La première édition du festival dénommé, ‘’Festival Saint Pierre de San Pedro’’, qui se tient du 22 au 24 février 2019, dans ladite ville, a déjà un goût de réussite. Pour cette première journée, le maire de la ville, Félix Anoblé, n’a pas tardé sur les grands moyens. Il a mis les petits plats dans les grands en conviant à la cérémonie d’ouverture, des pontes du gouvernement ivoirien. Du ministre du Tourisme, Siandou Fofana, Me Patricia Yao, directrice de cabinet de la Première dame de Côte d’Ivoire, en passant par tout le corps préfectoral et les chefs coutumiers et Ahoua N’Doli Raymond…tous ont répondu présents à ce festival. ‘’Cohésion sociale, San Pedro ville neuve’’ est le thème de cette première édition.

Ahoua N’Doli Raymand, inspecteur général d’Etat, représentant du vice-président de la République, Daniel Kablan Duncan, président de cette manifestation a salué l’initiative de son ‘’frère’’. A l’entendre, cette cérémonie est le signe de la parfaite cohésion et de l’entente qui existent entre le peuple Krouman et les autochtones. Et ce, depuis de longues années déjà. « L’organisation du festival Saint Pierre de San Pedro apparaît comme une plateforme de promotion de la culture et du tourisme. La promotion des richesses culturelles et de tourisme pour la région de San Pedro apparaît comme un levier pour faire connaître davantage de San Pedro et ce merveilleux outil de groupement économique et social… », a déclaré Ahoua N’Doli. Remerciant également toutes les autorités coutumières de la région, le représentant du vice-président a souhaité que cette bonne entente demeure au sein des populations afin d’atteindre le développement prôné par le président de la République, Alassane Ouattara.

Pour sa part, Félix Anoblé a pointé du doigt, les difficultés liées à la voirie en projet pour sa ville. Il a ainsi donc posé une doléance auprès du président de la République, Alassane Ouattara afin d’apporter un terme à ce problème qui perdure depuis des années.

« San Pedro est vraiment orpheline dans la distribution de la richesse de Côte d’Ivoire. Notre ville subi la pression des gros camions pour le développement économique. Nos routes subissent la pression de l’économie ce qui est normal, mais nous voulons qu’il soit possible à la commune de San Pedro d’avoir les moyens conséquents pour organiser le développement de San Pedro… La pression du développement du port sur l’urbanisation de la ville de San Pedro nécessite qu’un regard particulier soit donné au budget de la ville de San Pedro », a imploré le maire, Anoblé Félix, sous des applaudissements nourris des festivaliers.

 Il est à souligner que cette ville qui possède le deuxième port autonome du pays a un besoin urgent en voirie. Toute la côtière qui servait de route n’est désormais plus que l’ombre d’elle-même. Les voyageurs ont pour obligation de faire le détour par des villes comme, Tiassalé, Divo, Lakota, Gagnoa et autres avant d’accéder à San Pedro.

Toutefois, cette voie  qui se dégrade au fil des années, relève d’un parcours du combattant pour ces voyageurs désireux de se rendre dans la région du Bas-Sassandra. Les autorités elles, n’ont pas forcément imprégnées de  cette réalité dans la mesure où elles ne joignent pas la ville par voie de surface. Espérons donc que cet appel du maire Anoblé Félix aura un bon echoécho.

Abou ZEID

 Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani a procédé le samedi 23 février 2019 dans la commune de  Songon Agban  à l’installation d’une base de son mouvement ‘’ sur les Traces d’Houphouët-Boigny ‘’.

Le président exécutif du mouvement ‘’ Sur les Traces d’Houphouët-Boigny  ‘’  a profité de cette cérémonie  pour expliquer en long et en large aux populations de Songon Agban le débat sur les élections de 2020 et pourquoi les partisans du RHDP affirment  que ‘’ 2020 c’est géré, c’est bouclé ‘’ (expression qui signifierait   qu’ils gagneront à tout prix les élections présidentielles de 2020).

