jeudi 2 mai 2024
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Senior Reporter @NewsPlus

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La gestion des infrastructures sportives de l'Etat est l'une des préoccupations majeures du Chef de l'Etat, particulièrement l'office national des sports ( ONS ) et plusieurs institutions sportives. Pour répondre à plusieurs inquiétudes des Ivoiriens sur l'entretien des infrastructures sportives après l'organisation de la 34è édition de la coupe d'Afrique des nations dont la Côte d'Ivoire a été vainqueur, l'office national des sports a trouvé idéal de réunir tous les acteurs du sport et les partenaires, afin de mener des réflexions profondes sur la stratégie de gestion et de maintenance de ces infrastructures.

C'est donc autour d'un atelier de réflexion dont la cérémonie d'ouverture à eu lieu hier dans les locaux de l'hôtel Belle Côte que la question a été mise sur la table. En effet, cet atelier vise à analyser les défis et les enjeux en terme de gestion des infrastructures sportives civiles de l'Etat et de proposer un modèle de gouvernance adapté. Selon Ousmane Gbané, directeur général de L'ONS, il s'agira de réaliser un état des lieux des infrastructures et de leur mode de gestion, identifier les défis organisationnels de L'ONS face aux nouveaux enjeux en vue de proposer des axes de structuration et d'examiner les différents modèles de mobilisation de ressources et de financement des infrastructures sportives, afin de faire une proposition adaptée au contexte ivoirien.

Le Directeur général de l'Office national des sports a également laissé entendre que les infrastructures sportives occupent une place primordiale dans leur mission. A l'en croire, L'ONS est en charge de gérer plus d'une soixantaine d'infrastructures sportives. Selon lui, toutes ces infrastructures nécessitent une maintenance adéquate. C'est pourquoi, L'ONS donne un sens important à cet atelier organisé sur deux jours.

Le Pr. N'guessan Alfred, Directeur de cabinet du ministère des sports a quant à lui signifié que cette rencontre de réflexion est d'une importance très capitale. Car selon lui, cela apportera une solution durable à cette problématique posée. A en croire, le dircab représentant le ministre des sports, l'ONS n'est pas fermé aux propositions faites pour la gestion des infrastructures sportives de l'Etat. Il exhorte donc tous les participants à être " de véritables forces de propositions pour la maintenance des infrastructures sportives de l'Etat".

P.Z

La 7e édition du Salon de l'immobilier de Côte d'Ivoire (SICI), qui a enregistré la participation des professionnels de l'immobilier ivoiriens durant deux (2) journées, a rabattu les rideaux ce dimanche 03 mars 2024 au parc des expositions d'Abidjan.

Ce grand rendez-vous de l'immobilier en Côte d'Ivoire, ne pouvait se tenir sans la présence effective de  l'inconditionnel et passionné Président Directeur Général de Challenge Immobilier International (CHIM INTER), Yamoussa Coulibaly. CHIM INTER est un aménageur foncier et Promoteur Immobilier Agréé. Elle est présente dans toutes les grandes villes de la Côte d'Ivoire. Notamment, Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Korhogo, Daloa, San-Pedro et la région de la Bagoué.

A juste titre Yamoussa Coulibaly, le PDG Chim-Inter , a signifié que le déplacement massif des populations à ce grand rendez-vous du SICI 2024 est la symbolique manifeste d'une ère nouvelle dans le secteur de l'immobilier en Côte d'Ivoire.

Traduisant cela en ces termes, "Nous nous réjouissons de l'engouement des populations. Les nombreux visiteurs qui ont pris d'assaut le stand de CHIM INTER et ceux des autres exposants du salon sont la preuve que les ivoiriens ont compris l'importance d'être propriétaire dans le foncier et dans l'immobilier. Cela nous conforte, en tant qu'entrepreneur, dans le choix que nous avons fait de travailler pour les populations", a-t-il vivement indiqué .

Poursuivant son propos, il a notamment formulé de vive voix, ses sentiments de gratitude et de reconnaissance aux promoteurs dudit événement et également au Ministère de la Construction, du Logement et de l'Urbanisme (MCLU) pour cette plateforme de rencontre entre les acteurs de la chaîne de valeur de l'immobilier .

"Ce salon est une opportunité pour les entreprises ivoiriennes des secteurs du foncier et de l'immobilier de montrer ce qu'elles savent faire pour contribuer efficacement au développement de leur pays.'', a soutenu Yamoussa Coulibaly.

