dimanche 29 septembre 2024
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La Côte d’Ivoire, premier pays africain à répondre à l’appel du Secrétaire Général des Nations-Unies, en se dotant d’un plan d’action national pour la mise en œuvre de la Résolution 1325,  a célébré  le 20e anniversaire de cet important instrument en dressant le bilan et les perspectives de ladite Résolution pour une participation pleine et égale des femmes aux processus décisionnels de prévention et de gestion des conflits.

Pour rappel, cette résolution reconnait aux femmes un rôle d’actrices à part entière dans la gestion et la résolution des conflits, ainsi que dans les processus de maintien de Paix. En effet, la Résolution 1325 sur les femmes, la paix et la sécurité s’articule autour de quatre principaux piliers que sont, la Participation, la Protection, la Prévention, le Secours et le Rétablissement. Voici la déclaration faite par la ministre BAKAYOKO-LY Ramata :

 

DÉCLARATION DU GOUVERNEMENT

 

ANNIVERSAIRE DE LA RÉSOLUTION 1325 SUR LES FEMMES, LA PAIX ET LA SÉCURITÉ DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU

 

Mesdames et Messieurs,

Cher-e-s compatriotes,

Le 31 octobre 2000, pour la première fois, le Conseil de Sécurité des Nations Unies abordait la question des femmes et les conflits armés au cours de sa 4213e séance.

Dans une résolution prise à l’issue de cette séance, cette haute instance décisionnelle, reconnaissait aux femmes un rôle d’actrices à part entière dans la gestion et la résolution des conflits, ainsi que dans les processus de maintien de Paix.

Il s’agit de la Résolution 1325 sur les femmes, la paix et la sécurité qui s’articule autour de quatre principaux piliers que sont, la Participation, la Protection, la Prévention, le Secours et le Rétablissement.

A l’instar de ses homologues, la Côte d’Ivoire célèbre le 20e  anniversaire de cet important instrument. La célébration de cette résolution constitue une opportunité pour faire le bilan de sa mise en œuvre et dégager les perspectives pour une participation pleine et égale des femmes aux processus décisionnels de prévention et de gestion des conflits.

La Côte d’Ivoire a été le premier pays africain à répondre à l’appel du Secrétaire Général des Nations-Unies, en se dotant d’un plan d’action national pour la mise en œuvre de la Résolution 1325, couvrant la période 2008-2012.

Mesdames et Messieurs, Cher-e-s compatriotes,

La mise en œuvre dudit Plan a permis des avancées notables depuis 2011, sous le leadership de S.E.M Alassane Ouattara, Président de la République. Il faut noter la modification de plusieurs instruments juridiques pour une meilleure prise en compte de la sexospécificité dans la gouvernance de notre pays.

Ainsi, sans être exhaustif, le bilan de la participation des femmes aux processus de paix et de sécurité peut être mis en lumière, à travers les actions phares ci-après :

- l’ouverture en 2014, de l’École Militaire Préparatoire Technique (EMPT) et de l’École de Gendarmerie aux jeunes filles. La Côte d’Ivoire compte 25% de femmes dans la gendarmerie, 13% dans la police ;

- la création en 2014 de l’Observatoire National de l’Equité et du Genre qui a pour mission d’assurer la veille, l’alerte et l’anticipation en matière d’équité et d’égalité entre les hommes et les femmes ;

- la mise en place d’une stratégie nationale de lutte contre les Violences faites aux femmes, en 2014, avec la création de 65 plateformes multisectorielles de lutte contre les violences basées sur le genre à travers tout le pays.

- l’octroi de fonds (Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire et Fonds Femme et Développement) aux femmes exilées de retour après la crise post-électorale de 2010 pour leur permettre de mener des activités génératrices de revenus.

- l’élaboration d’une stratégie genre de la Commission Electorale indépendante (CEI) pour la prise en compte du genre dans tous les processus électoraux ;

- l’existence d’une Direction d’Aide et d’Assistance pour les Réfugiés et les Apatrides (DAARA)) au niveau du Ministère des Affaires Étrangères, en vue de prendre en compte les besoins spécifiques des femmes avec l’appui du HCR.

Mesdames et Messieurs, Cher-e-s compatriotes,

En dépit des acquis susmentionnés, la Côte d’Ivoire est pleinement consciente des défis à relever pour assurer l’effectivité de la participation équitable des femmes et des hommes dans les processus de gestion et de gouvernance, spécifiquement ceux qui sont relatifs à la prévention et à la gestion des conflits et à la promotion de la paix.

