lundi 29 avril 2024
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 L’ex-Première dame,  Mme Simone Ehivet Gbagbo, a animé un meeting politique le samedi 16 mars 2019 à Aboisso (Sud comoé), au cours duquel,  l’épouse  légale de  Laurent Gbagbo a invité les ivoiriens à cultiver la paix , l’unité ,  la réconciliation  et le  pardon

‘’ Notre division profite à ceux qui convoitent le pays ‘’ a déclaré l’ex-Première  dame ajoutant ‘’ C’est pour ça je dis que le pardon et  la réconciliation sont des choses incontournables  pour nous ‘’

Elle estime que ‘’ Certains  cherchaient  à faire disparaitre le pays, il fallait  repousser le danger ‘’  a dénoncé la vice - présidente du  FPI (camp  dirigé  par  Laurent Gbagbo).

Mme Simone Ehivet  Gbagbo a été accueillie dans une liesse populaire à   Aboisso  à l’occasion d’une cérémonie de purification et  de rentrée politique de l’ex- ministre de Gbagbo,  Koffi  Koffi Lazare revenu d’exil  du Ghana.

Depuis sa sortie de prison l’ex-Première  dame a enfilé ses habits  d’apôtre de la paix et multiplie des actions en faveur du retour de la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire.

 Le jeudi 14 mars  dernier, elle était à Yopougon chez Cheick Bakary Cherif, président du Front Oummat islamique de Côte d’Ivoire pour parler encore de paix et de réconciliation.

Zatté Albert

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des producteurs de la noix de cajou, de Niakaramadougou, Nord de la Côte d’Ivoire, ont interpellé le gouvernement. Ces producteurs d’anacarde issus de la région du Hambol  souhaitent une meilleure prise en charge en vue d’accroitre la transformation de la production locale, c’est ce que rapporte l’Agence ivoirienne de presse (Aip), dans sa livraison du samedi 16 mars 2019.

Ces producteurs estiment que la production de l’anacarde est la seule dans laquelle, le gouvernement ivoirien a le moins investi. Ils en appellent donc à une  meilleure prise en charge.

« La diffusion de l’anacarde et son introduction dans le système de production agricole ont été l’œuvre des agriculteurs. En fait, c’est l’unique culture pérenne pour laquelle les structures de développement agricole ont le moins investi en Côte d’Ivoire », a fait savoir, Henriette Ouattara Apécadie, productrice de cajou.

Soutenue par ses pairs, dame Henriette souhaite l’appui de l’Etat en vue de développer au mieux, la filière locale de la noix de cajou qui se présente comme l’une des sources de richesse de la Côte d’Ivoire. 

AZ

 

 

Le Premier ministre Ivoirien a interpellé les enseignants grévistes. C’était lors de la 7èmeédition des « Journées carrières », qui s’est tenue, hier vendredi 15 mars 2019, à Korhogo.Amadou Gon Coulibaly, Premier ministre de Côte d’Ivoire, a appelé les enseignants grévistes, à privilégier l’intérêt des élèves. Invité dans le cadre de la 7ème édition des « Journées carrières » du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, le numéro un du gouvernement ivoirien a souhaité que les cours reprennent, le lundi 18 mars 2019, sur toute l’étendue du territoire national.

 « Je souhaite la reprise totale des cours sur toute l’étendue du territoire, dès le lundi 18 mars prochain », a déclaré le ministre. Avant d’interpeler les enseignants grévistes.  « J’appelle les enseignants au sens de la responsabilité et à privilégier l’intérêt des élèves. Ils sont l’avenir de notre pays et nous avons le devoir de leur donner une bonne formation, afin qu’ils puissent assurer la relève ».

Se prononçant sur l’objet même de sa présence à ladite rencontre, Amadou Gon, s’est réjoui de l’engouement prononcé des élèves qui ont effectué le déplacement.

AZ

 

Il y a peu, le Vice-Président, Daniel Kablan Duncan, avait présenté le nouveau recrutement du Rhdp. Ces recrues venaient tout droit  des délégués départementaux du Pdci, du Moronou. Une information qui a été démentie par les « vrais » délégués du Pdci.

