dimanche 29 septembre 2024
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Le président du FPI légal, Pascal Affi N’guessan, a été libéré ce mercredi 30 décembre, sous contrôle judiciaire, quelques heures après sa comparution devant le Juge d’Instruction. Cette libération intervient suite à son arrestation, pour son implication supposée dans les événements survenus lors de la présidentielle du 31 décembre dernier.

Après des heures d’audition, le Juge d’Instruction a ordonné la libération du leader du PFI Légal, Pascal Affi. Le Juge a toutefois signifié à M. Affi N’guessan qu’il est désormais placé sous contrôle judiciaire, donc obligé de se présenter au bureau dudit magistrat chaque mois. Les charges retenues contre lui demeurant en vigueur.

Sous l’émotion, Pascal Affi a témoigné sa gratitude à l’endroit de tous les démocrates, qui se sont mobilisés pour sa libération. Il a salué cet acte fort qui milite en faveur du triomphe de la démocratie, avec le soutien notamment de son avocat Pierre Dagbo.

Il est reproché à ce leader politique sa participation à la création d’un Conseil national de transition, avec les autres partis de l’opposition. Ils entendaient tous protester contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara, lors de la présidentielle du 31 octobre dernier. Ces événement ont enregistré 85 morts et près de 500 blessés.

Affi est poursuivi pour une trentaine de chefs d’accusations. Il s’agit notamment d’acte de terrorisme, attentat, complot contre l’autorité de l’Etat, participation au vol, vol en réunion, vol avec faits de violence portant sur le matériel électoral, pillage de propriétés immobilières, coups et blessures volontaires, organisation d’insurrection.

Arrêté le 07 novembre à Akoupé, alors qu’il tentait de regagner Bongouanou, son fief, il a passé près de deux mois sous les verrous.

       AR

 

    

La Société de Transport Abidjanais (SOTRA) a remporté le soir du mardi 29 décembre 2020, dans la capitale économique ivoirienne, Abidjan la 7ème édition du Grand prix des Transports de l’Afrique de l’Ouest (MATAO) 2020.

A l’occasion de cette édition spéciale qui consacre la maturité du grand prix des transports,  Auguste Danoh président du Comité d’organisation (Pco), tout en   exprimant sa gratitude au ministre du transport, Amadou Koné, par ailleurs parrain de cette édition et aux partenaires, a rendu un vibrant hommage au président de la République SEM Alassane Ouattara pour son implication dans la modernisation du secteur des transports.

Cinq grands groupes de transport ont été distinguées grands lauréats, notamment : la SOTRA au niveau de la mobilité urbaine, Air Ivoire au niveau aérien, le Port Autonome de San Pédro au niveau maritime et la Société des Transports de Bouaké (UTB), ainsi que plusieurs trophées et diplômes d’encouragement ont été décernés aux personnalités et aux structures de transport,

Pour le président du jury, Djédjé Gniakalé, les prix ont été décernés aux sociétés de transports qui se sont illustrées par la bonne gouvernance, leurs performances, leur organisation et la qualité du service durant ces dix dernières années.

Ainsi la Sotra a remporté le super prix de la 7ème édition du Grand prix des Transports de l’Afrique de l’Ouest  2020.

Le prix a été réceptionné par son directeur Général, Meïté Bouaké qui n’a pas caché sa joie. « Ce prix récompense le travail sur une longue période, et aussi c’est un prix qui reconnaît la justesse de la vision du président de république, Alassane Ouattara et le travail du gouvernement. Je suis fiers d’être un artisan de la mise en œuvre de cette vision, de cette politique en faveur de la mobilité urbaine à Abidjan », s’est réjoui le Dg de la Sotra.

Pour finir, le représentant du Ministre des Transports, Amadou Koné a félicité l’ensemble des lauréats du Grand prix des Transports qui se sont illustrés au cours de ces dix dernières années, avant de réitéré le soutien indéfectible de la tutelle  à cette prestigieuse cérémonie des acteurs des transports.

Deux illustres personnalités du secteur des transports ont été aussi faits panthéons, ce sont : l’Amiral Mohamed Lamine Fadiga et M. Cissé Mangala.

Le MATAO 2020 a débuté dans le courant de la matinée par un panel inscrit autour du thème central « De la nécessité d’une mobilité urbaine fluide, confortable et sécurisée en temps de covid-19; enjeux, stratégies et perspectives ».

