vendredi 10 mai 2024
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Senior Reporter @NewsPlus

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 Monsieur Amadou Coulibaly, ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, a visité  le mercredi 10 Janvier 2024, au Palais de la culture de Treichville , les  installations des centres d'accréditation de la presse . L’objectif de cette visite est de s’enquérir de la bonne disposition de ces installations en prélude au lancement de la CAN 2023

 Au nombre de 6, les centres d'accréditation de la presse ont été créés et sont répartis sur l'ensemble du territoire National et déployés sur les 5 stades à savoir Ebimpé à Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, San Pédro et Korhogo. Le 6ème centre qui est celui du Palais de la culture, est le centre principal.

Il abrite également la salle de presse entièrement équipée en débit internet, en ordinateurs. Plusieurs autres dispositifs y ont été installés pour faciliter le travail des journalistes internationaux et nationaux.

 Au dire du ministre Amadou Coulibaly : « La salle de presse avec une capacité de 350 places assises et plus d'une centaine de postes est une salle ultra moderne et bien équipée pour permettre une bonne transmission des éléments vidéo et audio des journalistes ,de façon continue et régulière à leurs rédactions et partant, une qualité irréprochable des images et du son. »

 Au terme de la visite, le ministre Amadou Coulibaly s'est dit très satisfait du travail effectué par le comité d'organisation de la CAN (COCAN). Il s'est réjoui de la qualité des infrastructures installées, tant au niveau sécuritaire que technologique.

Toutes ces actions s’inscrivent dans la vision du chef de l’Etat, qui souhaite que cette CAN soit la plus belle CAN, jamais organisée.

Prévue se tenir du 13 janvier au 11 février 2024, la CAN verra la participation de plus de 22 pays Africains et de plusieurs chefs d’États Africains.

 Générosa Kouadio

L’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) en collaboration avec l’Union des Journalistes norvégiens, a formé une vingtaine de journalistes les 26 et 27 décembre 2023, lors d’un atelier, dans la région du Gbêkê, précisément à Bouaké. 

 

 L’ouverture de cet atelier, qui avait pour thème : « Genre, sécurité et égalité des femmes Journalistes et professionnels de la communication. », a été faite par le président de l’Union Nationale des journalistes et Correspondants de Côte d’Ivoire, Ladji Abou Sanogo.

 Prenant la parole Ladji Abou Sanogo a félicité les formatrices Rosemonde Kouadio et Assa Diarra, pour la qualité de leurs formations, qu’elles ont commencées depuis 2017 et qui outillent les journalistes et professionnels de la communication sur les notions de genre, sécurité et égalité. Il a par ailleurs, invité les participants à s’approprier ces formations afin d’être plus efficaces dans l’exercice de leurs métiers.

  Pour la formatrice Assa Diarra, il est question à travers ces formations, d’amener les journalistes et communicateurs à s’approprier ces notions et briser les pesanteurs socio-culturelles pour s’affirmer, au niveau professionnel, politique, économique et juridique.

  Quant à la formatrice Rosemonde Kouadio, elle a affirmé qu’il est important pour les journalistes et professionnels de la communication de se former et ensuite oser, prendre des initiatives pour impacter les autres.

 « Cette formation est très bonne et je le conseille à tous mes confrères », a dit Oscar Kouassi, journaliste correspondant du groupe 7 info. Dans la même veine, Essi Marie Ange Joëlle a affirmé qu’elle a apprécié cette formation qui lui a permis de cerner  les notions de genre, d’égalité et de sécurité.

 Les formatrices ont donné rendez-vous, pour la prochaine étape dans une ville de l’intérieur du pays.

 Pour rappel, ce sont plus de 150 journalistes et professionnels de la communication qui ont été formés à ce jour par Rosemonde Kouadio et Assa Diarra.

 

Générosa Kouadio

 

Vingt-quatre heures après la cérémonie de remise de matériels de sport et d'équipements de Taekwondo aux acteurs méritants du Taekwondo, et ce grâce à la générosité du Champion Olympique 2016, Cissé Cheick Sallah Junior, Maître ANZOUMANA Siaka actuel Directeur Général du Centre Sportif Culturel et des Tic Ivoiro-Coréen Alassane Ouattara dit CSCTICAO a tenu à exprimer sa reconnaissance à son poulain et "fils".

Mon très cher Cheick Sallah, homonyme de l'oncle Cheick Sallah de la famille Cissé à Dar-Es-Salam, il y a quelques mois, le Département Promotion et Développement du Taekwondo du Centre Sportif Ivoiro-Coréen t'a sollicité à l'effet de bénéficier de ton entregent aux fins d'obtention d'équipements de Taekwondo.

