jeudi 28 mars 2024
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Sept cent quarante trois (743) agents de la Fonction Publique issus des contingents 2016 et 2017 ont  été décorés le vendredi 11 Janvier 2019 aux grades de commandeur, officier, chevalier.

Cette  cérémonie a eu lieu à l'ENA aux  2 plateaux, en présence de nombreuses autorités administrative et politique, notamment le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Sangafowa Coulibaly,  président du  Conseil constitutionnel, Koné Mamadou.

Dans son allocution,  le ministre  de la Fonction Publique, général Issa Coulibaly, a félicité les récipiendaires pour le travail abattu avant de leur demander d'être des modèles et de donner  l'exemple.

Notons que 152 commandeurs dont M. Oka Kouadio Seraphin, directeur de cabinet du ministre de la  Fonction Publique, 229 officiers notamment le directeur de la Communication,  Julien Bolati, 362 chevaliers ont été décorés dans l'ordre du mérite de la Fonction publique. 

Rose K

Après plusieurs jours de traques incessants dans le but de lui mettre
le grappin dessus, le député-maire, Jacques Ehouo a finalement répondu
à la convocation dans le cadre de la plainte déposée contre lui, par le maire intérimaire du plateau, jacques yapi
 .
 Jacques Ehouo Gabriel qui, accusé de détournement de fonds, blanchiment d’argent et
usage de faux, depuis son élection remportée dans la commune du
Plateau, s’est rendu, le jeudi 10 janvier 2019, dans les
locaux de la police économique. 
 
il  a été ensuite inculpé et libéré.  le procureur Adou richard animera. une conférence de presse ce jour sur la question
 
Abou ZEID
 

Quatre partis politiques  ont signé  un partenariat  politique  ce jeudi 10 janvier 2019  au siège  du parti de Henriette Lagou  ( RPC-PAIX)  à Cocody.

 

 

‘’  Marcher ensemble et œuvrer pour la paix, la réconciliation et le bien-être des populations ainsi que la sauvegarde de la démocratie et des valeurs d’unité, de justice et de solidarité’’. Tel est  l’objectif  de ce partenariat politique dira la ministre Henriette, présidente du Rassemblement pour la paix et la concorde.

 

Les signataires au nombre de quatre partis politiques  sont le RAVI (Rassemblement des Verts Ivoiriens) de Koné Rose.

Le PRDD (Parti de la Renaissance Démocratique et du Développement) de Loulou Yoro. L’ADCI (l’Alliance pour la Démocratie en Côte d’Ivoire) de Luce Marcel KROMEL Akpa, le RPC-PAIX de la ministre Henriette Lagou.

‘’ Nous avons décidé de nous mettre ensemble et de sceller un partenariat politique afin de distribuer l’amour et d’accentuer la réconciliation en Côte d’Ivoire’’ a précisé Henriette Lagou,, présidente de RPC-PAIX dans son allocution.

‘’ Nous avons besoin de nous mettre ensemble pour être fort face à la surenchère politique et la corruption qui a court en ce moment ,auprès des militants des partis politiques afin de les contraindre à aller dans le parti unifié qui s’apparente à un parti état de triste mémoire. Il nous faut donc être ensemble pour sauver la démocratie.’’ , a- t- elle précisé  en présence de plusieurs  militants et sympathisants des quatre  partis politiques.

Zatté Albert

 

 

 

« La division au sein des partis politiques, des associations, des familles n’augure pas d’un lendemain meilleur. C’est pourquoi je voudrais vous dire que nous sommes inquiets (...) les ivoiriens sont également inquiets par la violence des paroles…Nous voudrions interpeler encore les partis politiques afin qu’ils soient responsables,  qu’ils mettent  balle à terre », a déclaré, Mme Geneviève Bro-Grébé, présidente du Mouvement citoyen pour une nouvelle Côte d’Ivoire  (MCNCI). 
 
Lors d’une cérémonie de présentation de vœux de nouvel an à la presse tenue le jeudi 10 janvier 2019, à Cocody, elle a fait savoir que ce mouvement a pour mission d’apporter à la Côte d’Ivoire, une réconciliation vraie et durable.
 