CT

Le président du FPI légal, Pascal Affi N’guessan, est appelé à comparaître devant le Juge D’Instruction, ce mercredi 30 décembre au Plateau. Il est poursuivi pour de nombreux chefs d’accusation, au lendemain de la crise post-électoral du 31 octobre dernier.

Acte de terrorisme, attentat, complot contre l’autorité de l’Etat, participation au vol, vol en réunion, vol avec faits de violence portant sur le matériel électoral, pillage de propriétés immobilières, coups et blessures volontaires, organisation d’insurrection. Ce sont entre autres quelques une des 30 charges qui feront l’objet de communications en présence du président du FPI légal, Pascal Affi, devant le Juge d’instruction ce mercredi.

Pascal Affi est poursuivi pour avoir contesté le troisième mandat du président Alassane Ouattara, en tentant d’installer, avec les leaders des autres partis d’opposition, un gouvernement parallèle à celui du pouvoir. Il lui est reproché également sa participation au mot d’ordre de désobéissance civile lancé par la plateforme des partis de l’opposition avant, pendant et après la présidentielle du 31 octobre dernier.

Si ces charges sont confirmées, suivront le procès en audience, le jugement et le verdict final.

Le leader du FPI légal a été arrêté depuis le 07 novembre à Akoupé.

AR

Le président fondateur de l’église Ambassade des miracles, le Bishop Ouattara Mohamed Idriss, a décliné les ambitions de l’église pour l’année 2021, ce mardi 29 décembre. Il a fait cette communication au cours d’une conférence de presse au siège de ladite église à Cocody 2 plateaux.   

« Je rêve d’implanter d’autres églises, pour couvrir l’entièreté du pays, ainsi qu’à l’international, faire  bouger les choses », a lancé le bishop Mohamed Idriss, lors de cette conférence de presse. Dans cette perspective, il a indiqué que « l’année 2021 sera une année de grand travail pour l’avancer du Seigneur ».

Parlant de l’année 2020, il a estimé que le bilan a été positif  et celui-ci se décline en l’ouverture de nombreuses églises. A cela, s’ajoute la tenue de la convention de l’église du 17 au 20 décembre, qui a enregistré l’arrivée massive de personnes de divers horizons, pour expérimenter le Dieu de miracle, de toutes les possibilités.

« Mes vœux à l’endroit des populations ivoiriennes, c’est que Dieu protège notre pays, tous ses ressortissants. Qu’il accorde la sagesse aux autorités qui dirigent ce pays, et veille  à ce que nous puissions nous réconcilier avec Dieu », a souhaité l’homme de Dieu

Mahlya Rosa 

Le dialogue politique en Côte d’Ivoire a été suspendu, sans le moindre accord formel obtenu entre le pouvoir et l’opposition. Les conclusions ont été rendues ce mardi 29 décembre, au terme d’une semaine de pourparlers entre les deux parties.

Dans son discours de clôture, à la Primature, le Premier Ministre Hamed Bakayoko s’est réjoui néanmoins de la volonté des deux camps de poursuivre le dialogue, même si aucune date des prochaines assises n’a été retenue pour l’instant.

Ces négociations, suspendues sans accord formel entre le pouvoir et l’opposition, ont tout de même débouché sur l’accord des deux protagonistes, pour la tenue des prochaines législatives en mars 2021. Selon Hamed Bakayoko, tout cela participe à la « décrispation du climat politique ».

« Nous avons refusé le terme d’accord. Il y a eu des divergences et des convergences. Le dialogue étant un dialogue permanent, le processus reste ouvert », a déclaré le secrétaire exécutif par intérim du PDCI, Niamkey Koffi.

L’opposition a refusé de signer ledit accord, tant que certains points n’auront pas été satisfaits. Il s’agit singulièrement de la libération des prisonniers politiques, la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) et la révision du découpage de la carte électorale. Elle recommande, dans le rapport, la reprise du dialogue direct entre les présidents Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié, incluant l’ex-président Laurent Gbagbo.

Le dialogue politique, souhaité par le président Ouattara lors de son investiture à un troisième mandat contesté le 14 décembre, a démarré le 21 décembre.