‘’ Relativement au débat autour de 2020, c’est géré. Et savez-vous pourquoi ? Savez-vous ce qui va faire la différence en 2020 ? Ce sont nos actions et nos réalisations’’, a affirmé le ministre  Kouassi Adjoumani dans son allocution  dont nous avons reçu copie.   

 Dans son élan d’explication, le président de ‘’ Sur les traces d’Houphouët-Boigny ‘’ soutiendra que ‘’les Ivoiriens ont élu le président, Alassane Ouattara et le RHDP pour un travail. C’est ce travail qui est en cours de réalisation. Et je vous fais une confidence. Les Ivoiriens verront des choses incroyables, inimaginables bientôt. Donc quand on dit que 2020 c’est géré, c’est vraiment géré.’’ A-t-il conclu.  

Zatté Albert

Pascal Affi N’Guessan, président d’une branche du Front populaire ivoirien (FPI) a fait ce samedi 23 février 2019,  des propositions pour mettre fin aux grèves intempestives dans le système éducatif ivoirien.  C’était à Cocody (Rivera M’badon ) à  l’occasion d’une cérémonie de présentation de vœux des militants  du FPI  à leur président.  

Pour le président Pascal  Affi,  les problèmes qui minent l’école ivoirienne aujourd’hui  et qui ont occasionné l’arrêt de travail des enseignants est  d’ordre financier.

Il estime que  le budget alloué au secteur de l’éducation nationale  est insuffisant pour prendre en charge tous les aspects.  Il faut  donc trouver des  moyens financiers  pour faire face à cette  la situation.

 Selon  lui ces moyens  peuvent être   trouvés  au niveau du budget de l’Etat  de 2019 qui s’élève à plus de 7 mille milliards FCFA.

A l’en croire,  il est actuellement possible de dégager d’urgence   la somme de 40 milliards FCFA pour faire face à toutes les revendications  des enseignants.

 Il propose en urgence que le Chef de l’Etat face une ponction de 10 milliards FCFA sur le budget de la présidence qui s’élèverait  à 95 milliards FCFA. ‘’ La Côte d’Ivoire ne va pas s’arrêter si Ouattara prend 10 milliards FCFA sur le budget de la présidence pour régler le problème de l’école ‘’ a affirmé Pascal Affi N’Guessan.  

Il souligne qu’en dehors de la présidence, l’ on pourrait prendre des fonds au niveau de certaines  structures étatiques  qui ne joueraient  pas  à ses yeux un grand   rôle dans le fonctionnement de l’Etat  et dont les budgets  sont énormes.

 Il a cité en  exemple  le Senat qui a un budget d’au moins 5 milliards FCFA  dont il souhaite même la suppression et la  Médiature  .

Pascal Affi N’Guessan a dénoncé le projet de construction  de la baie de Cocody qui nécessite un financement de 57 milliards FCFA avec un apport de 15 milliards FCFA du Trésor  public ivoirien et 42 milliards FCFA qui seront empruntées.

Comme solutions à moyens terme le président du FPI  a proposé une amélioration des ressources de l’Etat. Et souhaité que le budget qui est actuellement de plus 07 mille  milliards FCFA devrait passer à  au moins 10 mille milliards  FCFA  au regard des potentialités économique du pays.

Cependant, le président Affi N’Guessan a déploré  ‘’ la suspension de l’impôt foncier pour les grosses fortunes ‘’ et de l’Impôt  sur les revenus(IGR).

Selon lui, de nombreux opérateurs échappent à l’impôt. Il ya trop d’exonération d’impôts  et  très rapidement il faut  améliorer  le budget  de l’Etat  en le portant à  au moins 10 mille  milliards FCFA.

‘’ En 07 ans, le Chef de l’Etat a emprunté plus de 08 mille  milliards FCFA alors qu’en 2012 la dette qui s’élevait à 02 mille milliards FCFA  est passé  aujourd’hui  à 11 mille milliards et mais  l’impact n’est pas perceptible. La preuve l’école, les hôpitaux sont sinistrés ‘’ a expliqué Affi N’Guessan  précisant que ‘’ La crise de l’école est le symbole de la faillite nationale ‘’ 

Pour conclure, il  a condamné  l’arrestation des leaders syndicaux et demandé leur libération immédiate tout en  invitant  le gouvernement à privilégier  le dialogue.

