Flash (669)
Children categories
Présidence de la FIF : Didier Drogba pas encore décidé
dimanche, 11 août 2019 23:54 Written by Super UserPrésidence de la FIF : Didier Drogba pas encore décidé
Candidat ou pas à la présidence de la Fédération Ivoirienne de Football, l’ex-capitaine des Eléphants Didier Drogba, dont l’annonce de la candidature a laissé couler beaucoup d’encre est sorti de son silence. L’attaquant ivoirien est resté plus ou moins discret sur les antennes de Radio Foot International sur cette aventure le vendredi 9 aout 2019, sans toutefois démentir son intérêt pour la maison de verre et pour le football ivoirien.
Didier Drogba, des rumeurs indiquent que vous serez candidat à la présidence de la Fédération Ivoirienne de Football. Serez-vous candidat ?
J'ai lu des articles et tout le remue-ménage qu'il y a autour du football ivoirien et de cette éventuelle candidature. C'est vrai que c'est quelque chose qui peut m'intéresser. Parce que je connais bien le football ivoirien, pour avoir été en équipe nationale pendant plusieurs années, j'ai côtoyé beaucoup de nos dirigeants et ces dernières années, je me suis aussi investi dans le football ivoirien, donc oui, c'est quelque chose qui pourrait vraiment m'intéresser parce que j'ai envie d'apporter quelque chose au football ivoirien et africain. Je n'ai pas encore pris ma décision, mais c'est quelque chose à laquelle je réfléchis, si toutes les conditions sont réunies, oui pourquoi pas ?
On sait que le football ivoirien est actuellement dans une mauvaise passe, avec un manque d'infrastructures, on a l'impression que le football ivoirien ne produit plus de jeunes joueurs ne serait-ce que pour son équipe nationale, il n'y a pas non plus de championnat de jeunes ni de championnats de filles auxquels la FIFA oblige les Fédérations, ce sont des raisons pour lesquelles vous seriez candidat ?
Ce seraient vraiment des raisons pour lesquelles je souhaiterais m'impliquer un peu plus ou de manière très forte dans la gestion du football ivoirien. On a vécu de belles années avec la génération précédente, avec Drogba, Touré, Zokora et autres. Là, nous sommes dans une période où on a de nombreux joueurs, mais pour franchir un cap et faire partie de ces grandes équipes-là, il faut travailler sur un projet de renaissance dans tous les secteurs que vous avez cité. Il faut faire une meilleure planification, il faut avoir une vision qui va permettre à travers la formation des jeunes d'avoir des joueurs de qualité. Et pour pouvoir opérer cette formation, il faut des infrastructures de qualité, pour la CAN à venir, surtout pour avoir des jeunes compétitifs. Il faut également aider les efforts qui sont faits par tous les centres de formation en Côte d'Ivoire, pour leur permettre de se développer, par exemples et pour ne citer que les centres Ali Baye à Jacqueville, des centres à Bouaké, à Yamoussoukro ou encore l'Asec Mimosas. Il faut aider ces clubs, ces centres de formation à se structurer comme peuvent l'être des organisations européennes, sud-américaines.
Est-ce que c'est votre expérience, le fait d'avoir joué dans des clubs européens qui pourrait vous aidez à travailler si vous êtes président de fédération ?
J'ai joué en Europe, c'est vrai, mais j'ai aussi joué en Asie et aux Etats Unis. Et, c'est vrai que j'ai pu voir les différents fonctionnements positifs ou moins. Je m'appuierais sur mon expérience mais également sur celle de personnes qui sont déjà dans le football ivoirien. Parce que ce n'est pas quelque chose qui peut se faire tout seul. Je pense qu'on en parlait déjà il y a un an ou deux, où j'évoquais le fait de rassembler tout le monde autour du football ivoirien et enclencher sa renaissance. Je pense que c'est le mot clé.
Vous aviez évoqué votre envie d'organiser des états généraux du football ivoirien. Serait-ce l'une de vos propositions si vous veniez à être candidat ?