Quant à, Gba Téan , Directeur de Cabinet du MCLU représentant le ministre Bruno Koné, a félicité les promoteurs du SICI pour la qualité de l'organisation. De même que le choix des thématiques qui se présente comme une réponse adéquate face au besoin et au manque important de logement constaté en Côte d'Ivoire .

Par ailleurs, le représentant du ministre, GBA Tean , exhortant les populations à se rendre aux informations, il a mentionné quelques réformes et initiatives entreprises par son département pour accroître le bien-être des ivoiriens. A savoir , l'acquisition des obligations en milieu urbain, l'obtention un permis de construire, le recours à un architecte et à un bureau de contrôle pour les bâtiments d'au moins rez plus 2, le renforcement des contrôles, la transformation de la Sicogi en Agence nationale de l'habitat (ANAH) pour être plus opérationnelle, la mise en place d'un fonds de garantie du logement social pour prendre en compte les ménages à faibles revenus, la recapitalisation de la Banque de l'habitat de Côte d'Ivoire (BHCI) pour relancer son activité de financement du secteur du logement. 

Cette 7e édition du SICI, a été meublée de plusieurs conférences dont, celle portant sur la thématique "Projets innovants et opportunités d'investissement dans les zones émergentes", a permis à Amoulaye Coulibaly, le Directeur commercial et marketing de CHIM INTER, de présenter les offres de son entreprise.

 

Debank

Après le lancement de la caravane d'adhésion au PDCI-RDA, qui a connu un franc succès, la deuxième phase a été lancée le samedi 2 mars 2023 dans la commune de Port-Bouët par le président du parti, Tidjane Thiam.

En effet, dans l'optique de capitaliser ses chances pour les élections présidentielles à venir, le PDCI-RDA a ouvert ses portes à toutes personnes qui souhaitent militer en son sein. Dans sa prise de parole, le président Tidjane Thiam a parlé de l'importance d'une telle action qu'il a initiée.

« Nous avons de nombreux défis à relever et à écrire l'histoire de notre parti et de la Côte d’Ivoire. Notre priorité maintenant est d'élargir la base de données de la liste électorale. Nous avons besoin de rassembler toutes nos forces. Car, les défis qui nous attendent sont importants et cruciaux », a indiqué le président du PDCI-RDA. En poursuivant, le président Thiam affirme que cela passe nécessairement par le travail sans cesse. De sorte à consolider l'unité et la cohésion du PDCI-RDA. Et d'ajouter :"la campagne qui a démarré montre la place unique que notre parti occupe dans le cœur des Ivoiriens. Cet engouement se manifeste dans toutes les couches socio-économiques du pays et les jeunes en particulier. ", a-t-il souligné.

Le président Thiam affirme qu'en temps opportun, une cérémonie solennelle sera organisée pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux adhérents. « J’exhorte tous les cadres, et tous les acteurs politiques à poursuivre sans relâche leurs efforts pour le recrutement du plus grand nombre. Port-Bouët doit être le fer de lance de toutes nos actions. Et la mobilisation sera à la hauteur de la qualité et de la détermination de nos militants dans cette commune. », a-t-il lancé.

Cette occasion a permis à Tidjane Thiam de rendre un vibrant hommage à son successeur Henri Konan Bédié décédé le 1er août 2023, et demande aux militants de Port-Bouët de rester mobiliser afin d'organiser des funérailles dignes au défunt. « M. le maire, merci pour les une minute de silence à notre regretté président Henri Konan Bédié, et à tous nos illustres disparus.

Pour les obsèques du président Henri Konan Bédié, je compte sur vous à tous les niveaux. Pour apporter notre contribution à cette digne personnalité et illustre qu'il a été pour le PDCI-RDA et pour notre pays. », a-t-il demandé aux militants du PDCI-RDA. Pour finir, le président dit avoir apporté une place de choix pour les femmes et les jeunes au sein du plus vieux parti de Côte d'Ivoire.

 

Parfait Zio

 

Les travaux de la 18ème Conférence de l’Union parlementaire des États membres de l’Organisation de la Coopération Islamique (UPCI) se tient à Abidjan jusqu’au 5 mars 2024

 La 18ème conférence, qui s’ouvre ce lundi 4 mars 2024, portera sur le thème : « Changements climatiques dans le monde : quelle riposte des pays membres de l’UPCI ? ». Les catastrophes climatiques et météorologiques ont touché près de 2 milliards de personnes durant la décennie écoulée.