En effet, cette sollicitation répondait-elle à la mise en action d'un axe du programme du département chargé de la promotion et du développement du Taekwondo, celui d'assister les animateurs du Taekwondo dans nos bases (ligues) et soutenir certaines institutions comme la gendarmerie nationale et l'Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS) en les dotant de matériels adéquats de Taekwondo avant la fin de l'année 2023.

Un projet de notre matrice opérationnelle qui vise à encourager les Taekwondo ins et ces institutions qui travaillent d'arrache-pied à faire la  promotion du Taekwondo.

Malgré le temps très court qui nous séparait de la fin de l'année et les contraintes liées à ton agenda, tu n'as pas hésité à réagir favorablement en mettant à notre disposition, à travers la  Fondation Cheick Cissé dont tu en es le fondateur, du matériel de nouvelle génération d'une valeur de vingt-cinq millions de francs CFA, à savoir plusieurs tapis de combat, des systèmes électroniques de combat, des plastrons et casques électroniques, un mannequin de frappe, des cartons de paires de chaussures d'entraînement, des coquilles et des ceintures noires, pour ne citer que ces articles.

Tu venais de faire parler ton cœur, mais surtout tu démontrais par cette prompte réaction que tu demeures un grand passionné de Taekwondo et que tout ce qui contribue à l'épanouissement des jeunes te tient à cœur.

Frappé par ta générosité et ton amour pour le Taekwondo, au nom de la direction générale du Centre Sportif Ivoiro-Coréen, qu'il te plaise d'accepter mon infinie gratitude et ma profonde reconnaissance pour cet acte de grande portée que tu viens de poser pour soulager tous ces Taekwondo ins pour lesquels tu restes un exemple de réussite, un modèle à copier.

Que Dieu t'accompagne à Paris comme il a été là, avec nous, à Rio en 2016.

Je nourris l'espoir de te voir revenir des JO de Paris 2024 avec au cou ce précieux métal qui a fait de toi cette légende du Taekwondo mondial.

Sois rétribué par le Tout-Puissant à la hauteur du don que tu nous as permis d'obtenir.

 

Joyeux Noël à toi et à ta famille.

Le Sercom du CSCTICAO

A deux jours de la fête de Noël, la fondation Cheick Cissé en collaboration avec Centre Sportif, Culturel et des TIC Ivoiro-Coréen Alassane Ouattara (CSCTICAO) a fait un don d'équipements et de matériels d’une valeur de 25 millions de FCFA aux 28 ligues ivoiriennes de taekwondo.

La cérémonie a eu lieu ce samedi 23 décembre 2023, à la salle Bamba Cheick Daniel du CSCTICAO à Abidjan, commune d’Adjamé en présence d’éminentes personnalités et des maîtres de club, maîtres de salle.

Athlète de stature mondiale, Cheick Sallah Cissé fait aujourd’hui pour Bamba Cheick Daniel, Président du Conseil d’Administration (Pca) du CSCTICAO,la fierté de tous. « C’est une mission pour le taekwondo-in ivoirien, Cheick Cissé de faire rêver les plus jeunes en leur donnant l’opportunité de  s’entraîner dans de meilleure condition ». Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire est désormais en voie de devenir la nation de taekwondo. « Nous sommes bien parties pour réussir », s’est-il réjoui.

Cet important don à en croire Me Anzoumana Siaka, Directeur par Intérim du Centre Sportif, Culturel et des TIC Ivoiro-Coréen Alassane Ouattara (CSCTICAO) vient à point nommé. Puisqu’il « ne peut pas avoir d’équipe nationale forte s’il n’y a pas de club fort. Ce sont les clubs forts qui rendent dynamique les ligues ».

La répartition des dons se fera selon Me Anzoumana par ordre de mérites à toutes les ligues. Il s’agit notamment en premier des ligues de taekwondo qui ont été les meilleures dans les compétitions et ensuite salué les efforts des ligues qui rendent le taekwondo populaire dans leur zone territoriale, ainsi qu’à Institut national de la jeunesse et des sports (Injs) et la gendarmerie nationale, fleuron de cet art martial.

Heureux d’annoncer le partenariat durable avec CSCTICAO, Cheick Cissé, président de la fondation Cheick Cissé a indiqué que ce geste vise à soutenir le développement du taekwondo dans notre pays en offrant au jeune ivoirien passionné de ce sport la possibilité de réaliser leur rêve.

Tout en exprimant sa profonde gratitude au Président Alassane Ouattara et la première dame Dominique Ouattara et aussi le centre ivoiro-Coréen pour leur soutien sans faille, le médaillé d’or olympique se dit convaincu que le sport à travers le taekwondo peut être un « catalyseur de développement personnel, de cohésion sociale et d’excellence ».  

Cette initiative est pour le donateur « la première étape vers la concrétisation de nos objectifs communs qui serviront de catalyseur pour l’émergence nouveau talent et de futur champion ».