On peut relever entres autres :

- la faible participation des femmes aux missions de maintien de la paix de l’ONU (seulement 9% de femmes cadres dans les contingents) ;

- la non prise en compte du genre dans la budgétisation, les plans et programmes ;

-           la persistance des stéréotypes sexistes et des pratiques traditionnelles néfastes (MGF-Mariages précoces et forcés, etc.). 

Aussi, le Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (MFFE), s’est-il doté, en avril 2019, d’un deuxième Plan National de mise en œuvre de la Résolution 1325 pour la période 2019-2023.

L’objectif de ce plan est d’amener le Gouvernement à traduire la vision du Président de la République, en impliquant plus de femmes dans les processus de prévention et de maintien de la paix.

Le nouveau plan d’action vise entre autres à :

-Renforcer la participation des femmes au sein des forces de défense et de sécurité et dans les missions de paix ;

-Accroitre la participation des femmes et des filles dans la prévention des conflits intercommunautaires et électoraux ;

-Poursuivre la protection des femmes et enfants contre les VBG au sein des communautés ;

Mesdames et Messieurs, Cher-e-s compatriotes,

Dans cette dynamique, je voudrais, à l’occasion de la célébration du 20e anniversaire de la résolution 1325, exhorter toutes les femmes de Côte d’Ivoire à s’ériger en médiatrices de paix afin de contribuer efficacement à la construction d’un environnement de paix et à la consolidation de la cohésion sociale.

Avec l’engagement de toute la communauté, les femmes peuvent devenir de véritables artisans d’une paix durable, de la stabilité, de la sécurité et de la cohésion sociale dans notre pays.

 

Fait à Abidjan,

Prof. BAKAYOKO-LY Ramata

Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant

La Ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant, Professeur Bakayoko-Ly Ramata a accompli ce samedi 31 octobre 2020, à Dimbokro son devoir civique.

Déclaration :

Je viens d'accomplir mon devoir citoyen qui est le vote pour choisir le premier Président de la Troisième République de Côte d'Ivoire. J'invite toute la population d'ailleurs à aller dans les bureaux de vote pour ce devoir civique, important pour tous. 

Nous avons fait campagne autour des thématiques de la paix, de la solidarité et du progrès de notre beau pays la Côte d'Ivoire. Après les élections, il faudrait que nous puissions  continuer l'œuvre de construction de la Côte d'Ivoire, dans la paix et la cohésion sociale. 

Je suis très confiante pour la suite de ce scrutin et pense très sincèrement que le candidat pour lequel nous avons fait campagne sera célébré, dès ce soir,  partout sur l'étendue du territoire. 

Merci à tous et vive la Côte  d'Ivoire 

Professeur Bakayoko-Ly Ramata, ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant

« Rendez-vous massivement dans les bureaux de vote afin de voter le meilleur candidat, Alassane Ouattara, pour une victoire un coup K.O dès le soir du 31 octobre », a galvanisé en la directrice régionale  du RHDP, la ministre Bakayoko-Ly Ramata.

En tournée dans plusieurs marchés de la commune de Dimbokro, le jeudi 29 octobre 2020, le message de la ministre a été clair à chaque étape.

Elle a invité les femmes exerçant dans les marchés de la commune du "bonheur partagé'' à accomplir leur devoir civique ». Allez-y,  nombreuses, voter le samedi 31 octobre notre champion, Alassane Ouattara" a-t-elle exhorté dans tous les marchés où elle est passée, les mains chargés de gadgets à l'effigie de ADO. 

À 72 heures  de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, l'émissaire du candidat du RHDP a battu le rappel de ses troupes comme ses pairs des autres régions électorales. Pour le prof. Bakayoko-Ly, « il ne faut pas céder à la provocation et se laisser distraire par des manœuvres qui ne prospèrent plus face à des populations éprises de paix et convaincues par l'excellent bilan du bâtisseur ADO », a-t-elle dit.

Puis de poursuivre, « il est le meilleur de tous les candidats, son bilan est inattaquable. Grâce au président Alassane Ouattara nous avons des routes, et vos produits vivriers arrivent vite sur les marchés », a-t-elle rappelé. Pour elle, le programme du candidat du RHDP est le meilleur projet de société pour les femmes. Et, pour le prochain quinquennat, « Alassane Ouattara entend poursuivre et renforcer la mise à disposition de fonds en vue de financer les activités des femmes dans les marchés », a-t-elle affirmé.