 

Il y aurait-il du faux dans l’affaire, des délégués Pdci virent au Rassemblement des houphouetistes pour la démocratie et la paix ? Certainement ! En tout cas, c’est le constat fait après la déclaration produite par le Sénateur Tiémoko Koffi, Délégué de Bongouanou 1. Voici sa déclaration.

 

Depuis le 02 Mars 2019, plusieurs organes de presse écrite et audio-visuelle ont relayé l’information selon laquelle, soixante-huit (68) Secrétaires Généraux de Section du PDCI-RDA de la région du MORONOU, auraient rallié le RHDP Unifié, via le Mouvement dit PDCI-Renaissance. 
A cette occasion, M. ASSANDE YAO BERNARD, s’est prévalu du titre de Secrétaire Général de Section du PDCI-RDA de M’BATTO 2 et a parlé au nom de ce groupe.
Nous, Délégués Départementaux et Communaux du MORONOU, sur le terrain, après investigations, venons par le présent Communiqué donner les Informations ci-après :

1°)- Monsieur ASSANDE YAO BERNARD, qui s’est prévalu du titre de Secrétaire Général de Section de la délégation M’BATTO 2, ne figure nullement sur la liste des Secrétaires Généraux de Section de cette Délégation

 ;
2°)- Monsieur ASSANDE YAO BERNARD a fait du faux et usage de faux et est passible de poursuite judiciaire ;


3°)- Monsieur KASSI KOUAME, étudiant en anglais, qui s’est lui aussi prévalu du titre de Secrétaire Général de Section de KANGANDI, de la Délégation de BONGOUANOU COMMUNE, ne figure nullement lui aussi sur la liste des Secrétaires Généraux de Section de cette autre Délégation et, a également fait du faux et usage de faux en se prévalant de la qualité de Secrétaire Général de Section ;


4°)- Nous tenons à affirmer qu’aucun des 134 Secrétaires Généraux de Sections officiellement connus dans la Région du MORONOU, n’a rallié ni le mouvement dit PDCI-Renaissance, ni le RHDP Unifié ;


5°)- Dans la Région du MORONOU comme dans toutes nos Régions de la Côte d’Ivoire, face à cette pratique de faussaires, les militants du PDCI-RDA opposent toujours des refus catégoriques qui gardent nos bases intactes et fidèles au PDCI-RDA ;


6°)- Au regard de ce qui précède, les Délégués Départementaux et Communaux du MORONOU :


  • Félicitent tout le personnel politique du PDCI-RDA du MORONOU, en particulier les Secrétaires Généraux de Section, pour leur engagement, leur fidélité et loyauté aux idéaux du PDCI-RDA et à son Président, Son Excellence HENRI KONAN BEDIE ;

  • Encouragent les militants et militantes et les invitent à demeurer vigilants face à la désinformation, à la manipulation et à l’achat de conscience.

Les Délégués Départementaux et Communaux de la Région du MORONOU

Madame le Ministre Amah Marie TEHOUA, Délégué Bongouanou Commune, Vice-président du PDCI-RDA

Monsieur le Sénateur TIEMOKO Koffi, Délégué Bongouanou 1

Monsieur Bernard EHOUMAN, Délégué Bongouanou 2

Monsieur N’GUETTA KAMANAN, Délégué M’BATTO 2

Monsieur Paul KOUA, Délégué M’BATTO 1

Monsieur BONI Kouamé Séraphin, ARRAH 1, représenté

 

Kamara Ibrahim a livré la liste des Éléphants qui affronteront les Amavubis du Rwanda le 23 mars prochain dans le cadre de la 6e journée des éliminatoires de la CAN 2019. Il a opté pour ce commando de 24 Eléphants dont les noms suivent :

Gardiens : Sylvain Gbohouo (TP Mazembe) - Abdoul Cissé (ASEC Mimosas) - Ali Badra (Free State Stars)

Défenseurs : Serge Aurier (Tottenham) - Eric Bailly (Man United) - Wilfried Kanon (Ado La Haye) - W. Coulibaly (ASEC Mimosas) - Abdoulaye Bamba (Angers) - Simon Deli (Slavia Prague) - Traoré Ismael (Angers) - M. Bagayoko (Red Star)

Milieux : J.P Gbamin (Mayence) - Serey Dié (Xamax) - Seri Jean M. (Fulham) - Angban Victorien (Metz) - Franck Kessié