Respectivement Namama Fadigua, conseillère municipale, représentant le maire de la ville de Bouaké, le Ministre Amadou Koné et  Honoré Zolobé, représentant le président du Comité National Olympique (CNO) ont salué les importantes actions de la Fondation Cheick Cissé en faveur de la jeunesse qui œuvrent sans nul doute au rayonnement du sport en général et du taekwondo en particulier.

Créée en 2023, la fondation Cheick Cissé a pour mission de promouvoir la pratique sportive, de véhiculer les valeurs positives des arts martiaux et de l’olympisme auprès de la jeunesse et de favoriser l’éducation et l’apprentissage par le sport.

CT

En tant qu'organe de régulation, de suivi et de développement des filières Coton et Anacarde, le Conseil du Coton et de l'Anacarde a initié un atelier d'échanges avec les représentants ivoiriens du secteur financier sur le financement de la commercialisation de l'Anacarde, ce mardi 12 décembre 2023, à Abidjan- Plateau. 

L'objectif de cet atelier est d'informer le secteur financier ivoirien sur le schéma de commercialisation de l'Anacarde et les mesures de sûreté mises en place pour le suivi et le contrôle des activités.

Présentant les atouts de la filière cajou aux professionnels des banques, le Dr Adama COULIBALY, Directeur général du Conseil du Coton et de l'Anacarde, a souligné que ladite filière cajou est désormais devenue une filière stratégique et importante pour la Côte d'Ivoire. D'où pour la préparation de la campagne 2024 , il était plus que nécessaire de communiquer le maximum d'informations et donner les rudiments aux structures susceptibles de financer les projets de ladite filière  qui est certes jeune et en pleine évolution et développement.

Poursuivant son propos, le Dr Adama COULIBALY, a fait étalage des réformes mises en place pour la structuration efficiente de la filière cajou, que sont notamment, l'obtention d'un agrément de l'organe de régulation pour être acheteur, l'identification de tous les producteurs de l'anacarde afin que chacun puisse être doté d'une carte et un numéro d'identification de professionnels du secteur et ce sont entre 120 et 140 exportateurs de cajoux qui sont agréés par /an . Des réformes importantes, qui, selon lui, devraient convaincre les acteurs du milieu bancaire à octroyer leur financement à la filière cajou.

'' La production mondiale est de 4 millions de tonnes/an et la Côte d'Ivoire en tant que leader mondial produit un million de tonnes/ an soit 25%, mais ne transforme que 260 mille tonnes de sa production soit 25,1% de taux de transformation. Par ailleurs le Vietnam, qui produit 500 mille tonnes/an, transforme la quasi-totalité de sa production de noix de cajou. C'est donc la somme de 400frs CFA de bénéfice par kilogramme d'amandes transformées. Et ces 400 frs nous permettent de combler la gap de compétitivité '', a énuméré le DG Adama COULIBALY.

Quant à BEKE Daniel, représentant du Président de l'Association Professionnel des Banques et Établissements Financiers de Côte d'Ivoire (APBEF-CI), il a notamment indiqué qu'au cours de ces 10 dernières années les banques ce sont intéressées à plusieurs secteurs d'activités dont celui de l'anacarde qui connait un boom de la chaîne des valeurs, des exportateurs et les transformateurs .

" C'est un secteur d'intérêt au vu des chiffres que nous voyons pour toutes les banques. Et si le secteur des banques et celui du cajou sont tous deux en plein essor , il n'y a pas de raison que ces deux secteurs ne se rencontrent pas. C'est pourquoi j'estime que cette rencontre soit le lieu d'établir à travers des échanges et consensus les conditions d'une collaboration entre nos domaines respectifs.'', a signifié le représentant de l'APBEF, BEKE Daniel.

Le présent atelier à porter sur trois points essentiels que sont notamment, en premier lieu, la présentation du dispositif institutionnel et réglementaire de la commercialisation suivie d'échanges, ensuite la présentation de partage d'expériences des acteurs sur le financement de la commercialisation suivie d'échanges et enfin la présentation de partage d'expériences des banques sur le dispositif de financement de la commercialisation de l'Anacarde.

 

Debank

 

 M. Amadou Coulibaly, ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, a procédé, le mardi 5 décembre 2023, à la remise officielle de la villa de Jean-Roch Kouamé, journaliste au quotidien l’Expression, Super Ebony 2009, à Modeste (Grand-Bassam). Cette remise de clé est l’aboutissement de la signature d’une convention entre lui et la société immobilière Italia construction du Groupe Shiavone, le mercredi 14 juillet 2021 suite à la destruction par des bulldozers de sa villa dans l’emprise de l’autoroute de Grand-Bassam, le 9 février 2021.