Les femmes du marché central de Dimbokro ont assuré la directrice régionale  du Rhdp d’une victoire "écrasante" du candidat du RHDP au soir du 31 octobre. La ministre leur a remis des pagnes, tabliers, tricots, sacs, et même pour certaines des motos, dans la liesse, où chants et danses ont mis fin à ce dernier jour de campagne dans la région du N'Zi.

La commission électorale indépendance (Cei), a présenté le  mode opératoire et le plan de sécurisation de l'élection présidentielle du 31 octobre  au cours d’un atelier le mardi 13 octobre 2020, à Abidjan. Et ce en présence  des acteurs du processus électoral ivoirien et des représentants des candidats à ce scrutin.

  D’entré  Coulibaly-Kuibiert Ibrahime , président de la commission électorale indépendante a fait savoir que  malgré la survenue de la pandémie à coronavirus  et la nécessaire adaptation qu’elle a imposée, tous les délais ont été tenus jusqu’à ce jour par son institution. « La CEI est prête techniquement  pour organiser le scrutin présidentiel du 31 octobre 2020», a-t-il  rassuré. Pour lui en le disant  «  ce n’est pas dans un souci de  raviver la polémique, encore moins contrarier quelqu’un mais seul la volonté de  respecter   la Constitution et le  Code électoral  » a expliqué M. Coulibaly.

 Aussi,  il  a réaffirmé l'engagement de son institution à  garantir et protéger  la sincérité du scrutin  et de s'assurer de la conformité du vœu de l'ensemble des électeurs d'avec le résultat proclamé par la CEI. « La mission de la CEI est d'organiser des élections démocratiques dont les résultats devront être acceptés de tous. Nous ne faillirons pas à notre devoir », a rassuré le président de la CEI.

A sa suite, deux communications ont meublé cet atelier. Notamment celles de M. Antoine Adou sur le mode opératoire de ce scrutin présidentiel et du commissaire divisionnaire Aristide Adon sur le plan de sécurisation de cette élection.  La sécurisation du scrutin se fera en trois phases, notamment une phase préélectorale, une phase pendant le scrutin et une phase post-électorale, a fait savoir le commissaire Adon. Par ailleurs, il a indiqué qu'environ 7.495.082 millions d'électeurs devraient prendre part à l'élection présidentielle ivoirienne du 31 octobre prochain et que  la campagne électorale pour cette élection s'ouvre jeudi prochain.

Sally Konaté

 

La Commission électorale indépendante (CEI) a procédé, le vendredi,9 octobre 2020,  à la remise officielle des documents électoraux à savoir spécimens de bulletin de vote et affiches de campagne aux représentants de chacun des candidats en lice pour l’élection présidentielle du 31 octobre 2020  à son siège  à Abidjan.

Au nombre des  représentants de candidats attendus, seuls ceux du RHDP et du candidat indépendant Kouadio Konan Bertin dit KKB ont répondu présents.
Les deux autres candidats à Savoir  Henri Konan Bédié et Pascal Affi N’Guessan ont brillé par leur absence. Au total, 10 000 spécimens de bulletin unique de vote, 100 000 affiches, la liste électorale définitive ( LED) sur support électronique et les les décrets relatifs à l’organisation des scrutins électoraux avenir ,constituent les documents remis aux représentants des candidats.

 Dans son discours, le président de la CEI, Coulibaly -KUIBIERT Ibrahime a  rassuré, tous les représentants de candidats de la  volonté et la détermination de la Commission électorale Indépendante à organiser ces élections crédibles et transparentes. « Nous disposons d’importants moyens logistiques pour organiser dans les meilleures conditions l élections et proclamer les résultats dans des délais raisonnable. » a-t-il fait savoir et d’ajouter que «  la CEI a arrêté d’importantes mesures pour organiser dans la transparence et l’équité, le vote, afin que les résultats proclamés par nos Commissions locales ainsi que la Commission Centrale soient conformes aux verdicts des urnes pour que  meilleur gagne. Il est important de savoir que La liste électorale définitive qui servira pour le scrutin présidentiel ivoirien du 31 octobre prochain compte 7 495 082 électeurs pour 10 815 lieux de vote selon la Commission électorale indépendante (CEI).Se prononçant sur l’absence des Candidats Henri Konan Bédié et Affi N’guessan, le président de la Commission électorale indépendante a dit  qu’ ils pourraient venir à tout moment récupérer les leurs.