Zatté Albert

La première édition du festival dénommé, ‘’Festival San Pedro'', qui se tient  du vendredi 22 au dimanche 24 février 2019, à déjà un goût de la réussite.

 Cette première, le maire de la ville, Félix Anoblé, a mis les petits plats dans les grands pour assurer le franc succès de cet événement. Des têtes couronnées du pays ont répondu présent.

 L'Inspecteur général d’État, Ahoua N'Doli Raymond, représentant le Vice-président de la République, Daniel Kablan Duncan, président de la cérémonie, Mme Patricia Yao, représentante de laPremière dame, le ministre du Tourisme, Siandou Fofana et autres, se sont déporté dans la région.

 La population n’a pas voulu manquer à l’appel d‘où la mobilisation exceptionnelle. Nous y reviendrons.

Abu Zeid

 " La trêve sociale est malade ''  a affirmé Théodore Gnagna Zadi, président de la plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public, le mercredi  20 février 2019  lors de la conférence de presse qu’il a animée au siège de la plateforme à Abidjan 2plateaux, pour éclairer la lanterne des populations sur les raisons des grèves au niveau du système éducation-formation, s'insurger contre la violation flagrante des libertés syndicales et de la pratique syndicale en côte d'Ivoire.

  Une crise oppose la CNEC au président de l'Université FHB de Cocody, Pr. Abou Karamoko, depuis quelques semaines suite à des revendications d'ordre corporatiste et salariale. Pensant que c’était une crise interne à l'Université ,elle prendra des allures juridiques parce que le conseil de l'Université présidé par le Pr. Abou Karamoko s'est réuni et a  pris de graves décisions notamment la révocation immédiate de 5 membres de la coordination  nationale des enseignants chercheurs (CNEC) dont le secrétaire général et porte-parole, Johnson Kouassi Zamina et le Dr Kazon Aubin. La suspension de huit autres pour un (1) an ainsi que la suspension de deux (2) pour une durée de six mois. 

 «  plateforme  demande la libération immédiate et sans condition des camarades emprisonnés '' dira Gnangna Zadi. Aussi des actions sont-elles annoncées dans toutes les localités du pays où leur représentant vont lire une motion de protestation dans les sous-préfectures, préfectures et départements le vendredi 22 février 2019 à 10 heures. 

 Il est à noter que l'Université Félix Houphouët Boigny d'Abidjan est paralysée depuis plus d'un mois.

   Générosa de Jésus

Dans une note dont nous avons  reçu copie ce jeudi 21 février 2019, le secrétaire général du syndicat national des inspecteurs d’orientation  de Côte d’Ivoire (SYNIOCI)  et par ailleurs responsable à la communication de la plateforme,  M. Armand  Nanin Blé  a ‘’ Protesté vigoureusement  ‘’ contre le transfèrement à la Maison  d’arrêt  et de correction d’Abidjan (MACA) depuis le 19 février  2019 du professeur Jonson Kouassi  Zamina,  Secrétaire général   de la CNEC (coordination nationale des enseignants du supérieur et des chercheurs de Cote d’Ivoire)  et 3è vice- président de la plate forme et de leur camarade Dallé Joël.

‘’ Le SYNIOCI, est totalement solidaire des camarades embastillés,  joint sa voix à ce concert de désapprobation et demande la remise en liberté des camarades concernés. ‘’ ,  a dit le S.G Armand  Blé dans sa note.Blé Nanin Armand a également   appelé   au calme et au rassemblement  aux  membres  de son syndicat  au sortir d’une rencontre qu’il a eu ce jeudi  21 février avec certains camarades dissidents (qui ont entrepris des actions en vue  le démettre de ses fonctions)  en présence du Commissaire du district de police de Yopougon à son bureau.     

