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Religion / Nouvel an : le Bishop Ouattara Mohamed Idriss dévoile ses perspectives pour l’année 2021

jeudi, 31 décembre 2020 11:14 Written by

Le président fondateur de l’église Ambassade des miracles, le Bishop Ouattara Mohamed Idriss, a décliné les ambitions de l’église pour l’année 2021, ce mardi 29 décembre. Il a fait cette communication au cours d’une conférence de presse au siège de ladite église à Cocody 2 plateaux.   

« Je rêve d’implanter d’autres églises, pour couvrir l’entièreté du pays, ainsi qu’à l’international, faire  bouger les choses », a lancé le bishop Mohamed Idriss, lors de cette conférence de presse. Dans cette perspective, il a indiqué que « l’année 2021 sera une année de grand travail pour l’avancer du Seigneur ».

Parlant de l’année 2020, il a estimé que le bilan a été positif  et celui-ci se décline en l’ouverture de nombreuses églises. A cela, s’ajoute la tenue de la convention de l’église du 17 au 20 décembre, qui a enregistré l’arrivée massive de personnes de divers horizons, pour expérimenter le Dieu de miracle, de toutes les possibilités.

« Mes vœux à l’endroit des populations ivoiriennes, c’est que Dieu protège notre pays, tous ses ressortissants. Qu’il accorde la sagesse aux autorités qui dirigent ce pays, et veille  à ce que nous puissions nous réconcilier avec Dieu », a souhaité l’homme de Dieu

Mahlya Rosa 

Côte d’Ivoire : le dialogue politique suspendu sans accord formel

mercredi, 30 décembre 2020 14:03 Written by

Le dialogue politique en Côte d’Ivoire a été suspendu, sans le moindre accord formel obtenu entre le pouvoir et l’opposition. Les conclusions ont été rendues ce mardi 29 décembre, au terme d’une semaine de pourparlers entre les deux parties.

Dans son discours de clôture, à la Primature, le Premier Ministre Hamed Bakayoko s’est réjoui néanmoins de la volonté des deux camps de poursuivre le dialogue, même si aucune date des prochaines assises n’a été retenue pour l’instant.

Ces négociations, suspendues sans accord formel entre le pouvoir et l’opposition, ont tout de même débouché sur l’accord des deux protagonistes, pour la tenue des prochaines législatives en mars 2021. Selon Hamed Bakayoko, tout cela participe à la « décrispation du climat politique ».

« Nous avons refusé le terme d’accord. Il y a eu des divergences et des convergences. Le dialogue étant un dialogue permanent, le processus reste ouvert », a déclaré le secrétaire exécutif par intérim du PDCI, Niamkey Koffi.

L’opposition a refusé de signer ledit accord, tant que certains points n’auront pas été satisfaits. Il s’agit singulièrement de la libération des prisonniers politiques, la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) et la révision du découpage de la carte électorale. Elle recommande, dans le rapport, la reprise du dialogue direct entre les présidents Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié, incluant l’ex-président Laurent Gbagbo.

Le dialogue politique, souhaité par le président Ouattara lors de son investiture à un troisième mandat contesté le 14 décembre, a démarré le 21 décembre.

AR

 

Lutte contre le Covid-19 : le port du masque connait un relâchement dans les bus à Abidjan

mercredi, 30 décembre 2020 13:50 Written by

Les autorités ivoiriennes, depuis la survenue du Coronavirus dans le pays, veillent à l’application stricte des mesures barrières. Parmi ces actions préventives, le port du masque obligatoire, spécifiquement dans les véhicules de transport en commun, connait un réel relâchement. Cette situation, qui frise l’indiscipline, est  depuis quelques temps manifeste dans les bus de la Sotra à Abidjan.  

Dans les bus 53, 59 et 79, assurant respectivement les lignes Cocody-Port-Bouët, Adjamé-CHU de Treichville et Adjamé-Abobo gendarmerie en passant par le Zoo, les préoccupations des machinistes sont les mêmes. « Veuillez porter vos masques s’il vous plaît », lancent-ils à chaque usager montant à bord du bus, ce lundi 28 décembre.

Pourtant, certains clients, les masques en mains ou accrocher à une oreille, ne se conforment pas à ces instructions, obligeant par moments les conducteurs à se déplacer de leurs cabines, pour les rappeler à l’ordre. D’autres mêmes n’en disposent pas du tout. Alors que leur rapprochement de ceux qui observent ces mesures, car soucieux de leur santé, est manifeste tout au long du trajet. Selon eux, les difficultés à respirer et la gêne liées au port du masque sont à l’origine de ce refus.

Face à ces cas d’indiscipline, il urge de susciter l’éveil des populations face à la pandémie, au moment où une autre forme du Covid-19, plus contagieuse et sévère, s’est signalée notamment en France, au Royaume-Uni, en Afrique du Sud. Dans le bus, nul ne sait le statut de ses voisins immédiats en matière de ce mal du siècle. Une toux, un éternuement brusques, même involontaires, sont susceptibles d’exposer tout imprudent à la maladie, à travers les postillons projetés au visage.