Le MCNCI  entend se donner les moyens pour arriver à ses fins. C'est dans cette optique qu'elle a déploré  le fait que les autorités politiques qui doivent aider les organisations
de la société civile à promouvoir la paix, sont celles qui posent des actes contraires
 
"Il ne faudrait pas que le gouvernement continue de poser des actes contre la réconciliation pendant que nous demandons aux populations  de pardonner", a fait savoir l’ex-leader du mouvement des Femmes patriotiques de Côte d’Ivoire, sous le regime de Laurent Gbagbo.
 
L'ex-leader du Mouvement ivoirien pour la défense des
institutions (MIDI), a dit son souhait de voir la Côte  d'Ivoire reconcilliée.
 
Notons que  Mme Bro-Grébé,  a passé deux (2) années
en prison, au lendemain de la crise postélectorale de 2010.
 
Abou Zeid
 

LOUA Jacques jeune ivoirien vivant au Maroc et président de la structure   Jeunesse Participative Ivoirienne (JCPIM) prend part aux états généraux  de la jeunesse qui se tiennent dans la capitale économique ivoirienne  du 09 au 11 janvier 2019.  Interrogé par echodabidjan.com,  M. Loua Jacques s’est prononcé sur le phénomène de l’immigration et a  donné ses recettes pour l’endiguer.

 

Quel est votre avis sur   le phénomène d’immigration ?

Aujourd’hui la question d’immigration est d’actualité.  Lorsqu’on parle d’immigration, il faut d’abord  comprendre le sens de ce terme. L’immigration en soi-même n’est pas mauvaise.  Il y’a  de nombreux témoignages, car  l’immigration a permis à de ? nombreux ivoiriens  d’être  prospères.

 

Quelles  sont les véritables conséquences de l’immigration ?

Notre pays la Côte d’ivoire est un modèle  de réussite pour d’autres pays mais la jeunesse que nous sommes dans le plan de développement de notre pays, nous  nous sentons un peu oubliés.  Nous nous rendons compte que les politiques et les mesures que nos états prennent ne sont pas concrètes, ce sont des politiques justes pour respecter des  calendriers électoraux   qui ne vont pas jusqu’au bout.

 

Les véritables causes de l’immigration aujourd’hui sont entre autres, le manque d’assistance de l’Etat aux jeunes.   Au niveau du Maroc, les jeunes viennent  nombreux  mais nous constatons  qu’ils ne sont pas informés.

C’est pourquoi nous avons mis cette structure en place  (JCPIM)   qui intervient seulement au niveau du Maroc.

 Mais au niveau de la Cote d’Ivoire  il faut mettre des balises.Investir dans l’entrepreneuriat c’est la seule solution pour freiner ce fléau de l’immigration. 

Comme témoignage,  j’ai vu un jeune homme  dont la famille a mobilisé 05 millions de FCFA pour qu’il parte en Europe, et il n’est pas passé par la voie légale. Si cet enfant ou sa famille avait  le sens de l’entrepreneuriat, il allait  entreprendre  avec cet argent.

Il faut faire de l’entrepreneuriat notre cheval de bataille. Je propose l’instauration de  l’entrepreneuriat dans les programmes pédagogiques.

On investit plus dans la politique, dans des rassemblements de jeunes  où les jeunes  ne gagnent rien de concret  et c’est dommage.

 

Parlez- nous du cas du Maroc...

 

Le Maroc est devenu  aujourd’hui une destination privilégiée. Des gens y vont pour des études, d’autres pour des vacances, certains  pour des affaires.  Ceux qui y vont dans le cadre de  l’immigration doivent comprendre que c’est juste un pays  de transit.   Lorsqu’ils viennent,ils se dirigent tous vers la ville qui fait frontière avec l’Espagne  qu’on appelle Tanger.Notre structure,  la Jeunesse Consciente et participative  ivoirienne du Maroc (JCPIM)  en tant qu' organisation  participative nous allons les voir pour les assister.  Nous ne pouvons  pas les obliger  à faire ce que nous  désirons.  Ils vivent dans des conditions macabres et désagréables. Mais ils espèrent   aller un jour  en Europe.

En ce qui concerne les réseaux de prostitution, cela dépend  du contexte dans lequel ils y sont allés et lorsque leschosesne se passent pas bien,  ils s'adonnent à la prostitution.

Nous ne disposons pas de moyens pour les rapatrier.  Notre structure  sert  plutôt de canal d’information et d’aide.  J’accuse   l’ambassade de Côte d’Ivoire au Maroc qui ne pose pas d’actes concrets   pour aider ces jeunes en difficultés.  Nous demandons des campagnes de sensibilisation, des solutions,un esprit d’ouverture de notre Ambassade.