AR

 

Les autorités ivoiriennes, depuis la survenue du Coronavirus dans le pays, veillent à l’application stricte des mesures barrières. Parmi ces actions préventives, le port du masque obligatoire, spécifiquement dans les véhicules de transport en commun, connait un réel relâchement. Cette situation, qui frise l’indiscipline, est  depuis quelques temps manifeste dans les bus de la Sotra à Abidjan.  

Dans les bus 53, 59 et 79, assurant respectivement les lignes Cocody-Port-Bouët, Adjamé-CHU de Treichville et Adjamé-Abobo gendarmerie en passant par le Zoo, les préoccupations des machinistes sont les mêmes. « Veuillez porter vos masques s’il vous plaît », lancent-ils à chaque usager montant à bord du bus, ce lundi 28 décembre.

Pourtant, certains clients, les masques en mains ou accrocher à une oreille, ne se conforment pas à ces instructions, obligeant par moments les conducteurs à se déplacer de leurs cabines, pour les rappeler à l’ordre. D’autres mêmes n’en disposent pas du tout. Alors que leur rapprochement de ceux qui observent ces mesures, car soucieux de leur santé, est manifeste tout au long du trajet. Selon eux, les difficultés à respirer et la gêne liées au port du masque sont à l’origine de ce refus.

Face à ces cas d’indiscipline, il urge de susciter l’éveil des populations face à la pandémie, au moment où une autre forme du Covid-19, plus contagieuse et sévère, s’est signalée notamment en France, au Royaume-Uni, en Afrique du Sud. Dans le bus, nul ne sait le statut de ses voisins immédiats en matière de ce mal du siècle. Une toux, un éternuement brusques, même involontaires, sont susceptibles d’exposer tout imprudent à la maladie, à travers les postillons projetés au visage.

La vaccination étant pour l’instant limitée à l’Asie, l’Amérique et l’Europe, adoptons ce geste simple, pour préserver sa santé et celle des autres. Mieux vaut souffrir pour quelques temps en portant son masque, qui ne coûte que 100 F CFA, plutôt que de compromettre sa vie en cas de contagion, avec toutes les dépenses que cela pourrait générer.

Les autorités, dans cet élan, doivent redynamiser davantage la lutte, au-delà de la sensibilisation. En plus des machinistes, d’autres agents de la Sotra devront être mobilisés. Ces derniers, veillant au respect strict du port du masque dans tous les moyens de transport de la société, pourront faire descendre les récalcitrants.

La situation est également observée au niveau des taxis communaux.

                                                                                                                     AR    

Le prix de la baguette de pain va connaitre une hausse à partir du 15 janvier 2021. Cette information a été donnée par le président de la Fédération interprofessionnelle des patrons boulangers et pâtissiers de côte d’ivoire, lors d’une interview accordée au quotidien Soir Info.

Selon le président de la corporation, Marius Abey Akué, le prix du pain passera de 150Fcfa à 350Fcfa, à partir du 15 janvier 2021, rapporte le quotidien, dans sa parution du jeudi 24 décembre.

Les difficultés pour faire face aux charges liées aux impôts, au coût élevé de la farine sont entre autres à l’origine de cette augmentation, a évoqué M. Akué lors de l’interview.

Depuis l’apparition de la pandémie à la Covid-19, tous les secteurs d’activités sont touchés, notamment celui de  la pâtisserie. Surtout que les acteurs de ce domaine demeurent en marge des fonds alloués par l’Etat aux entreprises, en termes de soutien.

                 Mahlya Rosa

                                                                                                            

 

 

 

 

 

Le prix de la baguette de pain va connaitre une hausse à partir du 15 janvier 2021. Cette information a été donnée par le président de la Fédération interprofessionnelle des patrons boulangers et pâtissiers de côte d’ivoire, lors d’une interview accordée au quotidien Soir Info.

Selon le président de la corporation, Marius Abey Akué, le prix du pain passera de 150Fcfa à 350Fcfa, à partir du 15 janvier 2021, rapporte le quotidien, dans sa parution du jeudi 24 décembre.

Les difficultés pour faire face aux charges liées aux impôts, au coût élevé de la farine sont entre autres à l’origine de cette augmentation, a évoqué M. Akué lors de l’interview.

Depuis l’apparition de la pandémie à la Covid-19, tous les secteurs d’activités sont touchés, notamment celui de  la pâtisserie. Surtout que les acteurs de ce domaine demeurent en marge des fonds alloués par l’Etat aux entreprises, en termes de soutien.