 « Nous pensons qu’avec cette remise de clé, c’est une injustice qui vient d’être réparée. Ayant été présent au début des négociations avec l’opérateur immobilier, il est tout à fait normal que nous soyons présents à la remise effective de cette maison. Jean Roch le mérite, il est un journaliste talentueux reconnu par ses pairs. Tout le monde sait que le prix Ebony est le prix le plus sélectif qui soit.  C’était une frustration de savoir que cette récompense a été détruite », a expliqué le porte-parole du gouvernement, après une visite guidée de la villa du Super Ebony 2009. Il a fait savoir que cette remise de clé est le symbole du respect des engagements pris et la célébration du mérite.

En présence de parents, amis et connaissances du Super Ebony 2009, du Président Directeur Général (PDG) de la société immobilière Italia construction du Groupe Shiavone, Gabriele Schiavone et son Directeur Général Ndoye Mame MAR, des membres de son cabinet ministériel, du Directeur Général de l’Agence de Soutien et de Développement des Médias (ASDM), Méité Sindou, du président de l’UNJCI, Jean Claude Coulibaly, le ministre Amadou Coulibaly a mis en exergue la spontanéité avec laquelle le PDG de la société immobilière Italia construction du Groupe Shiavone a accepté d’offrir une villa  au super Ebony 2009, qui a vu en un laps de temps son monde s’écrouler

 « Te voilà propriétaire ». C’est en ces termes que le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Amadou Coulibaly a exprimé sa joie de voir Jean-Roch Kouamé, Super Ebony 2009, retrouver le sourire et surtout prendre possession de sa nouvelle villa, située dans la cité Korai ADO, sur l’ancienne route de Grand-Bassam.

Par ailleurs, il a indiqué que le temps des revendications conflictuelles est passé tout en précisant qu’aujourd’hui, sous la gouvernance du président de la République, Alassane Ouattara, tout s’obtient dans la concertation, dans le dialogue, dans la discussion.

« Le Ministère a toujours été ouvert. Nous sommes de façon intrinsèque ouvert au dialogue, à la concertation, nous pensons que nous sommes une opportunité que les journalistes doivent saisir », a-t-il soutenu

. Prenant la Parole, Jean Roch Kouamé, Super Ebony 2009 a traduit toute sa reconnaissance à Monsieur le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement et au Président Directeur Général (PDG) de la société immobilière Italia construction du Groupe Shiavone, Gabriele Schiavone ainsi qu’à son Directeur Général Ndoye Mame MAR pour ce joyau.

D’une valeur de 44 millions de F CFa, Cette villa de qualité, composée de quatre pièces dont 3 chambres et un séjour sur un terrain de 250 m2, a été offerte par la société immobilière Italia construction du Groupe Shiavone, à un franc symbolique, au journaliste jean Roch Kouamé. Démarrés en juin 2021, les travaux de constructions se sont achevés en avril 2023

Cette cérémonie a pris fin par La visite du réceptif hôtelier Catérine Resort, de la société immobilière Italia construction du Groupe Shiavone , a mis fin à la cérémonie.

Pour rappel, les logements construits par la société immobilière Italia construction du Groupe Shiavone s’inscrivent dans le cadre du programme présidentiel de logements sociaux.  Sollicitée pour construire 3 000 logements, cette société s’est distinguée par la qualité de ses prestations. L’Etat lui a de ce fait confié la construction de 7000 logements supplémentaires.     

   

Générosa Kouadio

Des acteurs nationaux et internationaux du secteur de l'audiovisuel, se sont rassemblés au Sofitel Hôtel ivoire d'Abidjan les 20, 21 et 22 Novembre 2023. Autour du thème ; « Pour un écosystème audiovisuel et cinématographique africain pourvoyeurs d'emploi à l'ère du numérique. » Le Salon International du Contenu Audiovisuel d'Abidjan, referme ainsi ses portes. Ces journées ont été meublés par plusieurs panels, ateliers, master class, concours et avant-première de films pour le bonheur des professionnels du secteur de l'audiovisuel.et du cinéma.

 Le concours de pitch présenté par l'Agence de soutien et de développement des médias (ASDM) a vu la participation de quatre (4) candidats venus avec différents projets. Le choix des membres du jury s'est porté sur le projet de ‘’Bassa Kéré'Gbé'' présenté par Yousty Sylla et Sakooma Movies qui ont reçu un chèque de dix (10) millions de Francs CFA lors de la cérémonie de clôture du SICA.

A l'issue de ces journées, les participants et les producteurs ont exprimé leur Satisfecit non sans qualifier cette première édition de coup de maître. 