Oui, parce qu'il faut savoir où on en est, pour prévoir et planifier l'avenir du football ivoirien. Parce que la Côte d'Ivoire, c'est un pays qui doit être maintenant à toutes les Coupes du monde pour espérer passer les quarts de finale, atteindre la finale et espérer remporter une Coupe du Monde. C'est quelque chose qui se prépare. A partir de ces états généraux je pense que beaucoup de leçons et d'idées peuvent émerger. Et cela ne pourra que faire avancer le football ivoirien.
Avez-vous été déçu du fait que les Eléphants ne participent pas à la dernière Coupe du Monde et de l'élimination à la CAN 2019, à l'étape des quarts de finale ?
Les échecs, ça arrive. Moi, pour ma première en équipe nationale, je me rappelle qu'on ne s'était pas qualifié pour la CAN en Tunisie (2004). Maintenant nous avons eu un groupe qui a eu plus de réussites que d'échecs, parce qu'il y avait une vision commune et qu'on tirait tous dans le même sens. Il y avait une unité, tout le monde était derrière son équipe nationale. Là je suis déçu, en tant que supporter, que la Côte d'Ivoire soit sortie en quart de finale de la CAN. Pour la Coupe du Monde, nous joueurs, avions laissé un certain héritage. Celui d'avoir permis à la Côte d'Ivoire de participer à trois Coupes du Monde d'affilées. Et on a été un peu déçu que la génération d'après ne puisse pas continuer. Mais c'est un mal pour un bien. Parce que cela a permis d'appuyer sur tous les points sensibles qui font qu'on n'est plus au niveau où on souhaiterait être.
On assiste à une réelle scission au niveau du football ivoirien entre la direction de la FIF et le GX, êtes-vous en contact avec l'un ou l'autre des groupes ? Est-ce que la santé du football ivoirien reflète cette scission ?
Je pense que ce qui se passe au niveau des résultats n'est pas anodin. Ce que vit le football ivoirien est une situation assez complexe. Si je décide de me lancer, je ne viendrai pas pour prendre parti pour l'un ou pour l'autre, plutôt pour rassembler.
L.Y avec Radio Foot International
Côte d’Ivoire-Crise au sein du Rhdp : Soro ne peut que se réjouir !
Côte d’Ivoire: Un arrêté ministériel occasionne la mort de 14 fonctionnaires.
Entretien-Viviane Kouakou Montéomo, écrivaine et éditrice:« La Femme Africaine est un modèle de femme à offrir au monde »
Côte d’Ivoire : Quand Soro Guillaume fait les yeux doux à Gbagbo !
Procès Gbagbo et Blé Goudé : L’OIDH jette un regard sur 2020
Echanges culturelles ivoiro-chinois : Journalistes ivoiriens et chinois s’engagent
Exclusif - Belgique : Bédié rencontre enfin Gbagbo à Bruxelles et souhaite son ‘’retour rapide au pays ‘’
Côte d’Ivoire-Présidentielles 2020 : Mamadou Touré catégorique : « En 2020, c’est le meilleur qui va gagner, mais ce sera forcément nous »
samedi, 27 juillet 2019 10:57 Written by Super UserLe ministre Mamadou Touré était cette semaine dans la région de la Mé pour l’investiture du nouveau maire de Yakassé-Attobrou.
« En 2020, c’est le meilleur qui va gagner, mais ce sera forcément nous», a prévenu le porte-parole adjoint du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). C’était à l’occasion de l’installation du nouveau maire de Yakassé-Attobrou, Adepo Yapo François, qui a eu lieu, le jeudi 25 juillet 2019.
Venu apporter son soutien à un autre cadre de son parti, le Rhdp unifié, le ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, n’a pas manqué de répondre aux partis d’opposition. Mais surtout, il s’est voulu rassurant pour tous ces Ivoiriens inquiets pour les prochains scrutins de 2020. « Les élections présidentielles de 2020 se dérouleront bien, et pas comme le souhaitent certains détracteurs », dira-t-il.
Mieux, pour le porte-parole adjoint du gouvernement, que les Ivoiriens se tranquillisent et dorment sur les deux oreilles pour les élections d’octobre 2020. «Vous savez que les menaces que vous proférez ne pourront pas être réalisées », a-t-il lancé à l’endroit des partis d’opposition. Et Mamadou Touré de mettre les détracteurs du pouvoir en garde : « En 2020, vous ne ferez rien ».