 

Sally Konaté

Le mardi 6 octobre 2020, en fin d’après -midi l’alliance des guides religieux, a été reçue en audience par le premier ministre Hamed Bakayoko . Cette  rencontre se situe  dans le cadre de la situation socio politique qui prévaut dans le pays à l’approche de l’élection présidentielle  Au terme de cette rencontre et s’adressant aux journalistes, les guides religieux, par la voix de leur porte -parole en l’occurrence DR Noel N’ Guessan , membre de la fédération évangélique de Côte d’Ivoire, ont invité les hommes politiques à faire preuve de responsabilité et de maturité. Pour lui,  il est primordial de s’assoir et d’échanger dans l’intérêt de la nation.

« Avoir des opinions politiques différentes ne doit pas nécessairement nous amener à nous entredéchirer » a-t-il  indiqué avant de demander aux jeunes de refuser  d’être instrumentalisés  dans la mesure où  ils sont l’avenir du pays et qu’ils sont un maillon essentiel dans la construction de la nation. Dr Noël  a fait savoir, que ses paires et lui sont porteur  d’un message de paix, aux autorités, aux hommes politiques et à la population ivoirienne.

«  Nous sommes tous  amoureux de ce pays. Nous guides religieux , nous voulons prendre  notre part dans le travail de construction de la cohésion sociale de manière à ce que au soir du 31 octobre2020, notre pays surprenne le monde  par sa maturité à dépasser ses divergences et à organiser des élections qui réunissent les fils et les filles de ce pays sur l’essentiel, l’intérêt de la Côte d’Ivoire » a-t-il martelé.

 Pour rappel, l’alliance  des guides religieux est composée des représentants de toutes les confessions religieuses du pays à savoir musulmans, chrétiens Catholiques, protestants, évangéliques, etc…

Sally konaté

Abidjan, le 06 octobre 2020 - Le Directeur de Cabinet Adjoint du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la recherche scientifique (Mesrs), Méké MÉITÉ a annoncé que 25 955 candidats ont été déclarés admissibles à l’examen du Brevet de Technicien supérieur (BTS), soit un taux de 52,30%. C’était à l’occasion d’un point de presse relatif aux résultats du BTS de la session de septembre 2020 à Abidjan.

« Pour cette session 2020, sur 51 650 candidats inscrits, 49.700 étaient présents. Ce sont 25.955 candidats qui ont été déclarés admissibles. On note un taux d’admissibilité de 52,30% contre 58,69% pour la session 2019, soit une régression de 6,39% . », a souligné le Directeur Adjoint de Cabinet Méké MÉITÉ.

Poursuivant, le Directeur de Cabinet Adjoint de l’Enseignement Supérieur et Président du Comité d'organisation du BTS 2020 a précisé que concernant le genre, on enregistre un taux de réussite évalué à 52,18 % chez les filles contre 52,45 % chez les garçons.

Il a également indiqué que la répartition des admis par spécialité est la suivante : « 7875 admissibles sur 13 323 candidats présents pour la filière industrielle, soit un taux de réussite de 59,11% et 18 120 admissibles sur 36 377 candidats présents pour la filière tertiaire, soit un taux de réussite de 49,81 % ». 

Les résultats sont donc disponibles à partir de ce mardi 06 octobre 2020 à 21H 00 GMT sur le site officiel     "examensbts.net "

D.Bank

Lundi 07 septembre 2020- Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Prof. Adama Diawara a présidé, à son cabinet, la signature de deux (2) accords de coopération entre l’Université Péléforo Gon Coulibaly (UPGC) de Korhogo, l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro (INP-HB) et l’Université de Parme (Italie).


Le ministre Diawara s’est réjoui de la signature de ces deux accords, lesquels, selon lui, « vont permettre de voir l'éclosion d'un grand nombre de projets de recherche » pouvant booster la recherche scientifique.
« Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique restera à vos côtés pour son appui », a promis le prof. Diawara.


Au nom des deux institutions, le directeur général de l’INP-HB, Dr Koffi N’Guessan a relevé que « cette coopération renforcera les activités de recherche appliquée par l’Institut et ceci en synergie avec l’Université Péléforo Gon Coulibaly ».
Le président de l’Université Péléforo Gon Coulibaly, le prof. Coulibaly Adama, s’est également réjoui de cette coopération qui permettra, selon lui, de promouvoir la recherche sur le karité, « une ressource locale qui présente des vertus inestimables ».