La vaccination étant pour l’instant limitée à l’Asie, l’Amérique et l’Europe, adoptons ce geste simple, pour préserver sa santé et celle des autres. Mieux vaut souffrir pour quelques temps en portant son masque, qui ne coûte que 100 F CFA, plutôt que de compromettre sa vie en cas de contagion, avec toutes les dépenses que cela pourrait générer.

Les autorités, dans cet élan, doivent redynamiser davantage la lutte, au-delà de la sensibilisation. En plus des machinistes, d’autres agents de la Sotra devront être mobilisés. Ces derniers, veillant au respect strict du port du masque dans tous les moyens de transport de la société, pourront faire descendre les récalcitrants.

La situation est également observée au niveau des taxis communaux.

                                                                                                                     AR    

Afterwork : la 1ère édition du Rendez-vous des RH

vendredi, 25 décembre 2020 05:57 Written by

Le Sofitel Hôtel Ivoire a servi de cadre ce vendredi 18 Décembre à la  1ère édition de l’Afterwork dénommée « Le Rendez-vous des RH ».

Après sa rentrée solennelle, en début d’année, qui connut un véritable succès, le Réseau Ivoirien des Gestionnaires de Ressources Humaines (RIGRH), a marqué encore une fois les esprits en mettant la barre haute à travers cette énième édition qui a réuni plus de 100 invités membres du réseau.

En effet, une master-class de 30 mn organisée par HEC Paris, et animée en vidéo-conférence, par le Professeur Anne Valérie Corboz, Doyenne Associée de HEC Paris Exécutive Education. Le thème choisi: Quel Leadership dans un monde Post-Covid?, a intéressé fortement le public qui n’a pas hésité à poser des questions en retour au Professeur Corboz.

Un autre présentation du panel de qualité composé de directeurs généraux et directeurs de ressources humaines qui ont débattu sur la thématique Binôme Directeur Général et DRH: Quelle posture managériale pour une meilleure performance?

« A travers des échanges et témoignages, cette rencontre a permis aux participants  de réfléchir sur les rôles et les postures managériales au sein de l’entreprise et d’évaluer l’importance de ce binôme qui forme une entité incontournable dans la gestion des hommes, des biens et services », Alexis John Ahyéea.

Pour Soro Souleymane, DRH de Cemoi, par ailleurs Président du RIGRH cette 1ère rencontre avait pour objectifs de renforcer les capacités des différents acteurs du RH, de dynamiser la collaboration Directeur Général – RH pour une meilleure performance des organisations et consolider les liens de fraternité et d’amitié entre les membres du Réseau.

Le prochain rendez-vous est prévu pour début 2021, avec des rencontres d’autant plus intéressantes sur des thématiques aussi pertinentes les unes que les autres. Une nouvelle opportunité pour l’association de joindre, encore une fois, l’utile à l’agréable.

Côte d’Ivoire : Le prix du pain en hausse en Janvier 2021

Le prix de la baguette de pain va connaitre une hausse à partir du 15 janvier 2021. Cette information a…

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Côte d’Ivoire : les chauffeurs de gbakas créent la surenchère en ces périodes de fête à Abidjan

jeudi, 24 décembre 2020 15:25 Written by

A l’instar des autres populations des quatre coins de la planète, les Ivoiriens s’échinent à assurer les fêtes de Noël et du nouvel an, en dépit des difficultés liées à la crise sanitaire. Mais les chauffeurs de gbaka, évoluant dans le transport en commun, s’approprient cette période pour accroitre leurs recettes journalières, créant ainsi la surenchère générale dans ce secteur. 

En ces temps précédents les fêtes, il règne une ambiance particulière sur l’axe Adjamé-Abobo, en passant par le Zoo ou par l’Université Nanguy Abrogoua. Attroupés aux différents points d’embarquement habituels, les usagers des véhicules de transport en commun, communément appelés gbakas, subissent la dicta des chauffeurs et leurs complices, les apprentis.

Les matins et les soirs, les utilisateurs de ces véhicules banalisés doivent débourser entre 250F CFA et 300F CFA, soit pour aller vaquer à leurs occupations, soit pour rallier leurs domiciles respectifs. Aux heures de pointe, 7h-8h et 15h-18h, le coût du transport peut tendre vers 500F CFA en fonction de l’affluence et des humeurs des chauffeurs, affirment certains usagers interrogés à Adjamé.

En temps ordinaire, le coût du transport est de 200F CFA, passant par moments à 250F CFA aux heures de pointe, révèlent d’autres fidèles clients interrogés à l’arrêt Dokui, ce mercredi 23 décembre. Ils précisent qu’aux heures de flottement, 10h-14h, ce coût se négocie même à 100F CFA.