En outre, le ministre s’est prononcé sur divers sujets d’actualité tels, la réforme de la Commission électorale indépendante (Cei) et la nouvelle Carte nationale d’identité (Cni).
Abou ZEID
Côte d’Ivoire : Samba David va saisir la justice, après sa libération
samedi, 27 juillet 2019 08:42 Written by Super UserSamba David et des membres de son organisation interpellés, mardi et relaxés après avoir passé 24 heures dans les locaux de la Préfecture de Police d’Abidjan vont intenter une action en justice contre les auteurs de leur arrestation.
C’est l’annonce faite par le premier responsable de la Coalition des indignés de Cote d’Ivoire (CICI) lors d’une conférence de presse ce vendredi 26 juillet 2019.
Samba David et ses camarades ont estimé qu’ils ont été injustement privés de leurs droits lors de cette arrestation.
A cette conférence de presse Samba David est revenu sur cette arrestation en expliquant comment elle s’est déroulée.
Il précisera que l’arrestation a été faite devant la Commission électorale indépendante et non à l’intérieur de l’institution en charge de l’organisation des élections en Côte d’Ivoire.
Il s’est inscrit en faux concernant l’information selon laquelle lui et ses compagnons auraient été piégés par les responsables de la CEI et par la Secrétaire d’Etat en charge des droits de l’Homme, Aimée Zegbeyoux.
Rappelons que Samba David et des membres de son organisation et un journaliste du quotidien ivoirien Le Temps ont été arrêtés par la police le mardi 23 juillet dernier devant la CEI alors qu’ils partaient répondre à une invitation des responsables de la CEI. Ils ont été conduits à la Préfecture de police où ils ont passé la nuit avant d’être relaxé un jour après. La veille le leader de la CICI avait ajourné son sit -in qui devrait se tenir devant la CEI.
Zatté Albert
More...
Côte d’Ivoire : Célébration du 20ème anniversaire de l’accession au trône du Roi Mohamed VI le 30 juillet à Abidjan
vendredi, 26 juillet 2019 10:51 Written by Super UserLa célébration du 20ème anniversaire de l’accession au trône du Roi Mohamed VI se fera le 30 Juillet prochain à Abidjan- Côte d’Ivoire. C’est dans ce cadre qu’il y a eu échange entre l’Ambassadeur du Maroc en Côte d’Ivoire, son excellence Abdelmalek Kettani, et la presse, le lundi 22 juillet à l’Ambassade du Maroc à Abidjan-Cocody.
Il ressort de cette rencontre que le Maroc à une politique déterminée de lutte contre la pauvreté, d’accès à la santé, des programmes d’appui social accompagnant la croissance économique qui ont porté leurs fruits. Aussi, en quinze ans (15ans), le Maroc est passé d’un taux d’alphabétisation des adultes de 50% à près de 80%, a réintégré l’Union africaine et est redevenu une puissance africaine, avec son extension saharienne qui le lie historiquement à l’Afrique subsaharienne.
Le Royaume du Maroc fait partie des premiers pays à adhérer à la prise de conscience internationale aux questions de la migration, en ratifiant en 1993, la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et de leurs familles dont il a été également promoteur.
« Au niveau national, notre pays s’est doté, depuis 2013, d’une politique nationale d’immigration et d’asile, fondée sur une approche humaniste conforme aux engagements internationaux du Maroc et respectueuse des droits des immigrés. », a soutenu l’Ambassadeur tout en précisant que son pays est un modèle en matière de tolérance et de dialogue religieux. A ce titre, le Roi a été le premier chef d’Etat d’un pays musulman à recevoir le Pape Jean-Paul II à Casablanca en 1985.
Le Maroc s’est également distingué par un mélange de cultures, de religions, de peuples, de races, et a démontré sa capacité à faire face à diverses migrations. A cela s’ajoutent les nombreuses infrastructures notamment le port de Tanger Med, TGV, Tramway, Ponts et réseau autoroutier, tunnels, satellites, Electrification rurale.
