eu gain de cause auprès des dirigeants Camerounais, car un consensus a été trouvé. 

« Après le raté d’hier (20 juin), les Lions pourraient quitter Yaoundé à 14 h (ce vendredi 21 juin). Les contraintes de navigation aérienne sont en cours pour intégrer ce vol sous le ciel Egyptien très sollicité », a expliqué ce matin une chaine de télé camerounaise. Même si les modalités de l’accord entre les joueurs camerounais et les dirigeants n’ont pas été évoquées, la chaine affirme qu’une promesse de 5 millions de francs CFA comme prime supplémentaire, en cas de victoire au premier tour a été faite en plus des 20 millions déjà des joueurs.

Initialement prévue pour hier jeudi 20 juin 2019, en vue de respecter les 5 jours règlementaires avant son premier match le 25 juin contre la Guinée Bissau, l’arrivée des Lions Indomptables sur le sol égyptien sera effectif ce vendredi. La Confédération Africaine de Football (CAF) a décidé de faire preuve de clémence pour éviter la sanction suprême à Clinton Njie et ses coéquipiers.

Notons que la grand’messe du football africain s’ouvre ce soir dans la poule A avec la rencontre Egypte (pays organisateur) Zimbabwé, sous le coup de 18 heures GMT. Quant au second match de cette poule A, entre la République Démocratique du Congo et Ouganda, il se jouera demain 22 juin 2019.

Laurenzo Yapi

A 24 heures du coup d’envoi de la CAN 2019, le président de la Confédération africaine de football, Ahmad Ahmad était face à la presse ce jeudi. Une conférence au cours de laquelle il est revenu sur plusieurs points relatifs à l'organisation, notamment l'arbitrage.

Alors que le continent retient son souffle à 24 heures du coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des nations 2019, le président de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad Ahmad, a animé la traditionnelle conférence de presse d'inauguration ce jeudi 20 juin.  Pendant près d’une heure le président de la CAF s'est félicité de l'organisation de la CAN Egyptienne. Il s’est prononcé sur plusieurs sujets relatifs à la compétition, notamment l’utilisation de l’Assistance vidéo à l’arbitrage, qui interviendra à partir des ¼ de finale. 

« Si vous regardez les différents pays qui utilisent la VAR, vous voyez bien qu'ils ne se précipitent pas. C'est une technologie que l'on ne maîtrise pas encore totalement. Après discussions et concertations avec les techniciens, nous avons hésité entre les demi-finales et les quarts de finale. Le comité exécutif a tranché pour les quarts. […] N'oubliez pas qu'il y a des matches où il n'y a pas de VAR ! », a expliqué Ahmad Ahmad.

Au-delà des questions de l’arbitrage, Ahmad Ahmad s’est prononcé sur les questions sécuritaires liées à cette première CAN à 24 équipes. « La famille du football africain se retrouve ici, pour cette toute première Coupe d'Afrique à 24. […] Le chemin était long, parsemé d'embûches, […] mais je pense que tout est prêt (…) Nous avons la garantie totale du gouvernement égyptien des dispositions qu'ils ont prises. Quel pays du monde, quelle ville de cette planète est épargnée des problèmes de sécurité ? s’est-il interrogé. Le président de la CAF a conclu sur son interpellation du 6 juin dernier à Paris, en appelant les médias à « ne pas spéculer » et à ne pas véhiculer des « rumeurs ».

Pour rappel, la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Egypte 2019 s’ouvre ce vendredi 21 juin 2019 au Caire. Les Eléphants de Côte d’ivoire qui entrent en lice le lundi 24 juin prochain sont arrivés en Egypte ce jeudi 20 juin, au lendemain de leur dernière victoire (4-1) face à la Zambie en dernier match amical de préparation de la CAN.

Laurenzo Yapi

A 24 heures du coup d’envoi de la CAN 2019, le président de la Confédération africaine de football, Ahmad Ahmad était face à la presse ce jeudi. Une conférence au cours de laquelle il est revenu sur plusieurs points relatifs à l'organisation, notamment l'arbitrage.