Attaquants : Meité Yakou (Reading) - Max Alain Gradel (Toulouse) - Nicolas Pépé (Lille) - Wilfried Zaha (Crystal Palace) - Jonathan Kodjia (Aston Villa) - Assalé Roger (YB Bern) - Maxwell Cornet (Lyon)

Pour cette confrontation qui se trouve sans enjeux véritable pour la Côte d’Ivoire, déjà qualifiée pour cette Can 2019, le sélectionneur a fait appel à deux locaux, notamment le gardien de but Abdoul Cissé et le défenseur W. Coulibaly, évoluant tous deux à chez les Mimos.

Laurenzo Yapi

Viviane Kouakou Montéomo, alias Alexis est écrivaine et éditrice, membre de l’Association des écrivains de Côte d’Ivoire (Aeci). C’est aussi une femme engagée pour la promotion des droits de la femme. Elle est membre d’une ONG où elle est en charge du portefeuille promotion de la femme. Nous l’avons rencontrée à l’occasion de la Journée Internationale des Droits de la Femme célébrée le 8 mars dernier. Interview…

En tant qu’écrivaine, quel rapport faites-vous entre l’écriture et le genre que vous défendez ?

Je dirai que l’écriture est un moyen pour sensibiliser la population sur les droits de la femme, c’est la manière la plus subtile pour nous écrivains de faire comprendre aux gens certaines choses qu’ils n’acceptent pas, en nous engageants pour le droit dans nos écrits. Par exemple,  dénoncer les maux de la société, décrier la violation à travers une histoire très belle, cela peut se faire facilement. Donc pour moi en tant qu’écrivaine, il n’y a pas de raison qu’on n’utilise pas notre art pour sensibiliser la population.

Dans quelques heures, ce sera la Journée internationale des droits de la fsemme, qu’est-ce que cette journée vous inspire, vous qui êtes dans ce domaine ?

En tant qu’engagée pour le droit de la femme, dire qu’il y a une journée dédiée au droits de la femme et que c’est une journée où on arrête tout, où on parle de la femme, je dis que c’est vraiment insuffisant. Parce que parler du droit de la femme, c’est une action qui doit être continue, c’est quelque chose qui doit se faire régulièrement. Donc pour moi, le 8 mars devait être la journée bilan, où on se retrouve pour regarder les acquis et regarder ce qui reste à faire, féliciter les uns et les autres pour les avancées et faire un bilan. Mais en général c’est une journée où on vient faire beaucoup de promesse, c’est plus une célébration, une journée festive et plus rien après. Ce n’est pas ce qu’on attend en tant que femme engagée pour le droit des femmes.

Si on veut s’en tenir à vos propos, quelles sont vos attentes pour cette journée ?     

Ce serait par exemple qu’on ait à cette journée, plusieurs activités, plusieurs panels pour parler des avancées des droits de la femme, qu’on réunisse les femmes pour leur dire par exemple qu’aujourd’hui on a pu lutter contre l’excision, nous sommes à tel niveau ou à un tel pourcentage. L’excision dans telle zone ou dans une telle autre où nous savons que l’excision était très pratiquée a diminué. Au niveau des mariages forcés voilà ce qu’on a eu comme acquis ; au niveau de l’égalité des postes avec les femmes, on a pu avoir tel pourcentage en nomination de femme. Ce sont ces acquis que nous devons valoriser le 8 mars. En même temps faire comprendre aux femmes que la lutte continue parce qu’il ne faut pas laisser à nos sœurs, à nos jeunes filles qui arrivent, ce que nous avons vécu. Il va falloir leur laisser quelque chose de plus. Pour moi le 8 mars, c’est plutôt une journée pour faire réfléchir la femme sur sa condition de femme dans la société et non une journée festive.

En tant que chargée de la femme dans une ONG, si vous devez faire un bilan comparatif des avancées dans cette lutte par rapport à 5 ou 10 ans en arrière, quel serait votre appréciation ?

Beaucoup de choses ont changé, de plus en plus les femmes prennent la parole, même à tous les niveaux, au niveau politique les femmes prennent la parole, les femmes sont à des postes de pouvoir comme on peut dire, les femmes sont devenues des décideurs, elles participent à la vie de la société, ce qui n’était pas évident il y a 5 ans. Donc je peux dire qu’il y a de très belles avancées, mais on peut faire mieux en Côte d’Ivoire.