De façon unanime, les usagers des gbakas estiment que cette situation, manifeste chaque année à la même période, les éprouve ostensiblement en matière de déplacement. Le comble, renchérissent-ils, c’est que de fois, après avoir fait leurs encaissements, ces transporteurs les abandonnent à mi-chemin, les obligeant à emprunter un autre véhicule pour arriver finalement à destination.

Du côté des transporteurs, tout le monde est dans la mouvance des fêtes qui riment avec des dépenses de tous genres. Selon eux, ils doivent en tirer au maximum profits, pour assurer les besoins de leurs familles respectives. 

Ces scènes sont également observées sur l’itinéraire Yopougon-Adjamé, de l’avis de certains usagers. Vivement, à quand la fin du désordre dans ce secteur du transport à Abidjan ?

AR

Législatives 2021 / Assoa Adou : « nous irons aux élections »

jeudi, 24 décembre 2020 15:13 Written by

Le Secrétaire Général du Front Populaire Ivoirien (FPI), section Gbagbo, a annoncé ce mercredi 23 décembre, la participation de son parti aux prochaines législatives prévues pour le premier trimestre de l’année 2021. Cette position traduit la volonté du FPI d’œuvrer à la décrispation de la situation socio-politique dans le pays.   

« Nous irons aux législatives, en prenant toutes les dispositions nécessaires, pour que nos victoires ne nous soient pas volées », a annoncé le SG du FPI, section Gbagbo, Assoa Adou. Il s’exprimait à l’occasion d’un entretien accordé à RFI ce mercredi 23 décembre.

Cette décision intervient à l’issue d’une concertation du comité central du parti tenue ce mardi 22 décembre, a fait savoir M. Assoa Adou. Il a notifié que cette position bénéficie de l’aval du Président Laurent Gbagbo, qui les y « encourage et demande aux militants et militantes de se mobiliser », pour permettre au parti d’avoir « beaucoup d’élus ».

A cet effet, Assoa Adou a appelé tous les partis de l’opposition, y compris « les frères » de l’autre tendance du FPI, à « un grand rassemblement autour de ces législatives ». Il a manifesté qu’en cas d’une participation éventuelle de Laurent Gbagbo à ces élections, il bénéficiera d’une forte mobilisation dans « la circonscription qu’il aura choisie ».

La préoccupation du FPI, au même titre que les autres partis de l’opposition,  demeure la réforme de la Commission Electorale Indépendante (CEI), a souligné le leader du FPI pro Gbagbo. Comme autres obstacles, il a souhaité la libération de tous les prisonniers politiques, civils et militaires, incluant le retour des exilés politiques, en vue de la consolidation de la cohésion sociale et la paix dans le pays.

Le FPI s’était inscrit dans une logique de boycott des élections, il y a une décennie, depuis la crise post-électorale de 2010-2011, avec l’arrestation du Président Laurent Gbagbo.

                        AR

                                                                                           

 

 

Côte d’Ivoire / Ouverture du dialogue politique sous fond d’espoir

mercredi, 23 décembre 2020 17:40 Written by

Le premier Ministre Hamed Bakayoko a procédé à l’ouverture du dialogue politique, ce lundi 21 décembre à la Primature au Plateau. Ce rendez-vous  entre le pouvoir et l’ensemble des partis de l’opposition s’inscrit dans la perspective d’un retour de la paix dans le pays, au lendemain de la présidentielle contestée du 31 octobre.

« Cette rencontre est conforme à la tradition de dialogue politique, qui a toujours caractérisé notre pays, notamment au cours de la décennie écoulée », a situé le premier Ministre Hamed Bakayoko. Il a fait savoir que ce « nécessaire dialogue avec les partis politiques et les organisations de la société civile » s’inscrit dans la dynamique de la recherche de la paix, en vue des législatives sensées se tenir dans le courant du premier trimestre 2021.

En présence des principaux partis de l’opposition dont le FPI, le PDCI, EDS (Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté), l’émissaire du Gouvernement a dit compter sur les différents protagonistes pour des débats ouverts et francs. M. Bakayoko a rassuré au passage l’ensemble de l’opposition que le pouvoir « fera tout, pour faire avancer les choses ».

« Pour l’heure, nous sommes venus pour discuter, nous pensons qu’on va pouvoir régler tous les problèmes », a laissé entendre le Président de la plateforme politique EDS, Georges Armand Ouégnin. M. Ouégnin a souhaité néanmoins que ces discussions se déroulent « dans un environnement apaisé ».

Les préoccupations de l’opposition à ses assises portent notamment sur la libération des détenus et le retour au pays des exilés politiques, la réforme de la CEI. Ces pourparlers se situent au lendemain de la présidentielle contestée du 31 octobre dernier.

                                                                                                                  AR

 

 

Fêtes de fin d’année : une période difficile pour les commerçants du marché de Cocovico

Les fêtes de fin d’année et du nouvel an pointent à l’horizon. Cependant contrairement aux années précédentes, le marché de…

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