 La Conférence de l’UPCI est une tribune qui réunit les délégués des 54 États membres pour débattre sur une thématique importante et aborder les sujets d’intérêt commun de l’Union.  Ces assises d’Abidjan se tiennent Sous l’impulsion du président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Adama Bictogo,

En marge de cette rencontre à laquelle participent près de 36 délégations (600 officiels), dont 9 conduites par des chefs d’institutions parlementaires, Adama Bictogo s’entretiendra avec plusieurs de ses homologues, en particulier Kurtuluş Numan, président de la Grande Assemblée nationale de Turquie, également reçu en audience par le chef de l’État, Alassane Ouattara.

Selon les pays membres de l’UPCI, cette crise offre une occasion de bâtir un meilleur avenir, caractérisé par un développement inclusif et une action climatique soutenue qui permet de prévenir les impacts humanitaires dévastateurs induits par les changements climatiques.

Il est question pour les Etats membres de l’Organisation de la Coopération Islamique de créer une dynamique de changement positif et de susciter la transformation en profondeur dont les populations ont besoin, dans tous les aspects de leurs vies.

Cette session offre l’opportunité de se livrer à une analyse claire de l’échelle des défis auxquels la planète est confrontée et de formuler des recommandations fortes sur la façon dont les parlementaires, les décideurs politiques, ainsi que les communautés du développement et du climat/de l’environnement, peuvent agir de concert pour réduire les risques et sauver des vies.

Cette Conférence a été précédée par plusieurs réunions connexes, notamment celles des instances spécialisées de l’UPCI avec un ordre du jour simplifié pour traiter les questions urgentes et procéder à l’élection des États membres de ces commissions.

L’UPCI est une organisation créée en juin 1999 par la Conférence Islamique à Téhéran où se trouve son siège permanent.  Elle a pour objectifs, entre autres, d’apporter son soutien à la mise en œuvre du principe islamique de concertation (Choura) dans tous les États membres.

 Pour rappel, La Conférence de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) se compose des présidents des parlements membres de l’Union ou leurs représentants, et de quatre parlementaires de chacun des membres de l’Union.

Générosa Kouadio

 

 Le séminaire bilan 2023 et perspectives 2024, de la Direction Générale du Budget et des Finances a eu lieu les jeudi 29 février et vendredi 1er mars 2024, autour du thème « La DGBF au cœur d’une gestion budgétaire plus performante » ; à l’hôtel Président de Yamoussoukro.

 Monsieur TRAORE Seydou, Directeur Général du Budget et des Finances, s’exprimant à la clôture du séminaire, s’est dit très heureux des résultats satisfaisants obtenus au cours de l’année budgétaire écoulée.

 « A l’issue de nos travaux, il ressort que le Plan d’Actions Stratégiques (PAS) 2023 de la DGBF, a enregistré un taux de réalisation très satisfaisant de 100% comme en 2022. Quant au Programme d’Activités 2023 de la Direction Générale du Budget et des Finances, il a été réalisé à hauteur de 90,9% contre 86,2% en 2022 » a indiqué d’emblée le DG du Budget et des Finances.

 Aussi a-t- il a relevé que la Côte d’Ivoire a pu exécuter le budget-programmes 2023 de façon optimale à l’aide du Système Intégré de Gestion des Opérations Budgétaires de l’Etat (SIGOBE) avec un taux d’exécution global de 81,9% grâce à l’encadrement de proximité des acteurs budgétaires et au suivi régulier de l’exécution budgétaire effectués par la DGBF.

  Aux dires de monsieur TRAORE Seydou, les rapports annuels de performance des ministères ont enregistré un taux moyen de satisfaction de réalisation des cibles de 85,2% en 2022 contre 82,1% en 2021 :« Après l’analyse desdits rapports, la Haute Juridiction Financière a attesté que ‘‘les programmes mis en œuvre par les ministères, au titre de la gestion 2022, ont été globalement exécutés de manière satisfaisante’’ » a-t-il martelé.  

  Le DG du Budget et des Finances TRAORE Seydou a traduit la grande satisfaction et les sincères remerciements du Ministre des Finances et du Budget, à l’ensemble du personnel de la DGBF, pour tous les efforts consentis ayant permis d’atteindre ces résultats.