Si le bilan est si positif comme vous le dites, quel aspect négatif dénoncez-vous exactement ?      

L’aspect négatif c’est que le regard n’a pas encore changé, le regard de la femme sur elle-même déjà n’a pas changé, parce qu’en fait il ne s’agit pas de lutter contre les hommes quand on parle d’émanciper les femmes, c’est d’avoir les hommes avec nous pour permettre aux femmes d’avancer. Donc je dirai que le regard d’abord sur nous-mêmes en tant que femmes n’a pas encore changé, nous nous considérons toujours comme étant à la traine, celle dont on doit s’occuper. Donc je me dis qu’actuellement le combat réel que nous devons mener, c’est changer notre mentalité en tant que femme. C’est plutôt cela, changer nous-même notre mentalité en tant que femme et chercher à nous engager pour changer les choses. Faire nous-même des actions qui permettent de donner l’exemple aux autres femmes. Je crois que c’est ce qui est négatif pour le moment. Sinon au niveau de nos hommes, je crois que pour le moment ils sont eux-mêmes avec nous, ils nous aident, ils nous tendent la perche, donc à nous de savoir comment la tenir pour avancer.

Nous ne pouvons pas échanger avec une écrivaine sans parler de ses œuvres, donc donnez-nous un aperçu de vos écrits et les thèmes que vous y abordez ?

Dans ma première œuvre, « Amour, Choix et Regard » (2014) je parle du choix que la femme doit faire elle-même pour sa vie. Je parle de l’importance de laisser la femme elle-même choisir son homme, choisir sa vie. Je décrie un peu le viol et l’encouragement pour le choix d’un homme au lieu de l’autre. Je parle du fait que les femmes dans le choix de leurs conjoints sont souvent soumises à l’influence de l’environnement. Il faudra laisser la femme elle-même en tout état de cause choisir l’homme avec qui elle veut vivre qu’il soit pauvre ou riche, parce que lorsque le choix est fait par amour, on réussit à vivre et à supporter les obstacles de la vie. Dans ma deuxième « Les ombres de nos avancées » (2016), je parle de la femme comme soutien de l’homme, de la femme comme celle qui est l’aide de l’homme, je fais ressortir le côté de l’homme en situation de handicap en parlant particulièrement des albinos. Mais je fais un clin d’œil à la femme comme dans toutes mes œuvres. Dans le dernier qui est un livre enfant « Apprendre à bien s’habiller » (2018), je parle de l’importance de bien s’habiller et là, le clin d’œil est fait à nos jeunes filles qui de plus en plus laissent leur corps carrément dehors, donc leur montrer l’importance de la tenue. Ce livre a été coécrit avec une styliste, Ange Koffa, qui a mis des images de certains défilés à la fin. Voilà c’est un peu ça notre engagement, c’est de passer des messages à travers nos livres.

Si vous devez conclure cet entretien, quel serait votre mot de fin ?

Je dirai qu’il est temps pour les femmes de s’engager elles-mêmes pour le changement de leurs conditions et ne pas toujours attendre que les choses viennent vers elles. 

Réalisée par Laurenzo Yapi

L’opposition ivoirienne unie au sein d’une coalition de  24 partis politiques a adressé un courrier le jeudi 14 mars 2019   à M. Sidi Touré,  ministre  de la Communication et porte-parole du Gouvernement afin de l’interpeller sur son  interprétation de l’Arrêt de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples concernant la réformation de la Commission électorale indépendante.

 Le lundi 11 mars 2019, les responsables de 24 partis politiques de l’opposition avaient organisé une conférence de presse au siège du PDCI-RDA à Cocody dont le principal conférencier était M. Maurice Kakou Guikahué, Secrétaire  exécutif en Chef du PDCI-RDA.

  A cette occasion, l’opposition avait dévoilé ses propositions sur la réforme  de la commission électorale indépendance conformément à l’arrêt de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.

 En souhaitant ‘’ une réforme en profondeur  de la CEI ‘’,  entre autres,  le changement de la dénomination de la CEI qui doit être dirigée par une personnalité de la société civile dont le choix se fera par appel à candidature … ET qui devrait donner droit à une CEI véritablement indépendante et autonome.