Alors que le continent retient son souffle à 24 heures du coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des nations 2019, le président de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad Ahmad, a animé la traditionnelle conférence de presse d'inauguration ce jeudi 20 juin.  Pendant près d’une heure le président de la CAF s'est félicité de l'organisation de la CAN Egyptienne. Il s’est prononcé sur plusieurs sujets relatifs à la compétition, notamment l’utilisation de l’Assistance vidéo à l’arbitrage, qui interviendra à partir des ¼ de finale. 

« Si vous regardez les différents pays qui utilisent la VAR, vous voyez bien qu'ils ne se précipitent pas. C'est une technologie que l'on ne maîtrise pas encore totalement. Après discussions et concertations avec les techniciens, nous avons hésité entre les demi-finales et les quarts de finale. Le comité exécutif a tranché pour les quarts. […] N'oubliez pas qu'il y a des matches où il n'y a pas de VAR ! », a expliqué Ahmad Ahmad.

Au-delà des questions de l’arbitrage, Ahmad Ahmad s’est prononcé sur les questions sécuritaires liées à cette première CAN à 24 équipes. « La famille du football africain se retrouve ici, pour cette toute première Coupe d'Afrique à 24. […] Le chemin était long, parsemé d'embûches, […] mais je pense que tout est prêt (…) Nous avons la garantie totale du gouvernement égyptien des dispositions qu'ils ont prises. Quel pays du monde, quelle ville de cette planète est épargnée des problèmes de sécurité ? s’est-il interrogé. Le président de la CAF a conclu sur son interpellation du 6 juin dernier à Paris, en appelant les médias à « ne pas spéculer » et à ne pas véhiculer des « rumeurs ».

Pour rappel, la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Egypte 2019 s’ouvre ce vendredi 21 juin 2019 au Caire. Les Eléphants de Côte d’ivoire qui entrent en lice le lundi 24 juin prochain sont arrivés en Egypte ce jeudi 20 juin, au lendemain de leur dernière victoire (4-1) face à la Zambie en dernier match amical de préparation de la CAN.

Laurenzo Yapi

Les  responsables des partis politiques de l’opposition ivoirienne ont tenu une conférence de presse  le mercredi 19 mai  2019 au siège du PDCI-RDA à COCODY. 

 L'opposition ivoirienne n'a pas répondu  à l'invitation du Premier ministre, Amadou Gon, qui les invitait  à prendre part dans les locaux de la primature mercredi après- midi,    à  la reprise des  concertations  sur la réforme de la Commission électorale indépendante. 

 Les responsables de la plateforme EDS, le groupement de 23 partis politiques, ainsi que le parti  Lider et le Pdci-Rda ont plutôt  animé  au même  moment  une conférence  de presse conjointe au siège  du Pdci-Rda . 

Ce fut l’occasion  pour eux  de justifier  leur absence à la rencontre avec le  Premier ministre, Amadou  Gon,  à travers une déclaration lue par M. Franck Anderson Kouassi  (EDS).   

Ils ont soutenu qu'ils n'ont pas reçu  les thèmes  de référence  de cette rencontre  qu'ils ont  réclamé  depuis longtemps, et que le premier ministre parle de recomposition  alors que l’arrêt  de la Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples demande une réforme de la CEI. 

 "Nous n'avons pas participé  à cette rencontre parce qu'il s'agit de restitution de travaux auxquels nous n'avons pas participé ", a dénoncé  M. Bamba Moriferé. 

" On nous invite à  adouber des choses déjà  faites, nous ne voulons plus de morts ", a-t-il poursuivi.

Pour l'opposition ivoirienne  «  il est clair que le gouvernement veut faire un passage en force «. 

Avant d’assimiler  à une ‘’ mascarade ‘’ la démarche  du Premier ministre. 

