Les filles et les fils du District Autonome des Savanes ont convergé nombreux au stades Amadou Gon Coulibaly de Korhogo le 18 mai 2024, à l’occasion de la cérémonie d’hommage au Président de la République, Alassane Ouattara, pour témoigner leur reconnaissance et leur gratitude au Président de la République, Alassane Ouattara pour tous ses actions de développement. Ils ont également saisi cette occasion pour Lui demander de se porter candidat pour les élections présidentielles de 2025.

Cette fête d’hommage, qui est un vrai succès à mobiliser plus de 30 000 personnes. Le maitre d’œuvre de cette mobilisation exceptionnelle n’est autre que le ministre de la Communication et Porte-parole du Gouvernement, Amadou Coulibaly, Par ailleurs Vice-président chargé de la mobilisation de l’animation et de la communication de cette cérémonie d’hommage au Président de la République.

 En prélude à cette cérémonie et pour la réussir, le ministre Amadou Coulibaly, a parcouru les hameaux et villages du District des Savanes pour sensibiliser et galvaniser les filles et fils de cette région. Ces populations adoubent la candidature du Président Alassane Ouattara pour les élections présidentielles de 2025.

 Après la Cérémonie d’hommage au président Alassane Ouattara, le Ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, a reçu a sa résidence, les journalistes venus couvrir l’évènement. Selon lui ces cérémonies d’hommages expriment l’inquiétude des populations.

« Ces populations sont inquiètes, parce que déjà en 2020, le président Ouattara voulait partir. Les filles et fils du District des Savanes vivent dans l’angoisse de l’attente de la réponse du président Ouattara de se présenter à la présidentielle de 2025 » a –t-il dit avant d’ajouter que « Si les populations réclament Ouattara, c’est tout simplement parce que son bilan parle pour Lui. Grâce à Ouattara, la Côte d’Ivoire dispose aujourd’hui d’un réseau routier totalement rénové et cela impacte considérablement le coût du transport ; l’électrification rurale. La construction de centres de santé et de collèges de proximité se multiplient.

Générosa Kouadio (Envoyée spéciale)

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