‘’  Je  demeure à mon poste à la tête  du syndicat, le coup qui a été fait contre moi à échoué.  Le Commissaire du district nous a permis d’avoir un cadre d’échange  serein et suis disposé à aller  rapidement à un congrès  ordinaire pour nous sortir de cette crise(…) .  Je tends la main à nos camarades  dissidents à nous rejoindre  afin qu’ensemble on puisse bâtir  et renforcer le Synioci ( …) a déclaré M. Armand Blé au sortir de cette rencontre.

  Rappelons que la CNEC a annoncé une grève d’un an depuis le 04 février dernier.

Zatté Albert

A un mois de la première édition du Festival dénommé, ‘’Bouaké Ouflê'', un événement basé sous le signe de la ‘’renaissance’’ de cette ville, les choses semblent déjà se préciser. Lors de la cérémonie de pré-lancement dudit festival qui s'est tenue, mercredi 20 février 2019, les organisateurs, ont mis la lumière sur les grandes lignes du plus gros événement socioculturel de la région du Gbêkê.

Diakité Siaka alias Chico Lacoste, Commissaire général du festival, a donné le bien fondé de cette rencontre. À en croire l’initiateur de cet événement, le festival se tiendra les 29, 30 et 31 mars prochains dans la capitale du Gbêkê. Et c'est autour du thème, ‘’Bouaké, la ville du civisme'', que les festivaliers se retrouveront.

L’objectif de ce festival au dire du responsable de C-prod est de rendre à la ville de Bouaké toute sa splendeur, montrer aux yeux du monde entier que cette ville, au-delà des crises et autres coups qu'elle a essuyés, elle mérite d’être visitée comme les autres villes du pays, repositionner la ville de Bouaké dans l'espace socioculturel national…

Au programme, des concerts géants avec des artistes de renoms issus, à la fois de l’étranger et du pays, des compétitions sportives, des espaces enfants, un défilé de mode avec des mannequins des plus célèbres, sans oublier la gastronomie issue de la région.

Abou ZEID

Le président Henri Konan Bédié aura un calendrier très  chargé cette semaine.

 En effet, le président Bédié recevra le samedi 23  février 2019, l’ex-PAN, Soro Guillaume, a-t-on appris d’un communiqué de presse de son Comité politique.

 Le 17 décembre 2018. Bédié avait reçu Soro Guillaume  avec tous les honneurs chez lui à Daoukro. Ils avaient promis se revoir pour poursuivre les pourparlers sur la nouvelle plateforme que compte mettre en place le sphinx de Daoukro.

 Bien avant cette rencontre Soro -Bédié, les anciens de la Fédération estudiantine et scolaire (FESCI) unis au sein de l’organisation UNA-FESCI, sont également annoncés le mercredi 20  février  2019 chez le président du  PDCI-RDA Henri Konan Bédié.

Martial Ahipeaud, président de l’Una-Fesci  et une  forte délégation de son organisation ont été reçus à cet effet,  le lundi 18 février  par le directeur de protocole de Bédié, M. Porquet au siège du PDCI-RDA  à  Abidjan- Cocody.

 Zatté Albert

  Jean Léopold Gnabry, président du mouvement Conscience nationale association(CNA) a présenté officiellement son  mouvement le  samedi 16  février 2019,  à Yopougon lors d’une conférence de presse.

‘’ Contribuer au changement des mentalités à travers l’éducation la culture et la formation pour un développement harmonieux de la Cote d’Ivoire, accompagner toutes les actions  publiques qui favorisent la réconciliation, la paix et la cohésion ainsi que promouvoir la conscience nationale, gage d’unité et de développement  équilibré ‘’. Tels sont quelques objectifs de ce mouvement  selon le conférencier.

Il envisage les jours à venir de  former ses adhérents,  créer des coordinations sur l’ensemble du pays.Jean Léopold Gnabry précisera que le CNA  va  s’investir  pleinement  dans les domaines de  ‘’  l’éducation, la culture ,  la formation,  la paix et  la réconciliation nationale ‘’  

 Le CNA  a pour slogan ‘’ la Nation d’abord ‘’.  Il  a été crée depuis décembre 2018.    

Zatté Albert