 Mais le gouvernement  ivoirien  ne voit pas les choses de cette façon.

 A l’issue du Conseil des ministres du mercredi 13 mars dernier, M. Sidi Touré,  ministre de la Communication et porte-parole du Gouvernement avait réagi sur les propositions de l’opposition.

  Il avait déclaré que  ‘’ la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples n’a pas demandé au gouvernement de procéder à une réforme en profondeur de la CEI ‘’.  

Pour le porte-parole du gouvernement cette discussion  portera  uniquement  sur la recomposition de la CEI.

La réaction du ministre n’a pas laissé indifférents les membres de la plate-forme de l’opposition. Ils ont adressé le jeudi  14 mars un courrier au gouvernement  dans lequel ils rappellent et expliquent   l’arrêt rendu par l’APDH le 18 novembre 2018.

‘’ Lors de cette prise de parole vous avez déclaré que la Cour Africaine des Droits de l’homme et des Peuples n’avait demandé au gouvernement que de procéder à la recomposition de la CEI et pas plus; d’où la décision du gouvernement de ne discuter que de la recomposition de la CEI. Ce point de vue peut être celui du gouvernement mais surtout pas celui de la Cour Africaine des Droits de l’homme et des Peuples.’’  dit en substance le courrier adressé au ministre Sidi Touré  signé par  M Maurice Kakou Guikahué .

Rappelons que dans le cadre de  la réforme de la CEI, l’opposition avait adressé  un courrier au gouvernement  depuis le 30 janvier 2019   qui est resté lettre morte,  puis un second  courrier de rappel dont elle attend toujours la suite.

     Zatté Albert 

 

 

 

 

 

 

Le Directeur général du  Fonds de prévoyance de la police,  M. Kadjané  Amouyé Jacques, a procédé  le mardi 12 mars 2019 au démarrage du paiement des policiers retraités en fin de contrats EFC  (Entraide de fin de carrière) et PEP (Plan épargne plus).

 C’est environ la somme de 102 millions FCFA qui a été distribuée  à 85  policiers à la retraite.

Cette situation a permis  de désamorcer  une marche des policiers retraités  sur la cathédrale du plateau pour exprimer leur  mécontentement.       

« Hier (ndlr lundi)  nous avons rencontré le collectif des policiers retraités  pour leur demander de surseoir à la marche sur la cathédrale et qu’aujourd’hui nous allons enclencher le processus de remboursement, ce qui a effectivement démarré », a fait savoir le Commissaire divisionnaire, Kadjané Amouyé Jacques, Directeur général du FPPN.

Il a promis  poursuivre le paiement le mois d’avril, et demande  aux policiers ‘’réticents de faire preuve de patience’’.  

‘’ Nous distribuons aujourd’hui environ 102 millions et le mois prochain, nous allons encore le faire, jusqu’à ce que l’État fasse droit à nos requêtes(…) ’’ a rassuré le Directeur général  du FPPN.

La 5e journée avancée du championnat national de basketball a été ajournée le mardi 12 Mars dernier, pour cause de fermeture de la salle du Hall 1 du Palais des Sports de Treichville à la Fédération ivoirienne de Basket-ball. Indexé par les responsables du basket ivoirien qui y avait programmé la 5è journée avancée de son championnat, Mme Yoda née Mariam Koné, directrice générale de l’Office National des Sports (ONS) a donné les raisons de ce nouvel incident autour des infrastructures sportives en Côte d’Ivoire dans une interview accordée à sportivoire.

Êtes-vous informée que le hall 1 a été fermé à la FIBB mardi alors que la 5e journée y était programmée ? Comment en est-on arrivé là Mme la Directrice ?

Je vous remercie de me permettre d’éclairer l’opinion sur cette question. En effet, pour utiliser les installations sportives de l’Etat de Côte d’Ivoire, il y a des démarches à faire. Pour ce qui concerne la Fédération Ivoirienne de Basketball (FIBB), nous avons bel et bien autorisé l’accès de la salle. Cependant, ses responsables ne sont pas passés récupérer l’autorisation écrite. Le chef de département manifestation a appelé M. Philippe Blessy, Directeur Général de la FIBB, pour lui demander de passer récupérer l’autorisation d’accès à la salle. Il a répondu qu’il se faisait tard, et qu’il ne pouvait pas venir la chercher.