 Pour la Ministre de la Culture, Madame Françoise Remarck, le SICA est Indispensable pour faire croitre le secteur de la production

Cinématographique et audiovisuelle, en améliorant notamment l'attractivité pour les investisseurs.

 Quant à  Monsieur Amadou Coulibaly, Ministre de la Communication et Porte-Parole du gouvernement,  il a remercié les acteurs et professionnels du secteur et tous les partenaires qui leur ont fait confiance pour l'effectivité de cette première édition du Salon International du Contenu Audiovisuel.

 A l'issue de la visite touristique et culturelle du grand Abidjan, Amadou Coulibaly, Ministre de la Communication et Porte-Parole du gouvernement a donné rendez-pour la 2ème édition du Salon International du Contenu Audiovisuel d'Abidjan qui est prévu pour les 5,6 et 7 novembre 2024.

 

Générosa Kouadio

 

La Cérémonie d’ouverture de ce grand - rendez-vous du Salon International du Contenu audiovisuel (SICA) a lieu au Sofitel hôtel Ivoire d’Abidjan. Placé autour du thème "Pour un écosystème audiovisuel et cinématographique africain, pourvoyeur d’emplois à l’ère du numérique", il envisage être le hub de la création audiovisuelle en Afrique, pour redynamiser le secteur.

   « Il me paraît donc important de faire tomber le mur de méconnaissance parce que le secteur de l’audiovisuel qui est un secteur économique dynamique, peut contribuer énormément à la création de richesse et doit donc être financé comme toutes les autres industries », a dit Amadou Coulibaly, ministre de la communication, dans son discours d’ouverture du  SICA ,  fruit de sa volonté et du rêve ;qui s’inscrit dans la vision du Chef de l’État, Alassane Ouattara, de faire de la Côte d’Ivoire un pays à revenu intermédiaire élevé. »

Selon lui, il est important de faire faire connaitre le   secteur audiovisuel et son potentiel ; afin de créer un espace pour sa mise en avant.

« Le SICA, studio à ciel ouvert, souhaite collaborer à la création de contenus authentiques pour les médias africains et mondiaux. Notre ambition est claire : faire connaître les métiers de l’audiovisuel au monde de la finance de notre continent » a-t-il martelé avant d’ajouter

« Nous avons conjugué nos énergies, expériences et intelligences pour assurer le succès de ce salon qui rassemble les scénaristes, les acheteurs de contenus, les diffuseurs et distributeurs par câble, satellite, TNT, ainsi que les plateformes Internet, en somme, l’ensemble de l’écosystème audiovisuel. Mais également, réuni les financiers, les banquiers et les investisseurs. Notre ambition est claire : faire connaître les métiers de l’audiovisuel au monde de la finance de notre continent, parce que ce secteur dont les retours sur investissement et les risques lui demeure inconnu, lui reste particulier »

 Avant lui, Jean Martial Adou, commissaire général du SICA a affirmé que c’est le lieu de rencontre entre professionnel de création de contenu audiovisuel, producteur et distributeur de contenu, pour établir des engagements d’affaires.

« L’ambition est de s’inscrire définitivement en bonne place, dans l’agenda culturel et audiovisuel de notre continent », a-t-il souhaité.

La cérémonie d’ouverture a aussi été marquée par le discours du ministre de la Culture Françoise Remarck. Ainsi qu’une conférence inaugurale axée sur lathématique principale avec comme intervenants, des personnalités de renoms, à savoir le Ministre de la Communication, Amadou Coulibaly, Madame la Ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck, Monsieur Alex Ogou,ducteur, Réalisateur, Plan A, de la Côte d’Ivoire, Madame Adja Mariam Mahre producteur , Directrice Générale, Studio KÄ, de la Côte d’Ivoire, Monsieur Nader Fakhri, cinéaste, Narrateur, Créateur de Contenu, de la Côte d’Ivoire. La modération sera l'affaire  de Monsieur Stéphane Tchriffo, Présentateur TV, Journaliste Économique , de Côte d’Ivoire.

Le salon réunit des institutions gouvernementales, plus de 100 distributeurs et producteurs internationaux, des chaînes publiques et privées, des opérateurs du câble, de satellite, de mobile, et des services de vidéo à la demande. L'objectif étant la vente, de l’achat et de la coproduction de contenus audiovisuels multiplateformes.

Le SICA 2023 se veut en outre un cadre de réflexion entre professionnels du contenu audiovisuel et entre le secteur public et le secteur privé, avec pour objectif, d’engager sur la base des recommandations des échanges, des réformes nécessaires à l’épanouissement du secteur.

L’esprit du SICA c’est d’offrir cette occasion unique, pendant deux jours, à des professionnels de renom, des experts, des producteurs, des réalisateurs, des responsables de chaînes publiques, privées et internationales, des créateurs de contenus en ligne, des débutants, des étudiants, des passionnés, des consommateurs, de se rencontrer, de se côtoyer, de se parler au cours de master class, de panels, des concours de pitch permettant ainsi certes un mélange de connaissances, mais également aux jeunes de se projeter dans un avenir professionnel qui les attend.