 Concernant les perspectives 2024, le Directeur Général du Budget et des Finances a fait savoir que,  les principales orientations du Ministre des Finances et du Budget ont été prises en compte dans le PAS 2024 et traduites dans les recommandations du séminaire, notamment le renforcement du suivi de l’exécution des crédits budgétaires des Représentations Nationales à l’Etranger (RNE) et des Etablissements Publics Nationaux (EPN) à travers le Système Intégré de Gestion des Opérations Budgétaires de l’Etat, l’élaboration du projet de Document de Programmation Budgétaire Economique Pluriannuelle 2025-2027 pour servir de base au Débat d’Orientation Budgétaire au Parlement, la préparation dans les délais constitutionnels du projet de loi de règlement 2023 et du projet de loi de finances portant budget de l'Etat pour l'année 2025. 

 Générosa Kouadio

 

 

Les médecins spécialistes regroupés au sein de la Convention des Syndicats Libres et Responsables ( Sylire) ne sont pas du tout contents. La raison, ils estiment qu'ils ne sont pas traités au titre de médecin spécialiste. Mais plutôt que de simples médecins généralistes. Ils l'ont fait savoir ce samedi 3 février 2024 lors d'une conférence à Cocody.

Selon Dr Godji née Kouadio Affoué Hélène, le médecin spécialiste a tout le temps travaillé sans reconnaissance dans le statut général de la Fonction Publique : pas d’indice particulier, pas de profil de carrière et pourtant abusivement utilisé au motif d’un besoin national.

  "En Septembre 2022, un décret présidentiel a créé la fonction de médecin spécialiste en Côte d’Ivoire. Une avancée significative, mais qui soulève des questions : quel statut pour ces professionnels ? Quelle est la situation de médecins spécialistes exerçants avant ce décret ? L’épineuse question était de savoir que comporte ce nouveau corps de métier qui venait d’être crée ? Depuis le 28 février 2023, la Convention issue de l’union de tous les médecins gynécologues et les anesthésistes a pris, à travers la SYLIRE, l’initiative d’œuvrer pour donner une réalité administrative à ce corps de métier de médecin spécialiste en Côte d’Ivoire.", a-t-elle témoigné avant de continuer :

 "Ensemble, nous avons parcouru toute l’administration à la rencontre de notre hiérarchie dans l’espoir de trouver une oreille attentive. Ils nous ont écouté mais ne nous ont jamais proposé de solutions. Nous avions donc émis en toute légitimité un préavis de grève lors de notre première assemblée générale extraordinaire qui s’est tenue le 27 mai 2023 dont voici les points de revendications légitimes : Création d’un corps de métier pour les médecins spécialistes, incluant la reconnaissance les spécialistes déjà en poste et le paiement des arriérés. Sur ce premier point, nous avons eu une fin de non-recevoir. Etablissement d’un profil spécifique et d’une grille salariale adaptée. Sur ce deuxième point, même s’il existe un décret qui reconnaîtrait le métier de médecin spécialiste, celui-ci place le médecin spécialiste à la même enseigne que le médecin généraliste.

 Ce qui est incorrect. En lieu et place, l’on nous proposerait de manière unilatérale une prime mensuelle dont le montant reste encore inconnu". Les médecins spécialistes exigent la prise en charge intégrale des formations spécialisées actuellement à la charge des médecins. "Le coût de la formation à la spécialisation est en moyenne de 4.000.000 FCFA hormis les autres frais à la charge du médecin généraliste ivoirien qui se voit utilisé à un poste sans avantages particuliers. Cela n’a jamais été fait, au contraire nous assistons à la mise en place de projet aux fins de recruter des médecins généralistes formés sur 6 mois dans un projet appelé SONUC (ouvrant la porte à une spécialité à deux vitesses).", dénonce -t-il.

 Pour les médecins spécialistes il faut un respect des horaires de travail et rémunération des heures supplémentaires, de garde et d’astreinte avec paiement effectif de la prime trimestrielle. La rareté des spécialistes en Côte d’Ivoire oblige ces médecins à travailler au-delà des heures requises. Il y a urgence à maintenir un environnement de travail sain.