 

 Quel conseil pouvez-vous donner aux futurs candidats à l’immigration ?

Je ne peux pas décourager un jeune à  aller à l’aventure  mais il faut faire attention.

 Le Maroc a  des atouts,  j’ai passé 06 ans dans ce pays, on peut bien s’en sortir  au Maroc  mais le jeune doit savoir ce qu’il va y  faire.  Si c’est pour aller entreprendre, il serait mieux de le faire chez soi.Si c'est pour les études,  il faut bien cibler les filières. Je conseille aux  jeunes de mieux réfléchir avant de se rendre au Maroc car il ya des actes qu’ils pourront poser et qu’ils regretteront plus tard

 

 Propos recueillis  par  Zatté Albert 

LOUA Jacques jeune ivoirien vivant au Maroc et président de la structure   Jeunesse Participative Ivoirienne (JCPIM) prend part aux états généraux  de la jeunesse qui se tiennent dans la capitale économique ivoirienne  du 09 au 11 janvier 2019.  Interrogé par echodabidjan.com,  M. Loua Jacques s’est prononcé sur le phénomène de l’immigration et a  donné ses recettes pour l’endiguer.

 

Quel est votre avis sur   le phénomène d’immigration ?

Aujourd’hui la question d’immigration est d’actualité.  Lorsqu’on parle d’immigration, il faut d’abord  comprendre le sens de ce terme. L’immigration en soi-même n’est pas mauvaise.  Il y’a  de nombreux témoignages, car  l’immigration a permis à de ? nombreux ivoiriens  d’être  prospères.

 

Quelles  sont les véritables conséquences de l’immigration ?

Notre pays la Côte d’ivoire est un modèle  de réussite pour d’autres pays mais la jeunesse que nous sommes dans le plan de développement de notre pays, nous  nous sentons un peu oubliés.  Nous nous rendons compte que les politiques et les mesures que nos états prennent ne sont pas concrètes, ce sont des politiques justes pour respecter des  calendriers électoraux   qui ne vont pas jusqu’au bout.

 

Les véritables causes de l’immigration aujourd’hui sont entre autres, le manque d’assistance de l’Etat aux jeunes.   Au niveau du Maroc, les jeunes viennent  nombreux  mais nous constatons  qu’ils ne sont pas informés.

C’est pourquoi nous avons mis cette structure en place  (JCPIM)   qui intervient seulement au niveau du Maroc.

 Mais au niveau de la Cote d’Ivoire  il faut mettre des balises.Investir dans l’entrepreneuriat c’est la seule solution pour freiner ce fléau de l’immigration. 

Comme témoignage,  j’ai vu un jeune homme  dont la famille a mobilisé 05 millions de FCFA pour qu’il parte en Europe, et il n’est pas passé par la voie légale. Si cet enfant ou sa famille avait  le sens de l’entrepreneuriat, il allait  entreprendre  avec cet argent.

Il faut faire de l’entrepreneuriat notre cheval de bataille. Je propose l’instauration de  l’entrepreneuriat dans les programmes pédagogiques.

On investit plus dans la politique, dans des rassemblements de jeunes  où les jeunes  ne gagnent rien de concret  et c’est dommage.

 

Parlez- nous du cas du Maroc...

 

Le Maroc est devenu  aujourd’hui une destination privilégiée. Des gens y vont pour des études, d’autres pour des vacances, certains  pour des affaires.  Ceux qui y vont dans le cadre de  l’immigration doivent comprendre que c’est juste un pays  de transit.   Lorsqu’ils viennent,ils se dirigent tous vers la ville qui fait frontière avec l’Espagne  qu’on appelle Tanger.Notre structure,  la Jeunesse Consciente et participative  ivoirienne du Maroc (JCPIM)  en tant qu' organisation  participative nous allons les voir pour les assister.  Nous ne pouvons  pas les obliger  à faire ce que nous  désirons.  Ils vivent dans des conditions macabres et désagréables. Mais ils espèrent   aller un jour  en Europe.

En ce qui concerne les réseaux de prostitution, cela dépend  du contexte dans lequel ils y sont allés et lorsque leschosesne se passent pas bien,  ils s'adonnent à la prostitution.