 

Générosa Kouadio

 

Débutée le jeudi 23 novembre par le salut aux couleurs et la parade des cycles licence, Master et ingénieur, la 7e édition des journées de l'excellence et du mérite de l'université polytechnique de Man ( UPM) a tenu toutes ses promesses tant au plan intellectuel que festif. Et pour cause, sur un total de 39 ingénieurs sortis, juste un trimestre après leur formation, 12 ingénieurs ont eu soit un CDD ou un CDI, et sur ces 30 ingénieurs, tous ceux qui ont fait la filière Mines et Énergie, notamment la spécialité Énergie comprenant 9 ingénieurs, ont tous été recrutés, soit un pourcentage de 100%.


Pour les Masters professionnels, 16 diplômés sont en CDD 3 mois après la formation, dont 6/10 pour les Masters option Ingénierie de l'eau. Ces excellents résultats ont été livrés au cours des journées de l'excellence et du mérite de l'université.


Le jeudi dernier, après les honneurs rendus à la République et un défilé des étudiants, le président de L'UPM, le Prof. Lacina Coulibaly a remercié les autorités ivoiriennes en l'occurrence le Chef de l'État, SEM Alassane Ouattara, le Vice-président Koné Tiémoko Meyliet, le Premier ministre Beugré Mambé, et le ministre de tutelle, le Prof Adama pour les efforts consentis pour la formation de ressources humaines de qualité en Côte d'Ivoire. Poursuivant son allocution , il a relevé que ''l'UPM forte de ses enseignants chevronnés, de son personnel consciencieux, est fière, comme l'a dit le ministre Adama Diawara, d'être le laboratoire du système d'enseignement supérieur ivoirien ''. Puis d'ajouter, ''nos performances académiques sont de l'ordre de 100% dans les niveaux élevés et en 7 années académiques, nous avons formé 1281 diplômés dans un environnement apaisé et de confiance'' a-t-il souligné.


Deux conférences ont été prononcées par les professeurs titulaires de philosophie, Abou Karamoko sur '' L'économie du savoir: place des universités dans le développement '', et Biaka Ignace Zasseli sur ''La philosophie, l'université et les progrès technologiques dans le monde'' à l'amphithéâtre Alassane Ouattara. Après des débats avec les conférenciers, l'après-midi a été consacrée au sport avec des démonstrations des Taekwondo-in conduit par Maître Yéo Anderson, et un tournoi de Maracana.


Le vendredi 24 novembre a été consacrée à la collation des diplômés, au passage de témoin aux promotions cadettes, et aux remises d'attestations aux promus du CAMES 2023, aux acteurs de l'UPM et aux partenaires pour leur engagement dans l'atteinte des objectifs d'excellence de l'institution universitaire.


Le Vice-président en charge de la pédagogie de l'UPM, Jean-Marie Ouattara, a fait le bilan suivant : " Pour l'année académique 2022-2023, nous avons 42 à 60% d’admission en année supérieure pour les Licences 1, toutes filières confondues ;


50 à 75% d’admission pour les Licences 2 ;
60 à 80% d’admission au diplôme de Licence.
Au niveau Master, les taux sont de :
90 à 100% pour les Masters 1 Recherches ;
100% pour les Masters 1 Professionnels ;
100% d’admission au diplôme de Master recherche ;
90 à 100% d’admission au diplôme de Masters Professionnels
Dans le cycle École, les taux de réussite des Classes Préparatoires vont de :
70 à 95% d’admission en année supérieure pour les Prépa 1 ;
93 à 100% d’admission au concours d’entrée dans les grandes écoles de l’UPM pour les Prépa 2 ;
Au niveau des Écoles, les taux de réussite sont de :
80 à 95% d’admission pour les Ingénieurs de la première année ;
100% d’admission pour les Ingénieurs de la deuxième année ;
90 à 100% d’admission au diplôme d’Ingénieur de conception.
Pour l’année académique 2022-2023, nous avons enregistré 424 diplômés formés dans les domaines des Sciences et Technologies et de l’Agronomie. Ce sont :
272 diplômés de Licence ;
123 Master comprenant 60 Masters de Recherches et 63 Masters Professionnels ;
29 Ingénieurs de conception de spécialités : Mines, Energie, Métallurgie et Matériaux. ''