Pour rappel, la Sylire regorge plus de 2000 médecins spécialistes sur l'étendue du territoire ivoirien. Ils sont issus du syndicat national des médecins gynécologues obstétriciens de Côte d'Ivoire avec pour secrétaire général Dr Doh Zaelei Pierre. Le syndicat des médecins anesthésistes réanimateurs de Côte d'Ivoire et le syndicat des médecins chirurgiens de Côte d'Ivoire avec pour secrétaire général Dr Allah Koffi Bruno. Il est plus qu'urgent que le ministère de la Fonction publique et de la santé reçoit au plus vite les responsables de la Sylire pour trouver une solution à cette situation. Et ce, pour le bonheur des populations qui feront les frais de l'indifférence des autorités gouvernementales en charge de la question.

 Franck Ebi

L'internationale ivoirienne, Tia Ines évoluant dans le championnat Coréen, a accepté de se confier à notre média, pour apporter plus d'éclaircissement dans l'actualité du football féminin. L'attaquante ivoirienne s'est lâchée et à dit sa part de vérité dans l'ambiance qui prévaut actuellement au niveau du ballon rond féminin ivoirien dans cet entretien.

Que pouvez-vous nous dire concernant votre carrière dans le championnat asiatique ?

Ma carrière se porte à merveille. Je me sens bien dans ce championnat. Nous avons seulement huit équipes qui jouent le championnat. Nous jouons 28 matches dans la saison. Et la coupe qui va au-delà de 30 matches. Nous avons la chance de jouer plus de matches. Cela nous permet d'être compétitives. Les conditions sont vraiment réunies. Mieux que l'Europe. Le championnat est très bien médiatisé.

 

Depuis quelques temps vous n'êtes plus appelée en sélection nationale. Avez-vous un problème avec la sélectionneuse Touré Clémentine ou la FIF ?

 

Depuis l'année dernière, dans le mois de février où on devait jouer la qualification pour les jeux olympiques. La sélectionneuse m'a fait appel. Je venais d'arriver dans mon nouveau club en Corée du Sud et je devrais faire des papiers pour ma licence. Tout ce qui est paperasse pour me permettre de jouer le championnat. Puisque j'avais pris le championnat en cours. Ça coïncidé avec le match qu'on devait jouer contre le Nigéria. Et dans cette période je reçois une convocation pour ma sélection avec l'équipe nationale. J'étais très heureuse. Comme toute joueuse qui est choisie pour porter le maillot de son pays. Cependant je devrais attendre une semaine avant de sortir du territoire Coréen. Parce que je venais de rentrer.

Il fallait que je reçoive ma carte professionnelle. Ainsi que ma licence... Vu tout cela mon manager me propose de dire à la sélectionneuse qu'elle me laisse le temps de mettre de l'ordre dans toutes mes affaires. Après cela je pourrai venir pour le match retour. Contre le Nigéria en Côte d'Ivoire. Parce que l'aller était au Nigéria. Donc je n’ai pas refusé la convocation. Et je n’ai jamais dit que je ne viendrais pas pour jouer. Je suis professionnelle. J'ai des engagements à honorer en club avant de répondre à la sélection. Ce que la sélectionneuse n'a pas appréciée.

Elle me dit que si je ne veux pas venir, qu'elle ne me revoit plus. Depuis plus de 10 ans j'ai jamais eu de problème avec la sélectionneuse. Quand j'ai vu sa réaction cela m'a choquée. Je me suis dit que c'est la première personne qui devrait comprendre qu'en tant que professionnelles nous avons des obligations. La sélectionneuse ne m'a pas envoyé de billet d'avion. Je suis passée par tous les moyens pour lui faire comprendre. J'attendais de voir si elle allait me recontacter. Au Nigeria l'équipe a fait match nul.

Au retour en Côte d'Ivoire où nous devrions tout donner elle ne m'a pas appelée. Je ne dis pas que c'est ma non sélection qui a fait échouer l'équipe. Mais au moins j'allais apporter un plus. Comme je le faisais quand j'étais appelé en sélection. Malheureusement pour nous on a perdu contre le Nigéria en Côte d'Ivoire. Depuis lors je n'ai plus de contact avec elle. Je sais qu'on pouvait faire mieux contre le Nigéria si tout le monde était réuni. J'avais mal parce qu'on venait d'être éliminées pour la CAN et les Jeux olympiques. Contre la Tanzanie encore je n’ai pas été appelée.

 

Dans un post sur votre page Facebook vous fustigiez le fait qu'on juge le niveau du championnat Sud-Coréen de faible. Qu'en est-il exactement ?

