dimanche 29 septembre 2024
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Le premier Ministre Hamed Bakayoko a procédé à l’ouverture du dialogue politique, ce lundi 21 décembre à la Primature au Plateau. Ce rendez-vous  entre le pouvoir et l’ensemble des partis de l’opposition s’inscrit dans la perspective d’un retour de la paix dans le pays, au lendemain de la présidentielle contestée du 31 octobre.

« Cette rencontre est conforme à la tradition de dialogue politique, qui a toujours caractérisé notre pays, notamment au cours de la décennie écoulée », a situé le premier Ministre Hamed Bakayoko. Il a fait savoir que ce « nécessaire dialogue avec les partis politiques et les organisations de la société civile » s’inscrit dans la dynamique de la recherche de la paix, en vue des législatives sensées se tenir dans le courant du premier trimestre 2021.

En présence des principaux partis de l’opposition dont le FPI, le PDCI, EDS (Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté), l’émissaire du Gouvernement a dit compter sur les différents protagonistes pour des débats ouverts et francs. M. Bakayoko a rassuré au passage l’ensemble de l’opposition que le pouvoir « fera tout, pour faire avancer les choses ».

« Pour l’heure, nous sommes venus pour discuter, nous pensons qu’on va pouvoir régler tous les problèmes », a laissé entendre le Président de la plateforme politique EDS, Georges Armand Ouégnin. M. Ouégnin a souhaité néanmoins que ces discussions se déroulent « dans un environnement apaisé ».

Les préoccupations de l’opposition à ses assises portent notamment sur la libération des détenus et le retour au pays des exilés politiques, la réforme de la CEI. Ces pourparlers se situent au lendemain de la présidentielle contestée du 31 octobre dernier.

                                                                                                                  AR

 

 

Les fêtes de fin d’année et du nouvel an pointent à l’horizon. Cependant contrairement aux années précédentes, le marché de Cocovico, Cocody Angré, ne connaît pas l’affluence des grands jours, en cette période ultime de 2020. Ce constat a été fait le vendredi 18 décembre dernier, à l’occasion d’une visite sur les lieux.

Cet après-midi, il est déjà 14h, pourtant une ambiance morose règne sur le marché Cocovico, en cette période réservée aux préparatifs des fêtes de Noël et du nouvel an. Dans les magasins, les clients se font rares, tandis que dans les couloirs du marché, on note une présence moyenne.

A l’instar de bon nombre de vendeurs, Gogoua Diego a souligné que les magasins sont bien achalandés. Selon lui, des vêtements aux jouets, en passant par les accessoires de beauté, toutes les dispositions sont prises. Le problème, ce sont les clients qui viennent à compte-goutte, a-t-il précisé.   

Pour lui, ce ralentissement au niveau des affaires est certainement lié au coronavirus avec l’application des mesures barrières, au déplacement des populations hors d’Abidjan, craignant une éventuelle crise post-électorale.

Pour certains vendeurs, c’est la pandémie du coronavirus qui a chamboulé le commerce. En raison des mesures préventives, les frontières demeurent fermées, privant ainsi l’arrivée de nouvelles marchandises.

Les affaires ne se déroulent pas comme prévu pour ces fêtes de fin d’année. Mais les commerçants gardent espoir, quant à une amélioration d’ici peu.

                                                                                                             

      Mahlya Rosa 

Les fêtes de fin d’année et du nouvel an pointent à l’horizon. Cependant contrairement aux années précédentes, le marché de Cocovico, Cocody Angré, ne connaît pas l’affluence des grands jours, en cette période ultime de 2020. Ce constat a été fait le vendredi 18 décembre dernier, à l’occasion d’une visite sur les lieux.

Cet après-midi, il est déjà 14h, pourtant une ambiance morose règne sur le marché Cocovico, en cette période réservée aux préparatifs des fêtes de Noël et du nouvel an. Dans les magasins, les clients se font rares, tandis que dans les couloirs du marché, on note une présence moyenne.

A l’instar de bon nombre de vendeurs, Gogoua Diego a souligné que les magasins sont bien achalandés. Selon lui, des vêtements aux jouets, en passant par les accessoires de beauté, toutes les dispositions sont prises. Le problème, ce sont les clients qui viennent à compte-goutte, a-t-il précisé.   

Pour lui, ce ralentissement au niveau des affaires est certainement lié au coronavirus avec l’application des mesures barrières, au déplacement des populations hors d’Abidjan, craignant une éventuelle crise post-électorale.

Pour certains vendeurs, c’est la pandémie du coronavirus qui a chamboulé le commerce. En raison des mesures préventives, les frontières demeurent fermées, privant ainsi l’arrivée de nouvelles marchandises.