Le Hall des Sports est une enceinte sportive et a été construit à l’occasion de l’Afrobasket 2013. Pourquoi ne pas avoir régler ce souci autrement en attendant d’attirer une dernière fois l’attention des responsables de la FIBB ?

Certes c’est une infrastructure sportive, mais on n’y entre pas comme on veut. Il faut qu’on essaie à un moment donné de faire les choses comme il se doit. Je n’ai pas envie de rentrer dans certains détails.  Nous allons organiser une séance de travail avec les responsables de la FIBB en espérant la présence de son Président. Nous n’arrivons pas à comprendre que ce soit toujours la FIBB qui ait un souci avec l’ONS. Mais ce que je peux vous assurer, c’est qu’en tant qu’athlète de haut niveau, je ne peux pas refuser l’accès à la salle. Ils ont la salle d’accord mais ils doivent avoir l’autorisation d’accès d’abord, et ils savent où est ce qu’on prend cette autorisation.

Justement, comment expliquez-vous qu’il y ait toujours un souci avec les responsables actuels de la Fédération ivoirienne de basket ?

Nous n’avons pas de problème avec la Fédération de basket ni avec les autres fédérations. Les fédérations qui suivent les règles de gestion de l’ONS n’ont pas de problème. C’est pourquoi je pense que le problème doit être ailleurs, mais avec l’ONS. Pourquoi à chaque fois c’est le basket ? C’est une question que je me pose avec vous. Voici pourquoi je souhaite rencontrer les décideurs de la Fédération de Basketball et non d’autres personnes je dis bien les décideurs.

Laurenzo Yapi

Le laboratoire  SANOFI a fait des dons de matériels  de santé à 07 structures  santé  ivoiriennes,  le  mardi 12 mars 2019  au sein de l’Institution national  de la Santé publique (INSP) d’Adjamé. A cette occasion le ministre de la Santé a annoncé l’adoption par le Conseil de Gouvernement tenu le mardi dernier  de  la réforme du  secteur de la santé.

 Le ministre  Eugene Aka  Aouélé  était tout heureux d’annoncer  devant les agents de santé et ses collaborateurs  que le Conseil de gouvernement du mardi 12 mars 2019  a adopté     la réforme hospitalière.

Cette réforme   dira-t-il  passera  en urgence en  Conseil des ministres puis à l’Assemblée nationale pour  son adoption.

 Cette réforme souligne t-il  permettra  non seulement de  booster les actions de son ministère, mais également  de mettre  fin aux  grèves    dans le secteur de la santé  et que  chacun  y trouvera  son compte.

‘’ Nous sommes vraiment dans notre année, 2019 c’est l’année de la révolution sanitaire ivoirienne, d’optimisation   de consolidation   et  de grandes orientations  de notre système sanitaire … ‘’, s’est réjoui  le ministre  Eugene  Aka Aouélé . 

 ‘’ J’engage la responsabilité  de tout mon personnel à veiller sur ce matériel et  d’en prendre soin  et à faire en sorte que notre pays soit un exemple dans la lutte contre les maladies non transmissibles particulièrement le diabète et l’hypertension artérielle ’’  dira le ministre  Aka Aoulé .

 «  La remise de ce matériel pour doter l’ensemble des cliniques en équipements essentiels est la deuxième  étape franchie dans notre engagement après l’atelier de formation des professionnels de santé qui s’est tenue à Dakar au mois de Décembre. » a indiqué le DG de Sanofi  M. Abderrhmane  Chakibi .

Selon lui, il est inadmissible qu’en Afrique  subsaharienne   et particulièrement en Côte d’Ivoire  des personnes continuent de souffrir  du diabète et hypertension artérielle   alors que  dans les pays occidents ces maladies ont complètement  disparu, et qu’il faut  faire en sorte de réduire l’impact de ces maladies sur les populations

 L’Ambassadeur de France M. Gilles Huberson  pour sa part a indiqué que son pays reste et demeure le premier investisseur et premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire et que ce qui fait sa particularité c’est son engagement dans le volet social.

Zatté Albert 

 

 

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