Nous ne disposons pas de moyens pour les rapatrier.  Notre structure  sert  plutôt de canal d’information et d’aide.  J’accuse   l’ambassade de Côte d’Ivoire au Maroc qui ne pose pas d’actes concrets   pour aider ces jeunes en difficultés.  Nous demandons des campagnes de sensibilisation, des solutions,un esprit d’ouverture de notre Ambassade.

 

 Quel conseil pouvez-vous donner aux futurs candidats à l’immigration ?

Je ne peux pas décourager un jeune à  aller à l’aventure  mais il faut faire attention.

 Le Maroc a  des atouts,  j’ai passé 06 ans dans ce pays, on peut bien s’en sortir  au Maroc  mais le jeune doit savoir ce qu’il va y  faire.  Si c’est pour aller entreprendre, il serait mieux de le faire chez soi.Si c'est pour les études,  il faut bien cibler les filières. Je conseille aux  jeunes de mieux réfléchir avant de se rendre au Maroc car il ya des actes qu’ils pourront poser et qu’ils regretteront plus tard

 

 Propos recueillis  par  Zatté Albert 

Pr. Alban Ahouré, directeur général de  la cellule d’analyse des politiques économiques du CERES (CAPEC), a fait des propositions  pour l’élargissement de l’assiette fiscale dans le cadre de la mobilisation des ressources internes.

 

Sur les ondes de la radio de la paix, le mercredi 9 janvier 2019, il a fait savoir qu’il y a des poches d’élargissement tout en rappelant que le secteur informel enregistre environ 90% des emplois.

 

Le directeur général de la cellule d’analyse des politiques économiques du CERES (CAPEC) a indiqué que selon les statistiques du ministère de l’Economie, le secteur  informel qui constitue 57% du fichier des contribuables n’est intervenu en 2017 qu’à hauteur de 8 milliards de francs  Cfa sur 1800 milliards de francs CFA mobilisés.

 

« Le secteur informel a besoin que les taux soient les plus faibles possibles. Une étude menée pour le ministère en charge de  la promotion des Pme mettait l’accent sur un taux d’imposition allant de  1 à 2% sur le  chiffre d’affaires des acteurs du secteur informel. Il y a également  le foncier rural, l’amélioration des  capacités de collecte pour réduire  l’évasion fiscale et toutes formes de corruption.», a-t-il poursuivi.

 

Selon lui, l’élargissement de l’assiette fiscale ne signifie pas reposer l’impôt sur  quelques entreprises privées puisque c’est un fardeau pour ces entreprises dans la mesure où l’environnement mondial n’est pas toujours très favorable avec  la concurrence très forte des pays asiatiques et des pays d’Amérique latine.

 

Il estime que  les  entreprises privées ont besoin de plus de marge pour pouvoir faire du profit et distribuer des revenus.

Rose K

 

 

Pr. Alban Ahouré, directeur général de  la cellule d’analyse des politiques économiques du CERES (CAPEC), a fait des propositions  pour l’élargissement de l’assiette fiscale dans le cadre de la mobilisation des ressources internes.

 

Sur les ondes de la radio de la paix, le mercredi 9 janvier 2019, il a fait savoir qu’il y a des poches d’élargissement tout en rappelant que le secteur informel enregistre environ 90% des emplois.

 

Le directeur général de la cellule d’analyse des politiques économiques du CERES (CAPEC) a indiqué que selon les statistiques du ministère de l’Economie, le secteur  informel qui constitue 57% du fichier des contribuables n’est intervenu en 2017 qu’à hauteur de 8 milliards de francs  Cfa sur 1800 milliards de francs CFA mobilisés.

 

« Le secteur informel a besoin que les taux soient les plus faibles possibles. Une étude menée pour le ministère en charge de  la promotion des Pme mettait l’accent sur un taux d’imposition allant de  1 à 2% sur le  chiffre d’affaires des acteurs du secteur informel. Il y a également  le foncier rural, l’amélioration des  capacités de collecte pour réduire  l’évasion fiscale et toutes formes de corruption.», a-t-il poursuivi.

 

Selon lui, l’élargissement de l’assiette fiscale ne signifie pas reposer l’impôt sur  quelques entreprises privées puisque c’est un fardeau pour ces entreprises dans la mesure où l’environnement mondial n’est pas toujours très favorable avec  la concurrence très forte des pays asiatiques et des pays d’Amérique latine.