Les affaires ne se déroulent pas comme prévu pour ces fêtes de fin d’année. Mais les commerçants gardent espoir, quant à une amélioration d’ici peu.

                                                                                                             

      Mahlya Rosa 

Les fêtes de fin d’année et du nouvel an pointent à l’horizon. Cependant contrairement aux années précédentes, le marché de Cocovico, Cocody Angré, ne connaît pas l’affluence des grands jours, en cette période ultime de 2020. Ce constat a été fait le vendredi 18 décembre dernier, à l’occasion d’une visite sur les lieux.

Cet après-midi, il est déjà 14h, pourtant une ambiance morose règne sur le marché Cocovico, en cette période réservée aux préparatifs des fêtes de Noël et du nouvel an. Dans les magasins, les clients se font rares, tandis que dans les couloirs du marché, on note une présence moyenne.

A l’instar de bon nombre de vendeurs, Gogoua Diego a souligné que les magasins sont bien achalandés. Selon lui, des vêtements aux jouets, en passant par les accessoires de beauté, toutes les dispositions sont prises. Le problème, ce sont les clients qui viennent à compte-goutte, a-t-il précisé.   

Pour lui, ce ralentissement au niveau des affaires est certainement lié au coronavirus avec l’application des mesures barrières, au déplacement des populations hors d’Abidjan, craignant une éventuelle crise post-électorale.

Pour certains vendeurs, c’est la pandémie du coronavirus qui a chamboulé le commerce. En raison des mesures préventives, les frontières demeurent fermées, privant ainsi l’arrivée de nouvelles marchandises.

Les affaires ne se déroulent pas comme prévu pour ces fêtes de fin d’année. Mais les commerçants gardent espoir, quant à une amélioration d’ici peu.

                                                                                                             

      Mahlya Rosa 

M.Bilé Diéméléou, directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des TIC de Côte d’Ivoire (ARTCI), a invité le mardi 15 décembre 2020, les acteurs du secteur postal (distributeurs de courriers, de colis et marchandises, presse, transfert d’argent) à se conformer à la réglementation, en vue de l’assainissement de leur domaine d’activité et d’une meilleure régulation.

Selon lui, la dynamisation reste un défi majeur  malgré les efforts consentis pour sensibiliser les acteurs du secteur. C’est  dans cet élan, qu’il a convié les opérateurs postaux pour un échange afin de partager les préoccupations et en a profité  pour leur exposer le contenu de la loi, le sens de leurs activités et les avantages du respect de la loi.

Pour le directeur général de l’ARTCI, l’assainissement du secteur postal répond à la nécessité  d’une meilleure organisation et d’une émulation dans ce domaine d’activité qui connaît entre autre une floraison de prestataires et opérateurs au mépris de la loi. Aujourd’hui le secteur connaît une concurrence déloyale et la réduction des parts de marché des entreprises accréditées.

 "Soyez visible. L’ARTCI est là pour vous aider, ce n’est pas pour vous traquer. Rapprochez-vous de l’ARTCI pour obtenir votre autorisation afin d’exercer librement votre activité postale », a invité Bilé Diéméléou.et d’ajouter
le législateur a prévu des sanctions administratives et pénales pour les réfractaires: mise en demeure, sanction pécuniaire, suspension de l’autorisation et peine d’emprisonnement assortie d’une amende d’au moins trois millions francs CFA.

 Sally Konaté

 

La fête de Noël, édition 2020, sera célébrée en Côte d’Ivoire, comme partout dans le monde, le 25 décembre prochain. Mais chaque année a ses réalités. A 10 jours de ces festivités commémorant la naissance du Christ, l’ambiance semble fébrile. Au marché d’Adjamé, le constat fait ce mardi 15 décembre milite en faveur de la restitution de cette atmosphère on ne peut plus morose.

Ce matin, sous le coup de 9h15, le boulevard Nanguy Abrogoua a déjà renoué avec son train-train quotidien. Cependant, de la mairie à la mosquée, tout ce secteur, théâtre des transactions, ne connait pas encore son fourmillement humain des grands jours. Devant les magasins, les vendeurs attendent, en toute impatience, les clients éventuels.

« Cette année, ça ne va pas. Certains viennent, mais ils disent qu’ils n’ont pas d’argent. Mais je pense que peut-être ça n’a pas encore bien commencé. On les attend », fait savoir dame Sidibé Fatoumata, commerçante, basée en face de l’hôpital général d’Adjamé, avec un magasin bien achalandé.