L’opposition  se dit  toujours  prête  ‘’disposée  et disponible  ‘’  à  dialoguer avec le pouvoir.  C'est pourquoi  elle  réclame  une  concertation ‘’ tripartite ‘’ qui verra la présence  des autorités  gouvernementales, les partis politiques de l'opposition et ceux proches  du pouvoir et la société  civile.

 "Nous sommes disponibles à participer à un vrai débat  afin d'éviter une autre guerre à la Cote d'Ivoire ". 

 A prévenu  Bamba Moriferé  ,  qui avait à  ses côtés  M. Kakou Guikahué  Secrétaire général  du Pdci-Rda , Franck Anderson Kouassi représentant le président Gerorges Armand Ouegnin  ,  Daniel Boni Claverie , Affoussiata Bamba  une proche de Guillaume Soro et bien d’autres . 

 Les discussions  opposition –Gouvernement  sur la réforme de la CEI ont débuté le 21 janvier 2019. 

 Zatté Albert 

 

Innocent Yao, président de la jeunesse du PDCI-RDA rural était, le dimanche 16 juin l’invité des jeunes  du Front populaire ivoirien  pro -Gbagbo qui étaient en  assemblée générale  au domicile de l’ex -président ivoirien  Laurent Gbagbo à Cocody  Rivera Golf.

Lors de son allocution, M.  Innocent  Yao a reconnu que tout le monde   s’est trompé à un moment donné de son parcours politique. Mais il soulignera que cela relève  du passé, et que le moment est venu pour que tous les fils et filles du pays se mettent ensemble pour ‘’ sauver la mère  partie.’’

 C’est pourquoi soutiendra t-il,   qu’il  est désormais  impérieux d’aller sur le terrain pour demander pardon aux populations et prôner  la réconciliation  et la paix.

 « En tant que dernier acteur de la complicité d’Alassane Ouattara, il faille aller sur le terrain  demander pardon aux populations pour qu’entre nous ivoiriens on puisse désarmer notre cœur pour que nous puissions nous pardonner main dans la main et regarder la Côte d’Ivoire. » ,a déclaré  M. Innocent Yao.

Soulignant  que pour joindre l’acte à la parole son parti a déjà entamé des tournées  à cet effet  dans la région du  Goh chez le  président Laurent Gbagbo  afin de demander pardon aux populations.

Innocent Yao, a lancé un message aux jeunes, les invitant  à s’approprier la nouvelle vision du président Henri Konan Bédié qui appelle à une union sacrée  de tous les fils et filles du pays pour la reconquête  du  pouvoir d’Etat.

« Notre division a profité à des gens qui ne méritaient pas d’être président de la Côte d’Ivoire. » a-t-il fait savoir.

 Pour rappel, le 30 août 2018 à la Maison de la Presse au Plateau,  les jeunes  du FPI pro Gbagbo et ceux  du PDCI-RDA avaient  signé un accord  en vue de mener des actions communes.  

 Zatté Albert

  

 

 

 

 

 

Le président de la plateforme politique de l’opposition ivoirienne  Ensemble pour la démocratie  et la Souveraineté (EDS), le professeur Georges Armand Ouegnin qui était à la tête d’une forte délégation a échangé le 14 juin 2019  avec des députés Français membres du parti politique ‘’ La France insoumise ‘’,  à Paris  au sein de l’Assemblée nationale Française. 

 A cette occasion, le président Georges Armand Georges a dépeint le triste tableau de la situation socio politique de la Côte d’Ivoire qui est à quelques mois des élections présidentielles.

 Selon lui, au  niveau politique la réconciliation nationale n’est pas encore effective, les conditions d’une élection juste  et transparente ne sont pas encore réunies car la Commission élection  indépendante (CEI) n’est pas encore réformée, de nombreux ivoiriens sont toujours en détention ou en exil, a-t-il dénoncé devant les députés français.

 Au niveau social, il a fait cas de l’insécurisé grandissante avec les  phénomènes  des microbes, les conflits inter communautaires, l’orpaillage clandestin.