                 Mahlya Rosa

                                                                                                            

 

 

 

 

 

A l’instar des autres populations des quatre coins de la planète, les Ivoiriens s’échinent à assurer les fêtes de Noël et du nouvel an, en dépit des difficultés liées à la crise sanitaire. Mais les chauffeurs de gbaka, évoluant dans le transport en commun, s’approprient cette période pour accroitre leurs recettes journalières, créant ainsi la surenchère générale dans ce secteur. 

En ces temps précédents les fêtes, il règne une ambiance particulière sur l’axe Adjamé-Abobo, en passant par le Zoo ou par l’Université Nanguy Abrogoua. Attroupés aux différents points d’embarquement habituels, les usagers des véhicules de transport en commun, communément appelés gbakas, subissent la dicta des chauffeurs et leurs complices, les apprentis.

Les matins et les soirs, les utilisateurs de ces véhicules banalisés doivent débourser entre 250F CFA et 300F CFA, soit pour aller vaquer à leurs occupations, soit pour rallier leurs domiciles respectifs. Aux heures de pointe, 7h-8h et 15h-18h, le coût du transport peut tendre vers 500F CFA en fonction de l’affluence et des humeurs des chauffeurs, affirment certains usagers interrogés à Adjamé.

En temps ordinaire, le coût du transport est de 200F CFA, passant par moments à 250F CFA aux heures de pointe, révèlent d’autres fidèles clients interrogés à l’arrêt Dokui, ce mercredi 23 décembre. Ils précisent qu’aux heures de flottement, 10h-14h, ce coût se négocie même à 100F CFA.

De façon unanime, les usagers des gbakas estiment que cette situation, manifeste chaque année à la même période, les éprouve ostensiblement en matière de déplacement. Le comble, renchérissent-ils, c’est que de fois, après avoir fait leurs encaissements, ces transporteurs les abandonnent à mi-chemin, les obligeant à emprunter un autre véhicule pour arriver finalement à destination.

Du côté des transporteurs, tout le monde est dans la mouvance des fêtes qui riment avec des dépenses de tous genres. Selon eux, ils doivent en tirer au maximum profits, pour assurer les besoins de leurs familles respectives. 

Ces scènes sont également observées sur l’itinéraire Yopougon-Adjamé, de l’avis de certains usagers. Vivement, à quand la fin du désordre dans ce secteur du transport à Abidjan ?

AR

Le Secrétaire Général du Front Populaire Ivoirien (FPI), section Gbagbo, a annoncé ce mercredi 23 décembre, la participation de son parti aux prochaines législatives prévues pour le premier trimestre de l’année 2021. Cette position traduit la volonté du FPI d’œuvrer à la décrispation de la situation socio-politique dans le pays.   

« Nous irons aux législatives, en prenant toutes les dispositions nécessaires, pour que nos victoires ne nous soient pas volées », a annoncé le SG du FPI, section Gbagbo, Assoa Adou. Il s’exprimait à l’occasion d’un entretien accordé à RFI ce mercredi 23 décembre.

Cette décision intervient à l’issue d’une concertation du comité central du parti tenue ce mardi 22 décembre, a fait savoir M. Assoa Adou. Il a notifié que cette position bénéficie de l’aval du Président Laurent Gbagbo, qui les y « encourage et demande aux militants et militantes de se mobiliser », pour permettre au parti d’avoir « beaucoup d’élus ».

A cet effet, Assoa Adou a appelé tous les partis de l’opposition, y compris « les frères » de l’autre tendance du FPI, à « un grand rassemblement autour de ces législatives ». Il a manifesté qu’en cas d’une participation éventuelle de Laurent Gbagbo à ces élections, il bénéficiera d’une forte mobilisation dans « la circonscription qu’il aura choisie ».

La préoccupation du FPI, au même titre que les autres partis de l’opposition,  demeure la réforme de la Commission Electorale Indépendante (CEI), a souligné le leader du FPI pro Gbagbo. Comme autres obstacles, il a souhaité la libération de tous les prisonniers politiques, civils et militaires, incluant le retour des exilés politiques, en vue de la consolidation de la cohésion sociale et la paix dans le pays.

Le FPI s’était inscrit dans une logique de boycott des élections, il y a une décennie, depuis la crise post-électorale de 2010-2011, avec l’arrestation du Président Laurent Gbagbo.

                        AR

                                                                                           

 

 

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