De leurs côtés, messieurs Kamagaté Lamine et Chérif Ibrahim, emballeurs et vendeurs dans un magasin de la place, ne sont pas moins pessimistes. Des centaines de cadeaux emballés chaque jour, en pareilles circonstances, ils ont du mal à dépasser cent cette année. Comme d’autres commerçants, ils disent vouloir écouler le stock de l’année précédente, car n’ayant pas pu avoir de nouveaux arrivages, vu la pandémie à Coronavirus.

Les articles, moins foisonnants sur le marché, tournent autour des vélos, des habits, des jouets. A part les vélos dont les prix varient de 35.000F CFA à 50.000F CFA et plus, le reste est accessible à toutes les bourses, déclarent nos deux vendeurs. Ils soutiennent  qu’il y a des habits de 6.000F CFA à 12.000 F CFA et plus selon l’âge, des jouets de 1000F à 5.000F et plus selon les convenances.

Pour certains clients, ces coûts sont excessifs, en vertu des difficultés liées à la crise. Tandis que d’autres les trouvent plutôt convenables. « J’ai pu avoir quatre paires de chaussures à 6.000F la paire, au lieu de 9.000F comme indiqué au départ. C’est donc abordable », estime Wilson Botty, venu avec sa femme, pour acheter les habits de leurs deux ans enfants âgés de 8 ans et 3 ans, présents également sur les lieux.

Vivement, puisse Dieu accorder les moyens à tous les parents, pour mettre de la joie dans le cœur de tous les enfants, à la faveur de la Noël et du nouvel an déjà à nos portes.

                                                                                                                 AR

      

       

Le Conseil constitutionnel a procédé, ce lundi 14 décembre, au Palais présidentiel à Abidjan, Plateau, à l’investiture du Président Alassane Ouattara, pour un « troisième mandat » contesté par l’opposition ivoirienne, en présence de nombreuses personnalités d’ici et d’ailleurs.

La main droite levée et la gauche posée sur la Constitution, le Président Alassane Ouattara a juré, « devant le peuple souverain de Côte d’Ivoire, de respecter et de défendre fidèlement la Constitution, d’incarner l’unité nationale, d’assurer la continuité de l’Etat et de défendre son intégrité territoriale, de protéger les Droits et Libertés des citoyens, de remplir consciencieusement les devoirs de sa charge, dans l’intérêt supérieur de la Nation ».

Le chef de l’Etat a appelé le peuple à lui retirer « sa confiance », se disant prêt  à subir « la rigueur des lois », en cas de non-respect de son « serment ». Il s’exprimait ainsi à la suite du Président du Conseil constitutionnel, Mamadou Koné, qui lui a souhaité plein succès dans sa mission.

Ce nouveau mandat, qui fait suite à la victoire de Ouattara à l’élection présidentielle du 31 octobre dernier, avec 94,27% des voix, est jugé anticonstitutionnel par les partis de l’opposition, l’actuel Président ayant fait deux mandats successifs. Tel n’est pas l’avis du parti au pouvoir qui le qualifie de légitime, car étant la première mandature de la 3ème République.

Dans la dynamique de la contestation de ce « troisième mandat », le leader de l’opposition, le Président Henri Konan Bédié, a appelé le mercredi 09 décembre dernier, à la tenue d’un dialogue national élargi à toutes les forces vives de la nation, exigeant la libération et le retour au pays de tous les détenus et réfugiés politiques. Cet autre appel, qualifié par le pouvoir de provocation, se substitue à celui de désobéissance civile ayant fait officiellement 85 morts et 484 blessés avant et après le scrutin.

Plusieurs personnalités dont les Présidents Rock Marc Kaboré du Burkina Faso, Macky Sall du Sénégal, Nanan Akufo-Addo du Ghana, Sahle-Work Zewde d’Ethiopie, le ministre Jean-Yves Le Drian des Affaires étrangères de la France, les membres des Institutions, les autorités coutumières et religieuses étaient présentes à cette cérémonie boycottée par l’opposition.

       AR

       

 

Chaque année, de milliers de diplômés sortent des divers secteurs de la formation en Côte d’Ivoire. Ces cadres potentiels arborent tous jalousement leurs diplômes. Mais en situation pratique, les choses se présentent bien souvent autrement, faisant planer en permanence un vent de soupçon sur la valeur véritable des certificats délivrés.

A Abidjan comme dans bon nombre de villes de l’intérieur du pays, l’incompétence de maints diplômés est mise à nu au quotidien. Ces insuffisances sont généralement constatées à la faveur d’un stage ou d’une embauche. Pourtant ces personnes, issues des établissements de formations privés ou publics, sont recrutés sur la base de diplômes ou attestations dument remplis et légaux.