 « Les acquis de la lutte menée par les démocrates et l’ensemble des forces du changement, notamment la liberté d’opinion et de manifestation, l’exercice effectif du multipartisme, l’organisation d’élections libres et crédibles par une commission électorale véritablement indépendante et la sécurisation des opérations électorales sont aujourd’hui remis en cause par les nouveaux gouvernants. »,  a expliqué  le président d’EDS aux députés de la France insoumise , un parti politique  de la gauche française . 

 Le président Georges Armand Ouegnin a souligné que les  conditions d’une vraie réconciliation et  la tenue d’élections justes et transparentes  passent par  « Le retour du président Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire, le retour sécurisé de tous les exilés et la libération des prisonniers politiques, civils et militaires… », a-t-il soutenu  devant  les députés Français. 

Le président  Georges  Armand Ouegnin  a invité les députés français à aider les ivoiriens, à ‘’ prévenir tout dérapage lié aux élections présidentielles de 2020 ‘’. 

 Albert Zatté     

 

L’ex-international ivoirien, Arouna Koné s’est remarié samedi dernier avec une autre femme, alors que sa première épouse avait dénoncé cette seconde relation du joueur.

Alors que sa femme avait interpellé les ivoiriens sur l’affaire que tramait son époux, Arouna Koné a confirmé les soupçons de son épouse. L’ancien international ivoirien s’est effectivement marié à une autre femme sur le territoire national à sa deuxième femme Annick Kouadio, le samedi 15 juin dernier.

Pour rappel, c’est le 29 mai dernier que la première épouse du joueur, Diawara Assiata avait interpellé ‘’tout le monde’’ sur les réseaux sociaux par rapport à ce qui se tramait.

Malheureusement pour elle, Arouna Koné de confession religieuse musulmane a la possibilité de se mettre en couple avec 4 femmes. Les tapages de Diawara Assiata n’ont donc pu lui faire changer d’avis sur son union avec Annick Kouadio.

Laurenzo Yapi

La structure Médiatis pilotée par Caroline Da Sylva a remis le couvert pour la deuxième édition de Drôles de Femmes, après le succès de la première. C’était le dimanche 9 juin 2019 au palais des congrès du Sofitel hôtel Ivoire.

Placée sous le thème « L’Education de la jeune fille », cette soirée de spectacle, danse, comédie et théâtre a été mise à profit par les femmes de l’humour pour attirer l’attention du public sur les différents maux actuels de la société.

Deux équipes s’étaient opposées, l’une composée des comédiennes Clémentine Papouet, Nastou Traoré, Gbazé Thérèse et Loupita Tahi constituant l’équipe des ‘’Pagneuses’’ et en face les comédiennes Iriké Ella Justine, Jennyfer Kissi, Alisar Zenar, Gisèle Kouakou et Prissy la dégammeuse, constituant l’équipe des ‘’Colantières’’. Entre ces deux équipes, se trouvait l’actrice Eunice Zunon, qui dans un rôle d’intellectuelle tentait de faire le lien entre les deux blocs, en essayant surtout d’attirer l’attention des ‘’Colantières’’ sur leurs comportements déviationnistes.

Ce sont au total 11 comédiennes y compris la Guest Star de la Soirée, Adrienne Koutouan qui ont fait passer en revue les maux de la société ivoirienne dont conflit des générations et polygamie, Débauche, Impolitesse, Prostitution, Tontine sexuelle, recherche de gain facile, Fake Life sur les réseaux sociaux et dépravation des mœurs, immigration, viol et vol. Pour sa part, la Guest Star Adrienne Koutouan en compagnie de Gbizié Zoumana, avait offert un sketch sur les conflits de couple.

Laurenzo Yapi

La Côte d'Ivoire s'est inclinée en match amical face à l'Ouganda, le samedi 15 juin dernier, lors de la 2ème rencontre de préparation pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Egypte 2019.