 

Aujourd'hui les gens pensent que le football c'est seulement en Europe. Mais je suis désolé. Il y a du bon football partout. Pour preuve, chez les hommes des stars vont dans le saoudien. Et plusieurs autres sont déjà passés par là. Où ils ont gagné leur vie. Aujourd'hui le football asiatique à un très bon niveau. J'ai la chance de participer à la champions League asiatique. Ce qui ne se faisait pas. Il y a cinq ans en arrière. Le championnat Sud-Coréen n'est pas faible.

Les joueuses du championnat coréen ont toutes participé à la coupe du monde. Elles sont toutes professionnelles. Je suis dans le meilleur club de la Corée du Sud. Le club leader. Qui a été dix fois champion. J'ai parcouru trois clubs ici en Corée du Sud. J'ai été vice-championne pendant quatre ans avec mon premier club. Ici les équipes se valent toutes. Si le niveau du championnat était faible je ne pense pas que j'allais être convoqué en sélection nationale.

Pendant mes six ans en Corée du Sud j'ai toujours été appelée en sélection. Et j'ai toujours démontré mon talent. Une fois que tu critiques certains agissements on ne t'appelle plus. Des gens qui ne savent rien du football féminin se permettent de raconter des contrevérités sur le championnat Sud-Coréen. C'est le haut niveau. Et c'est très bien payé. N'oublions pas que c'est un métier qui doit nourrir son homme. Si je joue depuis 6 ans en Corée du Sud et que je ne suis pas allée en Europe, c'est ma propre volonté. Sinon les propositions sont nombreuses.

J'ai un grand manager. Je n'ai plus 20 ou 25 ans pour m'amuser. Je joue maintenant pour mon après carrière. La Corée du Sud nourrit la footballeuse que je suis. Je ne pense pas que si joue en France j'aurai ce que je gagne ici en Corée du Sud.

Parfait Zio

Cela fait plusieurs mois que l'affaire des droits d'auteurs des chantres dans les lieux de cultes fait couler beaucoup d'encre et de salive sur les réseaux sociaux. Le consistoire des églises protestantes évangéliques a pris enfin une position claire. Et, ce, à travers une déclaration dont nous avons reçu une copie.

Dans cette déclaration, le consistoire s'oppose clairement à l'initiative d'un groupuscule de chantres qui vise selon eux "à désacraliser le culte". La note révèle aussi le nom du chantre qui a entrepris la démarche auprès du Burida. Le consistoire souligne n’avoir jamais été saisi formellement, ni consulté ou associé à une discussion concernant l'application de cette loi en milieu ecclésiastique.

 "Après vérification, ce document, reconnu comme authentique et servant de document de travail interne au BURIDA, révèle en détail les tarifs des redevances pour les droits d'auteur et droits voisins applicables dans les lieux de culte, avec des forfaits bien définis, selon le type d'événement (animations, concerts, évangélisation, etc.) ; en fonction de la capacité d'accueil du lieu (en nombre de personnes), qui correspondent évidemment à des montants de redevances mensuels.

Face à ces informations avérées, le Consistoire des Protestants Évangéliques de Côte d'Ivoire (CPECI), tout en accordant encore le bénéfice du doute quant à la mise en œuvre effective de ce projet jugé inapproprié et irrespectueux du caractère sacré des cultes Protestants Evangéliques, souligne n'avoir jamais été saisi formellement, ni consulté ou associé à une discussion concernant l'application de cette loi en milieu ecclésiastique. Respectueux des valeurs Bibliques sacrées, le Consistoire rejette catégoriquement cette initiative désinvolte qui risque de profaner nos cultes.» rejette-t-il.

Cette position du Consistoire se fonde sur la connaissance qu'il a du mode opératoire du BURIDA, qui est parfois l'utilisation de la force publique pour imposer la perception de droits d'auteur et droits voisins à des citoyens. Ce qui crée tout naturellement un climat de tension inacceptable.

Le consistoire a rappelé la démarche tenue par le chantre, initiateur du projet auprès de l'organisation ecclésiastique. ''Pour rappel, l'artiste-Chantre Roland Loua, membre du Conseil de Gestion et de Restructuration (COGER), accompagné d'une délégation du BURIDA, nous avait présenté ce projet lors d'une audience privée. En notre qualité de Président du Consistoire Protestants Évangéliques de Côte d'Ivoire (CPECI) et Père spirituel, nous l'avons orienté vers le Département Musique du Consistoire, dirigé par le Chantre Emmanuel Bouaffo, Président de l'Union des Artistes Chantres de Côte d'Ivoire (UACCI).