 

Il estime que  les  entreprises privées ont besoin de plus de marge pour pouvoir faire du profit et distribuer des revenus.

Rose K

 

 

« Je suis au pays pour vous dire merci. C’est une marque de

reconnaissance de ma part pour tout ce que vous avez fait quand j’étais en prison, dans ma période de maladie et aussi profiter pour vous dire que je suis de retour. Je ne viens pas pour gérer une convalescence, je dis que je suis à 100% voir 200% de ma forme, je serai sur le terrain », a dit Samba David, président de la Coalition des indignés de Côte d’Ivoire, mardi 8 janvier 2019, à Cocody.

 

 Faut-il le rappeler, Samba David, après trois années (3 ans)

de détention a retrouvé la liberté pour des problèmes de santé.

C’est le 24 juillet 2018, qu’il est sorti de l’hôpital où il a été admis pour « insuffisance cardiaque ». Celui qui est investi dans la lutte des Ivoiriens désespérés et indignés, a dû subir plusieurs examens en Tunisie.

De retour, aujourd’hui, il se dit  prêt à retourner sur  le terrain avec son mouvement dénommé, « l’Expression de la colère du peuple », pour dénoncer les mauvaises actions du régime Ouattara.

 « Ce que nous avons subi depuis la prison, nous n’aimerions pas que nos bourreaux le subissent », a-t-il confié. 

 Se prononçant sur la situation qui prévaut dans la commune du Plateau, Samba David n’a pas marché ses mots. «Ce qui se passe au Plateau, c’est dénier le droit de

vote à un peuple. Le maire du Plateau a été déclaré vainqueur aux élections et  a respecté la date  prévue pour son installation. Si elle ne s’est pas faite, ce n’est pas sa faute. On

n’investi pas forcement à la mairie », a-t-il soutenu

 Il a rappelé que  le président Alassane n’a pas été investi à la présidence mais à Yamoussoukro. Il y a également des maires qui ont déjà été investis hors de leur mairie alors je dis que ce n’est pas normale ! », s’est offusqué le ‘’défenseur du bien-être des

Ivoiriens’’.

« Nous sommes fatigués des Incidents sans fin », a déclaré Samba David

Abou ZEID

 

« Je suis au pays pour vous dire merci. C’est une marque de

reconnaissance de ma part pour tout ce que vous avez fait quand j’étais en prison, dans ma période de maladie et aussi profiter pour vous dire que je suis de retour. Je ne viens pas pour gérer une convalescence, je dis que je suis à 100% voir 200% de ma forme, je serai sur le terrain », a dit Samba David, président de la Coalition des indignés de Côte d’Ivoire, mardi 8 janvier 2019, à Cocody.

 

 Faut-il le rappeler, Samba David, après trois années (3 ans)

de détention a retrouvé la liberté pour des problèmes de santé.

C’est le 24 juillet 2018, qu’il est sorti de l’hôpital où il a été admis pour « insuffisance cardiaque ». Celui qui est investi dans la lutte des Ivoiriens désespérés et indignés, a dû subir plusieurs examens en Tunisie.

 

De retour, aujourd’hui, il se dit  prêt à retourner sur  le terrain avec son mouvement dénommé, « l’Expression de la colère du peuple », pour dénoncer les mauvaises actions du régime Ouattara. 

 « Ce que nous avons subi depuis la prison, nous n’aimerions

pas que nos bourreaux le subissent », a-t-il confié.

 Se prononçant sur la situation qui prévaut dans la commune du Plateau, Samba David n’a pas marché ses mots. «Ce qui se passe au Plateau, c’est dénier le droit de

vote à un peuple. Le maire du Plateau a été déclaré vainqueur aux élections et  a respecté la date  prévue pour son installation. Si elle ne s’est pas faite, ce n’est pas sa faute. On

n’investi pas forcement à la mairie », a-t-il soutenu

 Il a rappelé que  le président Alassane n’a pas été investi à la présidence mais à Yamoussoukro. Il y a également des maires qui ont déjà été investis hors de leur mairie alors je dis que ce n’est pas normale ! », s’est offusqué le ‘’défenseur du bien-être des Ivoiriens’’.

 

 « Nous sommes fatigués des Incidents sans fin », a déclaré Samba David

 

Abou ZEID

 

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