Pour l'année académique 2022-2023, le Major des majors (super prix) se nomme Touré Ismaël, diplômé en Master 2 de Sciences Physiques avec la moyenne de 16, 11/20. Le meilleur prix d'excellence et major des ingénieurs ( spécialité Mines)se nomme Mlle Tieu Myala Désire Alice avec la moyenne de 15,57.
Ouverte en février 2016, l’Université Polytechnique de Man a commencé à produire ses diplômés à partir de l’année académique 2018-2019, correspondant à sa 3e année de fonctionnement. Ainsi, elle a formé :
en 2018-2019 : 92 diplômés de Licence ;
en 2019-2020 : 140 diplômés de Licence ;
en 2020-2021 : 350 diplômés comprenant 265 Licences, 57 Masters, 26 Ingénieurs de conception et 2 Docteurs ;
en 2021-2022 : 278 diplômés dont 265 Licences, 57 Masters, 26 Ingénieurs de conception, et 1 Docteur ;
en 2022-2023 : 424 diplômés, à savoir 272 Licences, 123 Masters et 29 Ingénieurs de conception.
En somme, après 7 années d’exercice, l’Université Polytechnique de Man a formé,
1 291 diplômés, avec une représentation de 22,6% de femmes. Il s’agit de :
941 diplômés de Licence dont 21,6% de femmes ;
253 diplômés de Master dont 28,1% de femmes ;
94 Ingénieurs de conception dont 17% de femmes ;
3 Docteurs dont 66,7% de femmes.


L’âge de ces diplômés varient entre 21 et 24 ans pour la Licence ; entre 24 et 26 ans pour les Masters et Ingénieurs, et entre 34 et 40 ans pour le Doctorat.
Après ce bian délivré aux participants de cette 7e édition des journées de l'excellence et du mérite de l'UPM, le représentant du ministre Adama Diawara, le Prof. Fulgence Nindjin
a témoigné de la fierté du ministre et de sa reconnaissance pour le travail et les résultats obtenus par l'UPM en 7 années d'existence. '' Le ministre Adama Diawara est fier de cette université qui est toujours la première à commencer l'année académique et toujours la première à l'achever avec de très bons résultats. Il vous félicite et vous encourage à continuer '' a-t-il insisté.
Dans l'après-midi, les trophées ont été remis aux vainqueurs du tournoi de Maracana.
Le samedi 25 novembre, un cross populaire débuté devant l'esplanade de la préfecture jusqu'à l'UPM et une sortie-détente du personnel enseignant et administratif à Goba, ont mis un terme à ces journées de l'excellence et du mérite de l'UPM.

Du 18 au 24 novembre, l’Oms célèbre la 5ème Edition de la semaine mondiale de lutte contre les résistances antimicrobiennes RAM. À cet effet, la cérémonie de lancement de cette activité en Côte d’Ivoire a eu lieu mardi 21 novembre dernier au Palm club de Cocody à Abidjan en présence du ministre des ressources animales et halieutiques, des partenaires privés publics et de la société savante tous venus échanger, éduquer et sensibiliser sur ce fléau qui constitue un véritable problème de santé publique en Afrique.

La Côte d’Ivoire à l’instar de plusieurs pays membres de l’OMS marque depuis 5 ans déjà une pause du 18 au 24 novembre pour sensibiliser le public aux risques associés à l’utilisation inappropriée des antimicrobiens chez l’homme, chez l’animal, et dans les cultures végétales. Cette semaine revêt une importance cruciale, car, elle s’adresse à l’une des plus grandes menaces contemporaines pour la santé mondiale. En effet, depuis quelques années déjà, L’OMS, le Fond des Nations pour l’Agriculture (FAO) et l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OMSA) ont déclenché en synergie une lutte farouche contre la RAM à travers la « stratégie mondiale OMS pour la maitrise de la résistance aux antimicrobiens élaborée en 2001 » et « Le plan d’action mondial pour combattre la résistance aux antimicrobiens » depuis 2015.


« La Ram compromet notre capacité à traiter les infections courantes, augmente le coût du traitement, perturbe les progrès que nous avons accomplis dans la lutte contre les maladies et pose ainsi un problème grave pour nos communauté, nos systèmes de santé et nos économies » A déclaré la représentante de l’OMS en Côte d’Ivoire le Dr Fatim Tall.


Le fardeau de la Ram est alarmant partout dans le monde. Le thème de cette année « Prévenir ensemble la résistance aux antimicrobiens » un thème inclusif qui a nécessité une alliance quadripartite OMS, FAO, OMSA, et le PNUD dans une approche inclusive pour éradiquer cette menace.