Aussi, plusieurs partenariats ont-ils été signés entre la Côte d’Ivoire et le Maroc notamment en matière de Santé, d’Administration, d’infrastructure, de formation et de sécurité. Dans le cadre dudit partenariat, un projet intégré va révolutionner la baie de Cocody et la ville d’Abidjan dans son ensemble. Ce projet d’environ 10 millions de dollars qui sera réalisé sur 40 hectares permettra également aux ivoiriens d’avoir du boulot.
Notons que le maitre d’œuvre est la Côte d’Ivoire et le Maroc apporte son expertise
Générosa Kouadio
Séminaire national de renforcement de capacité des travailleurs du secteur de la banane
jeudi, 18 juillet 2019 05:54 Written by Super UserDans le souci du bien-être et l’épanouissement des travailleurs du secteur de la banane en particulier qui renferme de nombreuses entreprises caractérisées par des différences notables tant au niveau de leur envergure que les conditions et les relations de travail que l’Union Internationale des Travailleurs de l’Alimentation (UITA) en partenariat avec la Friedrich Ebert Stiftung (FES), a initié un séminaire national de renforcement des capacités des travailleurs du secteur de la banane.
C’était du 16 au 18 juillet 2019 dans un hôtel de la place à la Abidjan-Attoban, autour du thème central de « la mutualisation des forces sociales : un atout pour l’entreprise et les travailleurs ».
Il s’est agi au cours de cette formation de décortiquer le thème afin de montrer aux participants les réalités auxquelles ils sont confrontés au sein des entreprises, a signifié dans sa communication, Dr TOSSA Guillaume, membre et représentant de l’UITA auprès de la FES, en tant qu’encadreur et formateur
Poursuivant son propos, il a indiqué la nécessité pour eux de revoir leur organisation au sein des entreprises. Et en particulier dans le secteur de la banane, il y a une prolifération syndicale alors qu’à ce jour il devrait resserrer leur rang pour faire face aux réalités du secteur tous, ensemble. Réalités profondes et inquiétantes, mais on a l’impression qu’ils n’en pas conscients, a renchéri Dr TOSSA Guillaume.
Pour sa part, TRAORE Ibrahim, Président de la Syndicale de la Culture de la Banane (SCB), s’est exprimé en ces termes.« Aujourd’hui notre objectif c’est de créer une fédération entre les syndicats des entreprises productrices de la banane, pour qu’on puisse conjuguer nos efforts, nos idées pour le bien-être des travailleurs de ces entreprises. », a – t –il clarifié.
Côte d’Ivoire- Port- Bouët : Dissensions autour du choix du président des jeunes
jeudi, 25 juillet 2019 21:32 Written by Super UserDans la commune du maire Emmou Sylvestre, la jeunesse est profondément divisée sur le choix d’un nouveau président de l’union de la jeunesse communale.
Un groupe de jeunes membres du Collectif des jeunes leaders dirigé par M. Oualo Landry conteste le choix du nouveau président des jeunes élu le 05 mai dernier avec le soutien des autorités communales.
Lors d’une conférence de presse qu’ils ont animée le samedi 20 juillet dernier, les membres de ce collectif de jeunes ont clairement signifié qu’ils ne reconnaissent pas non seulement le président des jeunes élu, mais ils dénoncent également le « mode de désignation » qui selon eux, viole les textes qui régissent l’organisation des jeunes.
En plus ceux-ci s’insurgent contre le fait que cette élection ne soit pas organisée par la Fédération Nationale des Unions des Jeunesses Communales de Côte d’Ivoire (FENUJECI), structure qui selon eux est la seule habilitée à organiser l’élection du président des jeunes des différentes communes.
« Le 05 mai dernier, ils se sont cachés pour choisir un président des jeunes, nous disons non à cette forfaiture, dont le mode de désignation est falsifié », a dénoncé M. Oualo Landry, président du Collectif des jeunes leaders de Port -Bouet .
Oualo Landry, le conférencier principal a dit aux jeunes que « le seul président des jeunes de la commune reconnu par la FENUJECI est Samuel Kouassi ».
Il a demandé aux jeunes de Port-Bouët de se tenir prêts pour la future élection de leur président qui sera organisée par la FENUJECI.
Zatté Albert