Ces inaptitudes sont perceptibles dans plusieurs domaines : la technologique, la comptabilité, la technique, la communication, etc. En réalité, des personnes ayant acquis le savoir-faire de base, titulaires d’un BTS, d’une Licence, d’un Master, voire d’un Doctorat, n’arrivent pas à assumer les tâches en toute efficacité et aisance. Dans le cas particulier de l’enseignement, selon des professeurs qui ont requis l’anonymat  pour des questions de sécurité, des  enseignants « sollicitent les cours de leurs collègues, pour aller faire de la dictée devant élèves et étudiants ».  Cette assertion est rejetée par d’autres enseignants qui estiment qu’à l’heure des Tic, un enseignant qui n’est pas à la hauteur est vite démasqué par les élèves et autres étudiants.

Cependant, le constat est que bon nombre de diplômés ne  maitrisent pas  la langue française. Les différents textes produits à des fins diverses sont parsemés de fautes de nature diverse, souvent élémentaires à l’écrit comme à l’oral. Des situations à l’origine des méfiances de la part des employeurs, de nombreux renvois et licenciements qui alimentent le chômage dans le pays,

En clair, le niveau des diplômés  semble poser problème. Ce qui doit guider tout le monde aujourd’hui, c’est d’avoir une formation de qualité, une adéquation formation emploi .Une formation susceptible de permettre au futur diplômé de mieux s’épanouir professionnellement et socialement. Une formation capable de mettre sur le marché de l’emploi des hommes et des femmes aux  compétences avérées, à mêmes d’aider à relever le défi de l’émergence à tous les niveaux.

Il est donc temps pour les autorités ivoiriennes, tous les acteurs impliqués dans les politiques d’éducation de redorer le blason. Dans cette perspective, aucun aspect n’est à négliger. Le recrutement des enseignants doit être suivi de formations régulières à travers des séminaires animés par des experts aux compétences avérées.

Les Conseils d’Enseignement (CE), ainsi que les unités pédagogiques (UP), à cheval sur le mentorat, sont appelés à avoir une implantation dynamique dans tous les établissements.

Au terme de chaque année académique, les meilleurs enseignants, élèves et étudiants devront être primés. Ce travail pourra se faire par un comité scientifique composé de spécialistes reconnus. Les évaluations devront se faire dans la rigueur, avec des sanctions exemplaires pour les fraudeurs. Les établissements privés ne remplissant pas les normes, réputés dans le mauvais traitement de leurs personnels devraient être amener à revoir leur copie. C’est en prenant en compte ces mesures qui, loin d’être exhaustives, des panacées, que l’on permettra aux cadres en devenir d’avoir des diplômes crédibles, reconnus sur le plan international.

            AR

L’ancien site de la société dénommée Coco service, situé dans la commune d’Abobo, à quelques encablures de l’Université NanguyAbrogoua, est un lieu de plus en plus fréquenté par les élèves du secteur, depuis la rentrée scolaire 2020-2021.Mais loin d’être des rendez-vous sains, ces rencontres servent  généralement de ferment à la manifestation des mauvais penchants. Introduisons-nous au cœur d’un secteur transformé en un lieu de dépravation.

Etat des lieux                 

Découvert à la faveur d’une promenade, le site, objet de notre investigation, est un espace vaste, planté d’arbres aux feuillages abondants. On y trouve également des espaces aménagés pour le repos et des terrains de jeux. Ombragé et paisible, c’est un endroit potentiel pour les études. 

Du lundi au vendredi, à partir de 9h et 10h, surtout dans l’après-midi, des élèves provenant des établissements scolaires du secteur, notamment du groupe scolaire Nanti et du collège Anador, de par leurs macarons ou les T-shirts destinées à l’EPS, convergent vers ce lieu. Leurs âges varient de 12 à 16 ans en moyenne. 

Arrivés à cet endroit devenu un lieu de libertinage, des clans se forment aussitôt, selon les liens et les sensibilités. Des filles d’à peine 16 ans, regroupées sous un arbre, racontent à leurs camarades leurs positions favorites et les prouesses de leurs copains au lit. Un peu plus loin, d’autres amoureux s’embrassent passionnément sans le moindre scrupule.

A certains endroits, des garçons et des filles, couchés, la tête posée délicatement sur les pieds de leurs amoureux ou amoureuses assis, se laissent caresser passionnément leurs visages. Pendant ce temps, des élèves (garçons comme filles), assis sur des balançoires de fortunes suspendues aux branches des arbres, à une certaine hauteur du sol, se laissent balancer dangereusement dans le vide. Agrippés à la corde, les non habitués poussent des cris de frayeur. 