Au bout de cette défaite, qui fait suite à une série de 9 matches consécutifs sans défaite, l’attaquant ivoirien Jonathan Kodjia, transparent lors de la rencontre contre l’Ouganda estime qu’il n’y a rien d’alarmant. « Il n’y a rien d'alarmant, mais il faudra se remettre en question. Ça faisait un moment qu'on n'avait plus perdu. Nous avons été confrontés à une très bonne équipe d'Ouganda. Il faudra se remettre au travail », a indiqué l’attaquant d’Aston Villa.

Pour lui, il faudrait reprendre du travail pour reprendre les choses en main à quelques deux pas du début de la CAN 2019. Toutefois, cette défaite a eu le mérite de tomber à point nommé, car les Eléphants sous la direction de Kamara Ibrahim, n'avaient plus perdu de match depuis la défaite face au Maroc (0-2), le 11 novembre 2017, en éliminatoires de la Coupe du Monde 2018.

Cette série a pris fin le 15 juin dernier en amical face à l'Ouganda (0-1), de quoi remettre les poulains de Kamara Ibrahim sur les rails en vue d’une préparation sérieuse avant le dernier match de préparation face à la Zambie, le mercredi 19 juin prochain.

Laurenzo Yapi

Guillaume Kigbafori Soro, veut tout ! Depuis sa démission à la tête du parlement ivoirien, Soro n’a cessé d’exposer ses ambitions, tant au niveau local, régional qu’international.

Dans un souci de faire mordre la poussière à ses amis d’hier, le désormais, « ancien » protégé d’Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire, est sur tous les fronts. Et parmi tant d’ambitions, outre la magistrature suprême du pays, Guillaume Soro revendique également la tête de l’Assemblée parlementaire de la francophonie (APF), Institution dont il est le 1er Vice-président.

Son allié d’hier, le Rassemblement des houphouetistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), qui, on le sait maintenant, est son principal adversaire, de son côté également, « veut tout ce que Soro veut ». Et ça aussi (APF, ndlr), cette armada de la politique ivoirienne, est prête à tout pour l’avoir. Que faire donc ? Abdiquer ou affronter ses ennemis ?

Le député de Ferké, lui, a décidé de faire face à « sa » réalité et affronter ses adversaires. Au lendemain donc de la 27ème Assemblée Régionale de l’APF, tenue du 13 au 14 juin, à Rabat, au Maroc, Amadou Soumahoro, actuel président de l’hémicycle ivoirien, par ailleurs cadre du Rhdp, avait clairement défini ses intentions. Chose qui, il faut le rappeler, piétinerait les plans de son adversaire direct, Guillaume Soro.

Ce dernier a donc  décidé de prendre les taureaux  par les cornes. « Elu 1er vice-président lors de notre session du Luxembourg en juillet 2017, j’ai l’honneur de vous informer et de confirmer que je suis candidat au poste de président de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie », a déclaré le président du Comité politique (Cp). Cette annonce a été faite le lundi 17 juin 2019, dans un courrier transmis au président de l’APF, François Paradis, selon le confrère de, Ivoirebusiness.  A travers cette note, l’ex-Pan vient ainsi d’apporter une réplique à ses détracteurs qui avaient tenté de l’éjecter de son poste de 1er Vice-président de ladite institution.

On se souvient encore que le député du groupe parlement Rhdp, Dah Sansan, qui était de la délégation à Rabat, s’était montré serein et imperturbable aux sorties de Soro. « Il n’y a pas de raison qu’Amadou Soumahoro ne soit pas président de l’APF car M. Soro ayant  perdu la qualité de membre de la délégation locale et celle de président de l’Assemblée nationale, il ne peut être candidat sauf si les comploteurs se montrent plus habiles », avait-il lancé, sur son compte Facebook.

Voilà que la lutte pour la présidence de cette institution promet d’être ardue pour ces deux cadres ivoiriens. Le verdict final tombera certainement lors de la 45ème session prévue dans le mois de juillet Abou ZEID

 

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