Si nous avons reconnu à cette occasion que l'artiste-chantre doit vivre de son art, nous n'avons pas manqué de mettre en garde contre toute forme d'immiscions tendant à désacraliser le culte. Nous avons ainsi souligné le caractère problématique du projet en question qui menacera gravement le réveil spirituel en cours dans notre pays."

Le consistoire dirigé par le pasteur Dion Yayé Robert a décidé de ne point se reconnaitre dans une telle initiative du Burida et de son chantre. "En conséquence, jusqu'à nouvel ordre, le Consistoire des Protestants Évangéliques de Côte d'Ivoire (CPECI) demande aux églises et à leurs Leaders de ne pas adhérer à ce projet et de rester vigilants face à toute tentative d'imposition forcée de paiements de redevances pour un quelconque droit d'auteur et droits voisins dans les lieux de culte.» a-t-il martelé.

Cette déclaration met fin à de  nombreux débats sur la question dans le milieu chrétien.

Parfait ZIO

De retour de Mama, l'ancien président Ivoirien, Laurent Gbagbo s'est arrêté dans la commune de Yopougon ce lundi 26 février 2024 pour "pleurer" avec les populations. Retranché dans son village natal depuis plusieurs mois, le président du PPA-CI n'est pas resté insensible à la détresse des popualtions victimes du vrombissement des engins du ministre gouverneur, Cissé Bacongo.

Dans une vidéo sur les réseaux sociaux, l'on voit clairement le président Laurent Gbagbo avec une paire baskette, un pantalon noir, un visage visiblement triste, constater l'ampleur des dégats causés par cette opération de déguerpissement engagée par le district autônome d'Abidjan.


Malgré les grincements de dents des popualtions, les services du ministre gouverneur ne font qu'avancer dans leur manoeuvre de destruction. Depuis le début de l'opération, de nombreuses autorités ne font que défiler pour consoler les victimes. Il s'agit notamment, de Tidjane Thiam, président du Pdci-Rda, les députés Dia Houphouët, Michel Gbagbo et Assalé Tiémoko. S'en est suivi ce lundi 26 février 2024 la visite du maire de Yopougon, Adama Bictogo.


Selon un communiqué du district d'Abidjan dont nous avons eu copie, cette opération de déguerpissement est faite pour sauver des vies humaines pendant les inondations en saison des pluies.
Parfait ZIO

PDCI-RDA: Gnamaka Dogbo Eric envoie la jeunesse à ''l'école de Tidjane Thiam''

 Après sa brillante élection à la tête du Pdci-Rda, le 23 décembre 2023, le président Tidjane Thiam inspire déjà plusieurs leaders de jeunesse par sa vision et son charisme politique. Pour mieux s'instruire auprès du successeur du président Henri Konan Bédié, Gnamaka Dogbo Eric, président de la Génération Verte pour Tidjane Thiam a décidé de lancer "Allons à l'école de Tidjane Thiam". Cette session initialement prévue ce mercredi 28 février 2024 est reportée au 24 avril 2024.

L'annonce du report a été faite lors d'un point presse tenu au foyer des jeunes de Marcory le lundi 26 février 2024. Pour le président Gnamaka Dogbo Eric, ce report sine die est de la volonté du président Tidjane Thiam lui-même. Selon le président de la génération verte, cette école permettra aux plus jeunes de s'inspirer du modèle politique et de l'excellent parcours professionnel de Tidjane Thiam. "Lorsqu'on regarde la génération présente le meilleur c'est Tidjane Thiam.

Il a un encrage au niveau international. Ici, au plan national, il a une belle assise au Pdci-Rda dont il est le président. Celui qui a écrit et pensé le développement de la Côte d'Ivoire mis en œuvre par le président Alassane Ouattara, c'est bien le président Tidjane Thiam. Nous, les enfants de Gbagbo Laurent épousons l'esprit et la vision de Tidjane Thiam. depuis le 13 décembre 2023, la génération verte avait engagé tous les délégués du vieux parti à porter leur choix sur Tidjane Thiam.

Et le Pdci a écouté la génération verte. Tidjane Thiam est aujourd'hui président du parti sexagénaire de Côte d'Ivoire.",a-t-il déclaré. Le président Dogbo Eric a profité pour exhorter les nombreux adhérents de la génération verte à rester mobiliser afin de répondre massivement au lancement officiel de l'initiative du 24 avril prochain.

P.Z

News Letter

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