En 2019, les infections aux antimicrobiens ont entrainé 1.27 millions de décès dans le monde, surpassant ainsi le nombre de décès causés par le VIH/ sida et le paludisme combinés. Les pays d’Afrique subsaharienne ont enregistré le plus grand nombre de décès liés aux antimicrobiens avec un ratio de 99 décès pour 1000 habitants. Des chiffres qui viennent confirmer une fois de plus que cette résistance est à ce jour, une cause majeure de mortalité


Une menace pressante
La RAM vient ainsi mettre en péril des décennies de progrès dans la lutte contre les maladies telles que le paludisme, la tuberculose, et les IST. Une des plus grandes menaces pour la santé publique mondiale.


Menace d’autant plus pressante qu’elle a conduit l’État ivoirien à mettre sur pied et à institutionnaliser la plateforme « Une seule santé » et le Groupe de Travail Technique (GTT RAM) piloté par la directrice de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire Prof Mireille Dosso pour l’organisation de cette semaine en vue des objectifs de préventions, de détections et de ripostes aux menaces de santé publiques « Après les quatre dernières éditions , le GTTRAM avec l’appui de ses partenaires techniques a une fois de plus voulu marquer son engagement en organisant la 5ème édition nationale du bon usage du médicament, les activités porteront essentiellement sur la sensibilisation des acteurs selon l’approche « une seule santé dans le secteur animal à Korhogo et à Adzopé, dans le secteur de la médecine humaine, les professionnels de la santé et les journalistes ainsi que la formation de la société civile à la thématique de la résistance aux antimicrobiens » A précisé le Pr. Antoinette Fayé Ketté Représentante de la Directrice de l’institut Pasteur de Côte d’Ivoire empêchée.


Elle a tenu a rappelé que ces acteurs constituent des cibles qui permettent de véhiculer le message auprès des populations, profil le plus touché car, il a pour la plupart recours à l’automédication face aux infections, toutes choses qui occasionnent des résistances aux antimicrobiens.


Quant aux partenaires techniques et financiers comme la FAO, ils demeurent tous engagés auprès du gouvernement ivoiriens pour réduire l’impact de la résistance des microbes aux antimicrobiens qui restent d’intérêt pour les systèmes de santé et de production. Le représentant de la FAO en Côte d’Ivoire M. Attaher Maiga a mentionné dans son discours d’ouverture que la FAO fourni aux pays un soutien intégré pour leur permettre de renforcer leurs capacités et leurs moyens de gestion des risques à la RAM dans le secteur de l’alimentation et de l’agriculture. « Les partenaires techniques et financiers, dont la FAO demeurent engagés au côté du gouvernement ivoirien pour adresser chacun de ces défis. Nous restons convaincus que la maitrise de la RAM permettra de rehausser à la fois le niveau de santé des populations et de productions des secteurs agricoles y compris les ressources animales et halieutiques afin de renforcer la sécurité alimentaire et les moyens thérapeutiques d’interventions des services de santé lors d’éclosion de foyers de maladies affectant les plantes, les animaux ou l’homme. »

Les bonnes pratiques
Cette cérémonie de lancement placée sous la haute supervision du ministre des ressources animales et halieutiques M. TIEMOKO Touré était un choix qui traduisait à suffisance l’opérationnalisation de l’approche « une seule santé. » Tout en rappelant au public présent que la lutte aux antimicrobiens a débuté en Côte d’Ivoire dans les années 1980 et s’est matérialisé en 2002 par la mise en place de l’Observatoire de la Résistance et des Microorganismes aux Anti infectieux en abrégé ORMICI.


Le Ministre des ressources animales et halieutiques a tenu à préciser au public présent que tout le monde est concerné par cette lutte. « Nous avons tous un rôle à jouer pour ralentir la propagation de la résistance aux antimicrobiens. J’aimerais encourager les professionnels de la santé à poser les bons diagnostics, donner des conseils utiles, prescrire les médicaments appropriés, aux éleveurs et aux utilisateurs à utiliser seulement les médicaments prescrits, à respecter les doses prescrites, à éviter les médicaments contrefaits, à éviter l’automédication, et surtout à appliquer le respect des bonnes pratiques de biosécurité dans les élevages. Ces en respectant toutes ces mesures d’hygiènes et bonnes pratiques que nous pouvons stopper la résistance aux antimicrobiens et parvenir à un monde plus sain pour tous »


Au cours de cette journée plusieurs thèmes ont été débattus des capsules micro trottoirs et un film sur un témoignage des survivants à la Ram ont été projetés. Quelles stratégies de lutte contre la RAM en milieu de soins de santé dans les différents secteurs, c’était le thème du débat du jour animé par les experts en santé animale, environnementale, et humaine, et qui a suscité de vifs échanges avec les participants. Le plaidoyer au plus haut niveau, le respect des bonnes pratiques, la sensibilisation des professionnels de santé et des populations avec des témoignages probants pour impulser les changements de comportement pour l’usage rationnel des antimicrobiens sont les mots de fins qui ont clos le débat par les panélistes.


Edithe Valerie Nguekam

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