La directrice du Centre universitaire pour la coopération internationale de l’Université de Parme, Mme Nadia Monacelli a souhaité « une coopération gagnant-gagnant » axée notamment sur « la formation conjointe des adultes de demain ».
Notons que ces accords portent, entres autres, sur les échanges d’enseignants, de chercheurs et d’étudiants, la production conjointe de publication de haut niveau scientifique, le développement conjoint de projets de recherche dans les domaines d’intérêt commun.


L’ambassadeur de la Côte d’Ivoire près la FAO et le PAM, SEM Seydou Cissé a rehaussé de sa présence cette cérémonie.

Sercom Mesrs

Lundi 07 sept 2020- Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche Scientifique (MESRS) lance les Journées de l’orientation du bachelier (JOB). L’édition 2020 dont le thème est « Défis actuels de l’Enseignement supérieur en Côte d’Ivoire : solutions à travers les TIC, l’enseignement à distance et l’inclusion numérique » se distingue des éditions précédentes par des JOB à distance, du fait de la pandémie de covid-19.

La présente édition qui a  lieu durant tout le mois de septembre  entend promouvoir l’usage des TICs, devenues une exigence au regard des contraintes sanitaires qui   recommandent l’adoption de nouveaux comportements. Notamment pour assurer la continuité des cours et des examens dans les établissements d’enseignement supérieur afin de prendre en compte les impossibilités créées par la situation actuelle, tout en veillant à garantir la valeur des diplômes et en prenant en compte l’ensemble des publics spécifiques.

Des innovations sont apportées à ces journées  à travers l’édition d’un guide, une lucarne offerte sur le site du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et une page Facebook et un compte Instagram animés tout au long des préinscriptions ouvertes dans la même période.

 Le guide   donnera l’occasion  de présenter les JOB 2020. Par la suite, la procédure d’inscription en ligne et les critères d’admission dans les établissements publics et privés seront expliqués, avant que des institutions publiques d’enseignement supérieur et privé ne soient présentées. Par ailleurs, des informations utiles relatives par exemple au système LMD, à l’obtention d’une bourse, à la procédure d’équivalence, aux établissements agrées, seront données. D’autres informations utiles sont disponibles sur les espaces dédiés.

Sercom Mesrs

Lundi 07 sept 2020- Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le  prof. Adama DIAWARA,  a  donné  le top  départ des  épreuves écrites du Brevet de Technicien Supérieur (BTS), session 2020  qui se dérouleront du  07 septembre au  10 septembre prochain sur toute l’étendue  du territoire national.   L’ouverture   officielle des épreuves écrites   a eu lieu   lundi au Centre   de Bureautique, de Communication et de Gestion d’Abidjan-Cocody (CBCG), où  500   candidats  composent en Technique d’expression française, dans la matinée, et l’Anglais,  dans l’après-midi.
La   visite des centres d’examen s’est poursuivie  à l’Ecole  William Ponty de Yopougon.  


À chacune de ses visites, Adama Diawara a saisi l’occasion pour   inviter  les candidats «  à rester concentrés » et  à s’abstenir de tout acte pouvant  compromettre leur réussite, notamment la fraude . Aussi,   leur a-t-il prodigué de « sages conseils  pour un examen crédible avec un taux de réussite élevé » à cet effet.


Le ministre a insisté sur le port du masque et le respect de la distanciation physique du fait de la maladie à coronavirus.  
Ce sont  au total 51 650 candidats   qui sont inscrits pour la session  2020 du Brevet de technicien supérieur contre   56414 candidats inscrits pour la session 2019. Parmi ces  candidats, il y a 23937 garçons ( 46, 34% )  et 27 713 filles ( 53, 66% ). Au niveau des filères nous avons 37870 étudiants ( 73, 32%) pour les filières du Tertiaire et   13780 étudiants( 26, 68%) pour celle du Industrielle. Ils  composent dans 121 centres répartis sur l’ensemble du territoire, a indiqué le ministre.  


 La  particularité   de la session 2020 est la suppression des épreuves orales du BTS du fait de la pandémie   de Covid-19.
 Les épreuves pratiques   quant à elles sont prévues du lundi 14 septembre au samedi 19 septembre prochain.
Les résultats  pour l'admissibilité sont attendus le mardi   6 octobre 2020.

Sercom Mesrs

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