Mais ces faits ci-dessus susmentionnés ne constituent pas les seuls spectacles en vogue sur ce site. Des garçons et des filles, attroupés autour d’une chicha, projettent des bouffées de fumée dans l’air ambiant à tour de rôle, visiblement dans l’extase. Pour d’autres garçons, c’est un endroit idéal pour satisfaire d’autres vices : la cigarette.

Face à de telles situations qui frisent le péril de la jeunesse, nous nous sommes tournés vers les responsables éducatifs et les autorités du secteur, en vue de solutions éventuelles.

Des responsables éducatifs stupéfaits

Le mercredi 09 décembre, nous nous sommes rendus respectivement au groupe scolaire Nanti, au collège Averroes et au collège Anador. Mais à chaque étape, les responsables éducatifs nous ont plutôt exprimé leur stupéfaction. Selon eux, ils ne sont pas informés. L’information vient donc de leur parvenir. Néanmoins, ils ont dit vouloir initier une concertation avec les autres acteurs à ce sujet, en vue des dispositions idoines à prendre.

La Mairie pas informée mais…     

A cette étape, après une tentative infructueuse le mercredi, nous avons pu finalement rencontrer le Sous-directeur de l’Environnement et du Cadre de vie ce jeudi 10 décembre. Selon Olivier Agnéro, la mairie n’était nullement au courant des faits, tout en saluant l’initiative.

Dans la suite des échanges, M. Agnéro a notifié que le commissariat sera saisi, en vue d’une mission d’enquête. Dans le cas des élèves friands de la chicha, il a fait savoir que tout sera mis en œuvre pour les ramener à l’ordre.

L’abattage des arbres constitue l’une des solutions envisagées pour assainir le secteur.                                     

AR

 

« Reconstruire en mieux, défendons les droits de l'homme ».est le thème de la 72ème édition de la Journée internationale des droits de l'homme qui a été officiellement célébrée le  jeudi9 décembre   à Yopougon.

Cette célébration a coïncidé avec la  « quinzaine des droits de l'homme » une activité de promotion des droits de l'homme  du Conseil national des droits de l'homme ( CNDH),et  a enregistré la présence du système des Nations-Unies en Côte d'Ivoire et de plusieurs organisations œuvrant pour la promotion des droits de l'homme dans le pays .  Namizata Sangaré, la présidente du CNDH a estimé que cette journée  « nous rappelle l'idéal commun que nous voulons pour la Côte d'Ivoire ». Aussi appelle-t-elle  le  gouvernement à poursuivre ses efforts dans la mise en œuvre des droits de l'homme.  « Nous  nous devons d'être dans nos vies quotidiennes des chevaliers des droits de l'homme  » a exhorté Mme Sangaré.

 Dans son  adresse, Aimée Zebeyoux, secrétaire d'Etat chargée des droits de l'homme représentant le premier ministre Hamed Bakayoko, a révélé que « Le gouvernement ivoirien œuvre inlassablement pour une amélioration constante de la situation des droits de l'homme sur l'ensemble du territoire ». Pour elle, il faut poursuivre les actions d'éducation « pour faire progresser » les droits de l'homme en Côte d'Ivoire et d’ajouter

« Nous pouvons et devons agir au quotidien pour défendre les droits qui nous protègent tous et ainsi promouvoir l'appartenance de toutes les femmes et de tous les hommes à la famille humaine »  Avant elle, Namizata Sangaré, la présidente du CNDH a estimé que cette journée  « nous rappelle l'idéal commun que nous voulons pour la Côte d'Ivoire ». Aussi appelle-t-elle  le  gouvernement à poursuivre ses efforts dans la mise en œuvre des droits de l'homme.  « Nous  nous devons d'être dans nos vies quotidiennes des chevaliers des droits de l'homme  » a exhorté Mme Sangaré.

Dans la même veine , Philippe Poinsot, le coordonnateur du système des Nations-Unies en Côte d'Ivoire a appelé à l'édification d'une société inclusive   qui ne laisse aucun ivoirien de côté  non sans  s’inquiéter  de la croissance du niveau de vulnérabilité en milieu carcéral ivoirien en raison de la Covid-19 . De ce fait il  a encouragé le gouvernement au respect des droits de l'homme. Pour rappel,

la Journée internationale des droits de l’homme est célébrée le 10 décembre de chaque année , jour anniversaire de l’adoption en 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies de la déclaration universelle des droits de l'homme.

Sally Koné

 

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